Liste des images (noms, commentaires) | ||
Région : l'île de France | ||
Arhies-Parc du Vexin (33 photos) | ||
1 | La Défense | sur la route du Parc naturel régional du Vexin |
2 | Arthies | l'église |
3 | Plantes géantes | |
4 | Chêne en U | |
5 | en sortant d'Arthies | |
6 | en sortant d'Arthies | |
7 | Paysage du Vexin | entre Arthies et Villers-en-Arthies |
8 | Champ de blé | entre Arthies et Villers-en-Arthies |
9 | Paysage du Vexin | entre Arthies et Villers-en-Arthies |
10 | Coupe de bois | |
11 | Coupe de bois | |
12 | Château de Saint-Léger | |
13 | Château de Villers-en-Arthies | Château d'époque Louis XIII, inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques Ouverture : le dimanche et le lundi de 13h à 19h, du 1er mai au 30 septembre. |
14 | Villers-en-Arthies | |
15 | Villers-en-Arthies | |
18 | Blé encore vert | |
19 | Poirier | |
20 | Poirier | |
21 | Champ de pâquerettes | |
30 | Avoine | >>> pour en savoir plus |
33 | Triel-sur-Seine | vu de Vernouillet |
Auvers-sur-Oise![]() | ||
1 | L'église d'Auvers | Auvers est situé en Val-d'Oise (95), à 30 km au Nord-Ouest de Paris, au bord de l'Oise. La ligne de chemin de fer, inaugurée le 14 juin 1846, met Auvers-sur-Oise à une heure de Paris. Chaque dimanche, les Parisiens affluent dans les guinguettes en bord de l'Oise, pêchent à la ligne ou canotent. Bourgeois et rentiers font construire des maisons à la mode. On remplace, petit à petit, les vieux chaumes par de l'ardoise ou de la tuile mécanique rouge. Ces toits rouges qui vont frapper l'oeil de Cézanne, Pissarro et, vingt ans plus tard, de Vincent van Gogh (1855-1890). Daubigny, sillonne l'Oise sur son bateau atelier Le Botin avant de s'installer à Auvers en 1861. Cézanne vient à Auvers en 1872 sur les conseils de Pissarro et du Docteur Gachet. Il peint sur le motif avec Pissarro durant deux années entre Auvers et Pontoise, mais il exécute aussi ici la fameuse «Moderne Olympia». Vincent Van Gogh enfin, vient en séjour à Auvers-sur-Oise en 1890, également sur les conseils du Docteur Gachet qu'il représente sur une toile célèbre. Il passe 70 jours de séjour intense et finit ses jours à l'Auberge Ravoux, aujourd'hui baptisée Maison de Van Gogh. Il se suicide le 24 juillet 1890 près du Château d'Auvers. Il est enterré dans le cimetière près de l'église. |
2 | Auvers est situé en Val-d'Oise (95), à 30 km au Nord-Ouest de Paris, au bord de l'Oise. La ligne de chemin de fer, inaugurée le 14 juin 1846, met Auvers-sur-Oise à une heure de Paris. Chaque dimanche, les Parisiens affluent dans les guinguettes en bord de l'Oise, pêchent à la ligne ou canotent. Bourgeois et rentiers font construire des maisons à la mode. On remplace, petit à petit, les vieux chaumes par de l'ardoise ou de la tuile mécanique rouge. Ces toits rouges qui vont frapper l'oeil de Cézanne, Pissarro et, vingt ans plus tard, de Vincent van Gogh (1855-1890). Daubigny, sillonne l'Oise sur son bateau atelier Le Botin avant de s'installer à Auvers en 1861. Cézanne vient à Auvers en 1872 sur les conseils de Pissarro et du Docteur Gachet. Il peint sur le motif avec Pissarro durant deux années entre Auvers et Pontoise, mais il exécute aussi ici la fameuse «Moderne Olympia». Vincent Van Gogh enfin, vient en séjour à Auvers-sur-Oise en 1890, également sur les conseils du Docteur Gachet qu'il représente sur une toile célèbre. Il passe 70 jours de séjour intense et finit ses jours à l'Auberge Ravoux, aujourd'hui baptisée Maison de Van Gogh. Il se suicide le 24 juillet 1890 près du Château d'Auvers. Il est enterré dans le cimetière près de l'église. | |
3 | Auvers est situé en Val-d'Oise (95), à 30 km au Nord-Ouest de Paris, au bord de l'Oise. La ligne de chemin de fer, inaugurée le 14 juin 1846, met Auvers-sur-Oise à une heure de Paris. Chaque dimanche, les Parisiens affluent dans les guinguettes en bord de l'Oise, pêchent à la ligne ou canotent. Bourgeois et rentiers font construire des maisons à la mode. On remplace, petit à petit, les vieux chaumes par de l'ardoise ou de la tuile mécanique rouge. Ces toits rouges qui vont frapper l'oeil de Cézanne, Pissarro et, vingt ans plus tard, de Vincent van Gogh (1855-1890). Daubigny, sillonne l'Oise sur son bateau atelier Le Botin avant de s'installer à Auvers en 1861. Cézanne vient à Auvers en 1872 sur les conseils de Pissarro et du Docteur Gachet. Il peint sur le motif avec Pissarro durant deux années entre Auvers et Pontoise, mais il exécute aussi ici la fameuse «Moderne Olympia». Vincent Van Gogh enfin, vient en séjour à Auvers-sur-Oise en 1890, également sur les conseils du Docteur Gachet qu'il représente sur une toile célèbre. Il passe 70 jours de séjour intense et finit ses jours à l'Auberge Ravoux, aujourd'hui baptisée Maison de Van Gogh. Il se suicide le 24 juillet 1890 près du Château d'Auvers. Il est enterré dans le cimetière près de l'église. | |
5 | L'église d'Auvers, Vincent Van Gogh, 1890 | Ce tableau a été peint à Auvers-sur-Oise entre les 4 et 8 juin 1890. Les formes tourmentées que Van Gogh donne à l'église d'Auvers traduisent les propres tourments du peintre. |
6 | Auvers, toile de Pissaro, 1873 | |
7 | Auvers, toile de Pissaro, 1880 | |
8 | L'église d'Auvers | |
12 | Tombes de Vincent et Théo Van Gogh | |
13 | Tombe à louer | |
16 | Bord de l'Oise | |
17 | Bord de l'Oise | |
18 | Valmondois | |
20 | Tilleuls | |
21 | Honoré Daumier | Peintre, lithographe et sculpteur français (Marseille, 1808 - Valmondois, 1879), Honoré Daumier s'est rendu célèbre par ses caricatures, genre secondaire auquel le contraignit la pauvreté. D'une famille modeste, il avait dû se former seul, tout en gagnant sa vie comme saute-ruisseau au service d'un huissier. Daumier a laissé plus de 4 000 dessins, plus de 1000 gravures sur bois, au terme d'une carrière qu'il poursuivit jusqu'au moment où, en 1872, il devint presque aveugle. C'est en 1830 que débuta sa collaboration à la Silhouette et à la Caricature, journaux d'opposition que Philipon venait de fonder et dont Daumier fera la célébrité par ses dessins pamphlétaires. Leur férocité lui vaudra un emprisonnement à Sainte-Pélagie sous Louis-Philippe (dont l'amusante tête en poire a été créée par Daumier). Lorsque, après 1835, la censure interdit à la presse de publier des charges politiques (telles que le Ventre législatif, le Gargantua, la Liberté de la presse, etc.), Daumier se consacre à la satire de mœurs, dans laquelle il excelle à dénoncer la «comédie humaine» de son temps avec les célèbres séries des Gens de justice, des Bons Bourgeois, des Bas-Bleus, des Philanthropes et de Robert Macaire. En 1865, Daumier - il a 57 ans - connaît de graves difficultés financières de sorte qu'il ne peut plus assumer les charges immobilières de son atelier du Quai d'Anjou à Paris. Son ami le sculpteur Geoffroy-Dechaume le convainc de partir s'installer avec sa femme Didine à Valmondois où son autre grand ami Corot lui prête une jolie maison au centre du village. Il y demeure jusqu'à sa mort en 1879. Un autre homme célèbre est décédé à Valmondois : l'écrivain George Duhamel (1884-1966). |
22 | L'église de Valmondois | |
27 | Château d'Auvers | Il a été construit au XVIIème siècle par la famille des Léry. On lui adjoint au XVIIIème siècle, deux ailes venant compléter le corps central. Il domine en terrasse des jardins classiques à la française. Restauré par le Conseil Général du Val d'Oise, il abrite depuis 1994 un parcours-spectacle unique au monde : Voyage au Temps des Impressionnistes. |
28 | Château d'Auvers | Il a été construit au XVIIème siècle par la famille des Léry. On lui adjoint au XVIIIème siècle, deux ailes venant compléter le corps central. Il domine en terrasse des jardins classiques à la française. Restauré par le Conseil Général du Val d'Oise, il abrite depuis 1994 un parcours-spectacle unique au monde : Voyage au Temps des Impressionnistes. |
29 | Statue de Van Gogh par Zadkine | |
30 | Statue de Van Gogh par Zadkine | |
37 | Auberge Ravoux | L'Auberge Ravoux a été le dernier lieu de séjour de Vincent Van Gogh en 1890. |
38 | Vue d'Auvers, V. Van Gogh, 1890 | Peinture à l'huile datée de 1890 Van Gogh Museum, Amsterdam |
Chantilly (feu d'artifice) (21 photos) | ||
Château de Chamarande (72 photos)![]() ![]() | ||
7 | Érable sycomore | |
15 | Platanes | |
18 | Platanes | |
21 | Cyprès chauve | |
36 | L'exposition Sportivement vôtre | |
37 | Reflet | |
39 | Hêtre pourpre | |
57 | Les Herbivores de Jacques Julien | cinq étranges créatures issues de ce qu'on appelle des combis (articulations de buts de handball et de paniers de basket) et qui paissent dans le parc, entre sphinx et biche au bois, selon une expression de l'artiste. |
58 | Oeuvre de Dominique Angel | |
Château de Malmaison (12 photos) | ||
1 | Salle à manger | |
2 | Salle du conseil | |
3 | Bibliothèque | |
4 | Bibliothèque | |
5 | Salon de l'Empereur | |
6 | Chambre de l'Empereur | |
7 | Joséphine | |
8 | Chambre de Joséphine | |
9 | Chambre de Joséphine | |
10 | Service porcelaine | |
12 | Salle de la frise | |
Crécy-la-Chapelle (9 photos) | ||
La Roche-Guyon (29 photos | ||
1 | Château de La Roche-Guyon | A la fin du 12e siècle, le donjon fut relié au château par un passage secret (par l'escalier souterrain - 450 marches creusées à même la falaise, et dont certaines mesurent plus de 30 centimètres de haut - on accède également à un pigeonnier plus de 1000 couples de pigeons). Protégé sur le plateau par deux enceintes en éperon, il a été tronqué des deux-tiers de sa hauteur. Au début du 14e siècle, le château bas est construit adossé à la falaise. Sa destination est moins militaire que résidentielle. Aux mains des Anglais après la mort de Guy VI de la Roche à Azincourt, le château redevient français. Le duc de La Rochefoucault y écrivit ses célèbres Maximes. Le Cardinal de Rohan y reçoit de nombreux écrivains au 19e siècle. l'histoire de La Roche. |
2 | église St-Samson, La Roche-Guyon | XVè-XVIè siècle Voir la carte de la région. |
3 | église Notre-Dame de Vétheuil | Commencée à la fin du XIIème siècle, en style roman puis gothique, l'église est achevée 4 siècles plus tard sous Henri II, en 1580. La façade ouest est de style Renaissance (milieu du XVIème siècle) : deux tourelles carrées encadrent trois étages de galeries. Sur le pilier central du portail, se dresse une statue de la Charité du XVIème siècle. L'église abrite de nombreuses statues (XIVème-XVIème siècles), quelques tableaux (XVIème et XVIIème siècles) et des travaux de boiserie. Claude Monet s'établit à Vétheuil, en janvier 1878. Il devait y rester jusqu'à la fin de 1881. Voir une oeuvre Monet et d'autres oeuvres de Monet. Voir la carte de la région. |
4 | Hêtre brisé par la tempête | de décembre 1999. |
5 | Château de La Roche-Guyon | A la fin du 12e siècle, le donjon fut relié au château par un passage secret (par l'escalier souterrain - 450 marches creusées à même la falaise, et dont certaines mesurent plus de 30 centimètres de haut - on accède également à un pigeonnier plus de 1000 couples de pigeons). Protégé sur le plateau par deux enceintes en éperon, il a été tronqué des deux-tiers de sa hauteur. Au début du 14e siècle, le château bas est construit adossé à la falaise. Sa destination est moins militaire que résidentielle. Aux mains des Anglais après la mort de Guy VI de la Roche à Azincourt, le château redevient français. Le duc de La Rochefoucault y écrivit ses célèbres Maximes. Le Cardinal de Rohan y reçoit de nombreux écrivains au 19e siècle. >>> L'histoire de La Roche. |
6 | Vue sur la Seine | à l'est de La Roche-Guyon >>>> récits sur la région de La Roche |
7 | église de Vétheuil | |
9 | Aérodrome de Mantes Chérence | vol à voile >>>> pour en savoir plus sur le vol à voile. Voir la carte de la région |
10 | Aérodrome de Mantes Chérence | vol à voile >>>> pour en savoir plus sur le vol à voile. Voir la carte de la région |
11 | Charme | |
12 | Spirées et frêne | |
13 | Spirées | |
14 | Spirées et frêne | |
15 | Spirées | près de Chérence |
16 | Rives de Seine | |
17 | Rives de Seine | |
18 | Rives de Seine | |
19 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | façade triomphale, munie de 2 tours et de portails semblables aux arcs de triomphe. Des lignes horizontales fusionnent les 3 nefs. Style gothique flamboyant. |
20 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | Sa construction a débuté entre 1150 et 1155 dans le style gothique, à l'emplacement d'une église romane. La nef est presque aussi haute que celle de Notre-Dame de Paris (33 m au lieu de 35 mètres). Le chour a été achevé vers la fin du XIIe siècle et neuf chapelles ont été fondées entre 1285 et 1359. La rosace présente de magnifiques vitraux réalisés entre 1215 et 1225. Lors de la restauration du 19 ème siècle, les tours ont été refaites. |
21 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | |
22 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | |
23 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | |
24 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | Nef à trois niveaux : grandes arcades, triforium et fenêtres hautes du gothique rayonnant. Voûte sexpartite comme à Laon, Noyon, Paris et Sens. La croisée du transept est à peine visible, car dans la continuité de la nef au chour. |
25 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | le transept n'est pas saillant comme à ND de Paris. Les arcs-boutants sont discrets. |
26 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | portail central |
27 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | portail central |
28 | Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie | portail nord |
29 | Escalier de l'ancien Hôtel-Dieu | Le musée de l'Hôtel-Dieu est situé à proximité de la Collégiale Notre-Dame dans un bâtiment édifié au XIVe siècle sous le règne de Charles V (1338-1380) et fortement remanié aux XVIe et XVIIe siècles. L'institution était alors gérée par l'Église, des religieuses y soignant les pauvres, les pèlerins et les orphelins. A partir du XVIIIe siècle le bâtiment connaît diverses occupations. Il sert de prison sous la Révolution, est ensuite utilisé comme hospice puis orphelinat. Désaffecté en 1854 et vendu par lots, il abritera successivement un théâtre, un café, un cinéma et une salle de bal, avant d'être acquis par la ville en 1962. En 1964, la chapelle de l'Hôtel-Dieu est inscrite à l'Inventaire des Monuments Historiques pour sa façade du XVIIe siècle, classée en 1948. La restauration de l'édifice achevée, le musée de l'Hôtel-Dieu est inauguré en juin 1996. |
Luzarches - Forêt de Commelles![]() | ||
3 | église de Coye-la-Forêt | Elle a été fondée au XIIème siècle. Elle fut reconstruite en 1875 en style gothique sur les plans de l'abbaye de Royaumont. Seul, le bas du clocher est du XVIème siècle. |
4 | Lavoir sur la Thève | Le passage à gué permettait aux bestiaux revenant des champs et aux attelages de se laver les pattes ou les roues crottées ! |
5 | Coye-la-Forêt | |
6 | Coye-la-Forêt | |
7 | Coye-la-Forêt | |
8 | Coye-la-Forêt | |
9 | Château de la Reine Blanche | Au bord de l'étang de la Loge (Étangs de Commelles), le château de la Reine Blanche occupe l'emplacement d'une loge de bûcherons transformée en moulin à eau en 1765. En 1826, le moulin est supprimé, la loge réparée, et on lui donne le cachet d'un château du Moyen-Age, avec portes et fenêtres ogivales, tours crénelées. Les trois chevaliers qui décorent la façade ont été ajoutés en 1846 par le duc d'Aumale, dernier fils de Louis Philippe et propriétaire du domaine de Chantilly dont il fit don à l'Institut de France à sa mort. |
10 | Château de la Reine Blanche | Au bord de l'étang de la Loge (Étangs de Commelles), le château de la Reine Blanche occupe l'emplacement d'une loge de bûcherons transformée en moulin à eau en 1765. En 1826, le moulin est supprimé, la loge réparée, et on lui donne le cachet d'un château du Moyen-Age, avec portes et fenêtres ogivales, tours crénelées. Les trois chevaliers qui décorent la façade ont été ajoutés en 1846 par le duc d'Aumale, dernier fils de Louis Philippe et propriétaire du domaine de Chantilly dont il fit don à l'Institut de France à sa mort. |
11 | Étangs de Commelles | |
12 | Étangs de Commelles | |
13 | Sous les hêtres | |
14 | Étangs de Commelles | |
15 | Étangs de Commelles | |
16 | Étangs de Commelles | |
17 | Chêne | La forêt de Coye est partie prenante de la forêt de Chantilly (6310 ha). On appelle communément "forêt de Coye" le massif qui englobe, au sud des étangs de Comelle, aussi bien les bois d'Orry à l'est que les bois de Luzarches et Chaumontel au sud et ceux de Bonnet à l'ouest. D'ailleurs, dès l'origine, la forêt de Coye constituait un ensemble distinct de la forêt de Chantilly. La forêt est constituée de plusieurs essences d'arbres : alisier de Fontainebleau, charme, chêne, hêtre, pin sylvestre, tilleul, châtaignier. |
18 | Charme | La forêt de Coye est partie prenante de la forêt de Chantilly (6310 ha). On appelle communément "forêt de Coye" le massif qui englobe, au sud des étangs de Comelle, aussi bien les bois d'Orry à l'est que les bois de Luzarches et Chaumontel au sud et ceux de Bonnet à l'ouest. D'ailleurs, dès l'origine, la forêt de Coye constituait un ensemble distinct de la forêt de Chantilly. La forêt est constituée de plusieurs essences d'arbres : alisier de Fontainebleau, charme, chêne, hêtre, pin sylvestre, tilleul, châtaignier. |
19 | Chêne et charme | La forêt de Coye est partie prenante de la forêt de Chantilly (6310 ha). On appelle communément "forêt de Coye" le massif qui englobe, au sud des étangs de Comelle, aussi bien les bois d'Orry à l'est que les bois de Luzarches et Chaumontel au sud et ceux de Bonnet à l'ouest. D'ailleurs, dès l'origine, la forêt de Coye constituait un ensemble distinct de la forêt de Chantilly. La forêt est constituée de plusieurs essences d'arbres : alisier de Fontainebleau, charme, chêne, hêtre, pin sylvestre, tilleul, châtaignier. |
20 | Tilleul | La forêt de Coye est partie prenante de la forêt de Chantilly (6310 ha). On appelle communément "forêt de Coye" le massif qui englobe, au sud des étangs de Comelle, aussi bien les bois d'Orry à l'est que les bois de Luzarches et Chaumontel au sud et ceux de Bonnet à l'ouest. D'ailleurs, dès l'origine, la forêt de Coye constituait un ensemble distinct de la forêt de Chantilly. La forêt est constituée de plusieurs essences d'arbres : alisier de Fontainebleau, charme, chêne, hêtre, pin sylvestre, tilleul, châtaignier. |
21 | Croisée des chemins | |
22 | La forêt de Coye | La forêt de Coye est partie prenante de la forêt de Chantilly (6310 ha). On appelle communément "forêt de Coye" le massif qui englobe, au sud des étangs de Comelle, aussi bien les bois d'Orry à l'est que les bois de Luzarches et Chaumontel au sud et ceux de Bonnet à l'ouest. D'ailleurs, dès l'origine, la forêt de Coye constituait un ensemble distinct de la forêt de Chantilly. La forêt est constituée de plusieurs essences d'arbres : alisier de Fontainebleau, charme, chêne, hêtre, pin sylvestre, tilleul, châtaignier. |
25 | Forêt d'Orry | |
32 | Château de Hérivaux | En 1140, le seigneur de Marly la Ville, Ascelin, quitte son château de Marly et se retire en cet endroit alors inhospitalier ('locum horroris et vaste solituninis'). D'autres ermites le rejoignent et ensemble ils fondent une abbaye, défrichent et aménagent le terrain. À sa mort, en 1188, l'évêque de Paris Maurice de Sully déclare le lieu Institution Canonique et la nouvelle Abbaye d'Hérivaux est rattachée à l'ordre de Saint Augustin. L'abbaye prospère, touchant les bénéfices de 4 cures, saint Étienne de Marly, saint Étienne de Fosses, saint Nicolas de Bellefontaine et saint Jean de Montepiloir. À cela s'ajoutaient les revenus de 2 prieurés et des très nombreux domaines sur les territoires de Luzarches, Epinay, Survilliers, Beaumont, Fosses, Marly-la-Ville, Montméliant, Saint Witz, Argenteuil, La Grange du Bois, Coye, la Morlaye, Senlis, Bellefontaine, Villiers le Bel, Ermenonville, Andilly, Garges, Chelles, Sarcelles, Paris, Roissy, Domont et bien d'autres. À la Révolution, en 1796, l'église et les bâtiments religieux sont détruits sur ordre de leur nouveau propriétaire Benjamin Constant à l'exception d'une aile qu'il se réserve, pour y loger sa maîtresse Mme de Staël. |
36 | à l'Est de Luzarches | |
43 | Luzarches | Luzarches, Val-d'Oise (95), est situé au Nord de Paris, à 32 km par la RN16 et 39 km par l'autoroute A1. Luzarches est né à l'emplacement d'une "villa" romaine, "Lusareca" citée dans une chronique de 679 et confiée par Charlemagne aux religieux de Saint-Denis. Se succèdent comme seigneurs de Luzarches : les comtes de Beaumont au XIème, l'Anglais Willoughby qui reçut cette terre du duc de Bedford après la défaite d'Azincourt en 1415, puis le prince d'Orange , et plus tard, les Molé et les Condé en 1789. Un des ses enfants fut célèbre : au XIIIème siècle, Robert de Luzarches, auteur des plans de la cathédrale d'Amiens. À la Révolution, le maire de Luzarches est Benjamin Constant qui occupe le château d'Hérivaux avec sa maîtresse Mme de Staël. |
44 | Église St-Côme et St-Damien, Luzarches | L'église est dédiée à Saint-Côme et Saint-Damien, saint-patrons des chirurgiens. Les reliques de ces deux médecins arabes, martyrisés à Rome en 303, furent ramenées au XIIème siècle par le seigneur du lieu, lors d'une croisade. Les restes des deux frères furent conservés dans une première église romane (dont on voit quelques vestiges). La façade Renaissance et le clocher datent de 1551. Pour récompenser ce geste pieux, quatre délégués de la Confrérie des chirurgiens de Paris visitèrent gratuitement les gens du pays du XIIème au XVIIIème siècle. |
45 | Église St-Côme et St-Damien, Luzarches | L'église est dédiée à Saint-Côme et Saint-Damien, saint-patrons des chirurgiens. Les reliques de ces deux médecins arabes, martyrisés à Rome en 303, furent ramenées au XIIème siècle par le seigneur du lieu, lors d'une croisade. Les restes des deux frères furent conservés dans une première église romane (dont on voit quelques vestiges). La façade Renaissance et le clocher datent de 1551. Pour récompenser ce geste pieux, quatre délégués de la Confrérie des chirurgiens de Paris visitèrent gratuitement les gens du pays du XIIème au XVIIIème siècle. |
Moret-sur-Loing (32 photos) ![]() ![]() | ||
11 | L'église Saint-Pierre-Aux-Liens-de-Pont-Loup | Prieuré établi au début du XIIè siècle, comme dépendance de l'Abbaye de Vézelay. Situé hors les murs de Moret, ses bâtiments furent gravement endommagés et en partie détruits au cours des guerres du XIVè siècle. En 1383 il ne restait que quatre moines autour du prieur. L'église, construite durant le XIIè siècle, servit de grange à écorces pour les moulins à tan au XIXè siècle. Eglise désaffectée, elle sert aujourd'hui de lieu d'expositions temporaires dans un cadre d'une grande beauté. |
13 | L'église Notre-Dame | Consacrée en 1166 sous l'ordre de Louis VII, l'église Notre-Dame est considérée comme représentative du gothique du Nord de la Loire. A coté de l'église, à l'angle de la rue Grez, se trouve l'ancien Hospice des religieuse ou l'on fabriquait des sucres d'orges, une spécialité de la ville. |
18 | Façade dite de François Ier | |
Parc de Sceaux en automne, I (26 photos) | ||
1 | Cerisier rose | |
12 | Tronc de cerisier rose | |
13 | Grand canal | |
20 | Bouleaux | |
21 | érable champêtre | |
22 | érable plane | |
23 | Sorbier | |
24 | Tulipier | |
25 | Zelkova | |
26 | Zelkova | |
Parc de Sceaux en automne, II (suite) (51 photos) | ||
1 | Noyer d'Amérique | |
2 | Cerisiers | |
3 | Noyer (centre) | |
4 | Cerisiers | |
5 | érables planes | |
6 | Noyer | |
7 | Platane | |
8 | Faune Borghese | Silène tenant dans ses bras le jeune Dionysos. Copie de statue antique XIXè siècle. |
9 | Hercule Commode | Hercule sous les traits de l'empereur Commode, fils de Marc-Aurèle Copie de statue antique XIXè siècle. |
10 | La Terre | Statue du XIXè siècle. |
11 | Glycine autour d'un pin laricio | |
13 | érable plane | |
14 | érable plane | |
15 | Platane, érable plane | |
16 | Platane, érable plane | |
17 | érable plane | |
18 | érable plane | |
19 | érable plane | |
20 | érable plane | |
22 | Charme | |
25 | érable plane à gauche | |
26 | Au centre : sophora | |
27 | Platane | |
28 | Chênes sessiles | |
29 | Allée de tilleuls | |
31 | Cèdres du Liban | |
32 | Orme (centre), cornus mas (droite) | |
33 | Marronniers | |
34 | Robinier | |
35 | Robiniers | |
36 | Château de Sceaux | |
39 | Charme, à droite | |
40 | Charme, à droite | |
41 | Tilleuls | |
42 | Marronniers | |
43 | érable champêtre | |
44 | Oranger des Osages | |
45 | Oranger des Osages | |
46 | Platane, Oranger des Osages, Érable champêtre | |
47 | Févier d'Amérique (gousses) | |
48 | Grand canal | |
51 | Feuilles d'érable plane | |
Parc de Sceaux en automne, III (suite) (30 photos) | ||
1 | Orangers des Osages | |
2 | Orangers des Osages | |
3 | Cervidés | Georges Gardet, début du XXè siècle |
4 | Cervidés | Georges Gardet, début du XXè siècle |
5 | Cervidés | Georges Gardet, début du XXè siècle |
6 | Cervidés | Georges Gardet, début du XXè siècle |
7 | Cervidés | Georges Gardet, début du XXè siècle |
8 | Charme | |
9 | Charme | |
10 | Charme | |
11 | Platane | |
12 | Platane | |
13 | Bassin de l'Octogone | |
15 | Robinier | |
16 | Robinier | |
17 | Bouleau verruqueux, épicéa | |
18 | Aubépine ergot de coq | |
19 | Aubépine ergot de coq | |
20 | Cerisier | |
21 | Cerisier | |
22 | Cerisier | |
23 | Cerisier | |
24 | L'eau | Marbre XIXè siècle |
25 | Orangers des Osages | |
26 | Orangers des Osages | |
27 | Oranger des Osages | |
28 | Hêtres, marronniers | |
29 | Érable plane | |
30 | Érable plane | |
Vallée de la Juine (châteaux) ![]() | ||
1 | Château de Mesnil-Voisin | Bouray-sur-Juine (Essonne) Château de style Henri IV, construit entre 1632 et 1635 pour Pierre Hérouard, maître d'hôtel et secrétaire de la chambre du roi. Le château est bâti sur une plate forme rectangulaire où se juxtaposent haute cour, avec le logis seigneurial construit entièrement en grès et couvert d'ardoises, et basse cour, constituée de la chapelle et de communs élevés en grès, briques et moellons enduits, du colombier à dénichoir mobile, de l'orangerie, du fruitier et du four à pain. L'organisation des bâtiments s'inscrit dans la tradition des modèles de châteaux publiés à la fin du XVIe siècle par Androuet du Cerceau. La cour des communs est coiffée d'une poivrière. Le parc a été dessiné par Le Nôtre. Il mesurait initialement 175 ha. Actuellement, il couvre 42 ha. |
2 | Château de Mesnil-Voisin | Bouray-sur-Juine (Essonne) Château de style Henri IV, construit entre 1632 et 1635 pour Pierre Hérouard, maître d'hôtel et secrétaire de la chambre du roi. Le château est bâti sur une plate forme rectangulaire où se juxtaposent haute cour, avec le logis seigneurial construit entièrement en grès et couvert d'ardoises, et basse cour, constituée de la chapelle et de communs élevés en grès, briques et moellons enduits, du colombier à dénichoir mobile, de l'orangerie, du fruitier et du four à pain. L'organisation des bâtiments s'inscrit dans la tradition des modèles de châteaux publiés à la fin du XVIe siècle par Androuet du Cerceau. La cour des communs est coiffée d'une poivrière. Le parc a été dessiné par Le Nôtre. Il mesurait initialement 175 ha. Actuellement, il couvre 42 ha. |
3 | Château de Mesnil-Voisin | à gauche, le pigeonnier reconnaissable à son toit en poivrière. La Révolution a détruit la plupart des pigeonniers qui incarnaient le pouvoir des seigneurs (et dont les pigeons causaient des dégâts dans les champs des paysans). |
4 | Pigeonnier | On compte environ 3000 "boulins", pouvant donc accueillir 3000 pigeons. On adaptait la taille du pigeonneir à la superficie de terres environnantes. |
5 | Pigeonnier | Il s'agit d'un pigeonnier à dénichoir mobile, car une échelle permet d'atteindre les nichoirs ou boulins et de récupérer les œufs ou les pigeons. On récoltait également la fiente, comme engrais. Deux échelles sont attachées à une poutre, elle-même mobile autour d'un axe vertical. Cet axe repose sur une aiguille. |
6 | Pigeonnier | |
7 | Pigeonnier | Il s'agit d'un pigeonnier à dénichoir mobile, car une échelle permet d'atteindre les nichoirs ou boulins et de récupérer les œufs ou les pigeons. On récoltait également la fiente, comme engrais. Deux échelles sont attachées à une poutre, elle-même mobile autour d'un axe vertical. Cet axe repose sur une aiguille. |
8 | Pigeonnier | Il s'agit d'un pigeonnier à dénichoir mobile, car une échelle permet d'atteindre les nichoirs ou boulins et de récupérer les œufs ou les pigeons. On récoltait également la fiente, comme engrais. Deux échelles sont attachées à une poutre, elle-même mobile autour d'un axe vertical. Cet axe repose sur une aiguille. |
9 | Pigeonnier | |
10 | Château de Mesnil-Voisin | |
11 | Château de Mesnil-Voisin | |
12 | Église Saint-Pierre-es-Liens | Bouray-sur-Juine (Essonne) Période : XIIe s |
13 | Sainte-Agathe | É glise Saint-Pierre-es-Liens, Bouray-sur-Juine (Essonne) Agathe vécut durant la première moitié du 3ème siècle après Jésus Christ. Elle appartenait à une famille noble et fut persécutée en Sicile, suite à son refus d'épouser le pro-consul Quintien. Ce dernier la fit arrêter quand il découvrit le subterfuge dont Agathe usait pour repousser ses avances : elle lui avait en effet promis qu'elle serait à lui dès qu'elle aurait fini une tapisserie, à laquelle elle travaillait le jour mais qu'elle défaisait la nuit ! Agathe mourut en prison, après avoir été soumise au supplice des charbons ardents et été amputée de ses seins. On raconte qu'au moment même de son trépas Catane fut secouée par un tremblement de terre, et que l'année suivante, le jour de l'anniversaire de sa naissance, l'Etna se réveilla. Depuis lors, la sainte est invoquée contre les éruptions du volcan et considérée comme la protectrice du feu. Catane célèbre chaque année sainte Agathe, patronne de la ville, du 3 au 5 février ; même si les habitants, au cours des siècles, ont regulièrement recours à elle, en particulier quand la lave de l'Etna les menace. |
16 | Faucon | |
17 | Faucon | |
18 | Faucon | |
19 | Marronnier en fleur en septembre | |
20 | Platane | |
21 | Platane | |
22 | Gui | |
23 | Château de Gillevoisin | Janville-sur-Juine (Essonne) Période : XVIe-XVIIe-XIXe s Château édifié aux XVIe-XVIIe s, successivement pour Jacques Amyot, célèbre humaniste, Marie Brisson, épouse de François Miron, prévôt des marchands de Paris et Nicolas Gobelin, de la célèbre famille des teinturiers. Remanié au XIXe s, il est entouré d'un parc de 40 hectares, situé dans le site classé de la vallée de la Juine. Le Château s'articule autour de deux ailes : les communs (XVIe s) et un corps principal (XVIIe s). |
24 | Château de Gillevoisin | Janville-sur-Juine (Essonne) Période : XVIe-XVIIe-XIXe s Château édifié aux XVIe-XVIIe s, successivement pour Jacques Amyot, célèbre humaniste, Marie Brisson, épouse de François Miron, prévôt des marchands de Paris et Nicolas Gobelin, de la célèbre famille des teinturiers. Remanié au XIXe s, il est entouré d'un parc de 40 hectares, situé dans le site classé de la vallée de la Juine. Le Château s'articule autour de deux ailes : les communs (XVIe s) et un corps principal (XVIIe s). |
25 | Château de Gillevoisin | Janville-sur-Juine (Essonne) Période : XVIe-XVIIe-XIXe s Château édifié aux XVIe-XVIIe s, successivement pour Jacques Amyot, célèbre humaniste, Marie Brisson, épouse de François Miron, prévôt des marchands de Paris et Nicolas Gobelin, de la célèbre famille des teinturiers. Remanié au XIXe s, il est entouré d'un parc de 40 hectares, situé dans le site classé de la vallée de la Juine. Le Château s'articule autour de deux ailes : les communs (XVIe s) et un corps principal (XVIIe s). |
Versailles (jardin, jets d'eau) (42 photos)![]() | ||
1 | Parterre du Nord : Allée Occidentale | Jardin du château de Versailles >>> lire cette page |
2 | Parterre du Nord : Allée Occidentale | Jardin du château de Versailles >>> lire cette page |
5 | Jardin du château de Versailles >>> lire cette page | |
6 | Gaulois mourant | Jardin du château de Versailles >>> lire cette page |
7 | L'Asie | Statue de marbre, commandée à Roger, vers 1675 à 1680, dans le cadre de la La Grande Commande (de 1674 à 1694). Jardin du château de Versailles >>> lire cette page |
8 | La Nuit | Statue de marbre, commandée à Jean Raon (1631-1707), en 1680, dans le cadre de la La Grande Commande (de 1674 à 1694). Jardin du château de Versailles >>> lire cette page |
9 | L'Afrique | Statue de marbre, commandée à Cornu, en 1682, dans le cadre de la La Grande Commande (de 1674 à 1694). Jardin du château de Versailles >>> lire cette page |
10 | L'Europe | Statue de marbre, commandée à Pierre Mazeline, vers 1675 à 1680, dans le cadre de la La Grande Commande (de 1674 à 1694). Jardin du château de Versailles >>> lire cette page |
11 | Salle des Antiques | Le Bosquet de la Salle des Antiques est orné de bustes et de statues d'après l'antique. Ce bosquet, construit en 1680, a été réaménagé en 1704 par Jules Hardouin-Mansart qui lui conservera sa forme allongée. Il devra son nom aux marronniers, introduits en France sous le règne de Louis XIII, qui constituaient alors une curiosité végétale. |
12 | Titus Aurelius Pius (Antonin le Pieux) (86-161) | Le Bosquet de la Salle des Antiques est orné de bustes et de statues d'après l'antique. Ce bosquet, construit en 1680, a été réaménagé en 1704 par Jules Hardouin-Mansart qui lui conservera sa forme allongée. Il devra son nom aux marronniers, introduits en France sous le règne de Louis XIII, qui constituaient alors une curiosité végétale. |
13 | Le bassin de Latone | Le bassin central fut créé dès 1670 (à l'emplacement d'un bassin datant de Louis XIII) puis modifié en 1689. Latone, avec à ses pieds, ses enfants Diane et Apollon, implore Jupiter de la venger des paysans de Lycie qui se sont moqués d'elle ; ceux-ci sont transformés en batraciens, métamorphose représentée sur les trois degrés constituant le bassin et plus loin dans les bassins des Lézards. voir cette page |
14 | Le bassin de Latone | Le bassin central fut créé dès 1670 (à l'emplacement d'un bassin datant de Louis XIII) puis modifié en 1689. Latone, avec à ses pieds, ses enfants Diane et Apollon, implore Jupiter de la venger des paysans de Lycie qui se sont moqués d'elle ; ceux-ci sont transformés en batraciens, métamorphose représentée sur les trois degrés constituant le bassin et plus loin dans les bassins des Lézards. voir cette page |
15 | Le bassin de Latone | Le bassin central fut créé dès 1670 (à l'emplacement d'un bassin datant de Louis XIII) puis modifié en 1689. Latone, avec à ses pieds, ses enfants Diane et Apollon, implore Jupiter de la venger des paysans de Lycie qui se sont moqués d'elle ; ceux-ci sont transformés en batraciens, métamorphose représentée sur les trois degrés constituant le bassin et plus loin dans les bassins des Lézards. voir cette page |
16 | Le bassin de Latone | Le bassin central fut créé dès 1670 (à l'emplacement d'un bassin datant de Louis XIII) puis modifié en 1689. Latone, avec à ses pieds, ses enfants Diane et Apollon, implore Jupiter de la venger des paysans de Lycie qui se sont moqués d'elle ; ceux-ci sont transformés en batraciens, métamorphose représentée sur les trois degrés constituant le bassin et plus loin dans les bassins des Lézards. voir cette page |
17 | Bassin des Lézards | Au centre du bassin, deux Paysans de Lycie ceuillent des roseaux et sont étamorphosés. Sculpture de Gaspard Marsy (1625-1681), Balthazar Marsy (1628-1674). Date : entre 1668 et 1670. |
18 | Bassin des Lézards | Au centre du bassin, deux Paysans de Lycie ceuillent des roseaux et sont étamorphosés. Sculpture de Gaspard Marsy (1625-1681), Balthazar Marsy (1628-1674). Date : entre 1668 et 1670. |
19 | Le bassin d'Apollon | Point fort de l'axe est-ouest, le bassin d'Apollon est situé à la limite du Petit Parc. Il fut créé en 1671 à l'emplacement d'un bassin creusé du temps de Louis XIII. De forme quadrilobée il mesure 117 mètres de long sur 87 de large. En son centre le groupe du char d'Apollon, en plomb autrefois doré, est l'œuvre de Tubi d'après un dessin de Le Brun. Il représente le lever du jour. Quatre chevaux emportent le char du soleil sortant de la mer pour sa course à travers le ciel. >>> lire cette page |
20 | Le bassin d'Apollon | Point fort de l'axe est-ouest, le bassin d'Apollon est situé à la limite du Petit Parc. Il fut créé en 1671 à l'emplacement d'un bassin creusé du temps de Louis XIII. De forme quadrilobée il mesure 117 mètres de long sur 87 de large. En son centre le groupe du char d'Apollon, en plomb autrefois doré, est l'œuvre de Tubi d'après un dessin de Le Brun. Il représente le lever du jour. Quatre chevaux emportent le char du soleil sortant de la mer pour sa course à travers le ciel. >>> lire cette page |
21 | Le bassin d'Apollon | Point fort de l'axe est-ouest, le bassin d'Apollon est situé à la limite du Petit Parc. Il fut créé en 1671 à l'emplacement d'un bassin creusé du temps de Louis XIII. De forme quadrilobée il mesure 117 mètres de long sur 87 de large. En son centre le groupe du char d'Apollon, en plomb autrefois doré, est l'œuvre de Tubi d'après un dessin de Le Brun. Il représente le lever du jour. Quatre chevaux emportent le char du soleil sortant de la mer pour sa course à travers le ciel. >>> lire cette page |
22 | Le bassin d'Apollon | Point fort de l'axe est-ouest, le bassin d'Apollon est situé à la limite du Petit Parc. Il fut créé en 1671 à l'emplacement d'un bassin creusé du temps de Louis XIII. De forme quadrilobée il mesure 117 mètres de long sur 87 de large. En son centre le groupe du char d'Apollon, en plomb autrefois doré, est l'œuvre de Tubi d'après un dessin de Le Brun. Il représente le lever du jour. Quatre chevaux emportent le char du soleil sortant de la mer pour sa course à travers le ciel. >>> lire cette page |
23 | Le bassin d'Apollon | Point fort de l'axe est-ouest, le bassin d'Apollon est situé à la limite du Petit Parc. Il fut créé en 1671 à l'emplacement d'un bassin creusé du temps de Louis XIII. De forme quadrilobée il mesure 117 mètres de long sur 87 de large. En son centre le groupe du char d'Apollon, en plomb autrefois doré, est l'œuvre de Tubi d'après un dessin de Le Brun. Il représente le lever du jour. Quatre chevaux emportent le char du soleil sortant de la mer pour sa course à travers le ciel. >>> lire cette page |
24 | Le bassin d'Apollon | Point fort de l'axe est-ouest, le bassin d'Apollon est situé à la limite du Petit Parc. Il fut créé en 1671 à l'emplacement d'un bassin creusé du temps de Louis XIII. De forme quadrilobée il mesure 117 mètres de long sur 87 de large. En son centre le groupe du char d'Apollon, en plomb autrefois doré, est l'œuvre de Tubi d'après un dessin de Le Brun. Il représente le lever du jour. Quatre chevaux emportent le char du soleil sortant de la mer pour sa course à travers le ciel. >>> lire cette page |
25 | La colonnade | Au milieu de ce bosquet construit en 1685 par Mansart, on plaça en 1699 un groupe de Girardon, l'Enlèvement de Proserpine par Pluton. >>> lire cette page |
26 | La colonnade | Ce bosquet a été construit en 1685 par Mansart. La Colonnade est formée de 32 colonnes de marbre où alternent le rose de Languedoc, le bleu turquin, la brèche violette supportant une corniche de marbre blanc aux tympans sculptés de jeux d'enfants. Au milieu de ce bosquet, on plaça en 1699 un groupe de Girardon, l'Enlèvement de Proserpine par Pluton. >>> lire cette page |
27 | Bassin du Bosquet de la Girandole | Avec son pendant, le Bosquet du Dauphin, le Bosquet de la Girandole est l'un des premiers bosquets créés par Le Nôtre entre 1661 et 1663. Il tire son nom des motifs décoratifs et des effets hydrauliques de son bassin central. |
28 | Bassin du Bosquet de la Girandole | Avec son pendant, le Bosquet du Dauphin, le Bosquet de la Girandole est l'un des premiers bosquets créés par Le Nôtre entre 1661 et 1663. Il tire son nom des motifs décoratifs et des effets hydrauliques de son bassin central. |
29 | La colonnade | Ce bosquet a été construit en 1685 par Mansart. La Colonnade est formée de 32 colonnes de marbre où alternent le rose de Languedoc, le bleu turquin, la brèche violette supportant une corniche de marbre blanc aux tympans sculptés de jeux d'enfants. >>> lire cette page |
30 | La colonnade | Ce bosquet a été construit en 1685 par Mansart. La Colonnade est formée de 32 colonnes de marbre où alternent le rose de Languedoc, le bleu turquin, la brèche violette supportant une corniche de marbre blanc aux tympans sculptés de jeux d'enfants. >>> lire cette page |
31 | Le bassin de l'Hiver | Le bassin de l'Hiver fait partie d'un groupe de quatre fontaines. Elles symbolisent : "Les 4 Eléments, les 4 Parties du Jour, les 4 Parties du Monde, les 4 Saisons, les 4 Poèmes et les 4 Tempéraments ". >>> lire cette page |
32 | Le bassin de l'Hiver | Le bassin de l'Hiver fait partie d'un groupe de quatre fontaines. Elles symbolisent : "Les 4 Eléments, les 4 Parties du Jour, les 4 Parties du Monde, les 4 Saisons, les 4 Poèmes et les 4 Tempéraments ". >>> lire cette page |
33 | Le bassin de l'Hiver | Le bassin de l'Hiver fait partie d'un groupe de quatre fontaines. Elles symbolisent : "Les 4 Eléments, les 4 Parties du Jour, les 4 Parties du Monde, les 4 Saisons, les 4 Poèmes et les 4 Tempéraments ". >>> lire cette page |
34 | Salle des Marronniers | Vasque en marbre blanc de Jules Hardouin-Mansart (1646-1708) Date : 1704. |
35 | La pyramide | La fontaine de la Pyramide, au bas de l'allée centrale, fut conçue par Le Brun et réalisée par Girardon entre 1669 et 1672. Les quatre vasques de plomb sont supportées par des tritons, des dauphins et des écrevisses. Ces sujets sont sculptés avec une telle vivacité que l'on peut encore aisément imaginer à quel point, autrefois dorés, ils brillaient et s'animaient sous le " ruissellement argenté " s'échappant de l'urne du sommet et descendant en cascade pour créer un des plus remarquables effets d'eau des jardins. >>> lire cette page |
36 | La pyramide | La fontaine de la Pyramide, au bas de l'allée centrale, fut conçue par Le Brun et réalisée par Girardon entre 1669 et 1672. Les quatre vasques de plomb sont supportées par des tritons, des dauphins et des écrevisses. Ces sujets sont sculptés avec une telle vivacité que l'on peut encore aisément imaginer à quel point, autrefois dorés, ils brillaient et s'animaient sous le " ruissellement argenté " s'échappant de l'urne du sommet et descendant en cascade pour créer un des plus remarquables effets d'eau des jardins. >>> lire cette page |
37 | L'allée des Marmousets | Les groupes d'enfants à l'origine en plomb doré portaient des vasques de métal garnies de fleurs et de fruits. Les premiers groupes furent posés en 1670 au nombre de 14. Ils furent rejoints par 8 autres en 1678 et l'ensemble fut refait en bronze avec des vasques de marbre rose, en 1688. Tritons enlacés, petits danseurs, amours, satyres de l'allée ou petits pêcheurs, oiseleurs de la demi-lune qui la termine, tous ces groupes expriment avec grâce le charme de l'enfance. |
38 | Le bassin du Dragon | Au bas de l'Allée d'Eau, le bassin du Dragon de forme circulaire a 40 mètres de diamètre. Des enfants chevauchent des cygnes et combattent un dragon furieux avec leurs arcs. Le jet d'eau principal s'élance de la gueule du dragon jusqu'à 27 mètres de hauteur. L'aspect actuel, restitution des motifs anciens, date de 1889. Date : entre 1669 et 1889 Artistes : Gaspard Marsy (1625-1681), Balthazar Marsy (1628-1674), Tony Noël >>> lire cette page |
39 | Le bassin du Dragon | Au bas de l'Allée d'Eau, le bassin du Dragon de forme circulaire a 40 mètres de diamètre. Des enfants chevauchent des cygnes et combattent un dragon furieux avec leurs arcs. Le jet d'eau principal s'élance de la gueule du dragon jusqu'à 27 mètres de hauteur. L'aspect actuel, restitution des motifs anciens, date de 1889. Date : entre 1669 et 1889 Artistes : Gaspard Marsy (1625-1681), Balthazar Marsy (1628-1674), Tony Noël >>> lire cette page |
40 | Le bassin du Dragon | Au bas de l'Allée d'Eau, le bassin du Dragon de forme circulaire a 40 mètres de diamètre. Des enfants chevauchent des cygnes et combattent un dragon furieux avec leurs arcs. Le jet d'eau principal s'élance de la gueule du dragon jusqu'à 27 mètres de hauteur. L'aspect actuel, restitution des motifs anciens, date de 1889. Date : entre 1669 et 1889 Artistes : Gaspard Marsy (1625-1681), Balthazar Marsy (1628-1674), Tony Noël >>> lire cette page |
41 | Le bassin de Neptune | Le bassin de Neptune comporte 58 jets et 147 effets hydrauliques. Lors des Grandes Eaux, toutes les fontaines jouent. |
42 | Le bassin de Neptune | Le bassin de Neptune comporte 58 jets et 147 effets hydrauliques. Lors des Grandes Eaux, toutes les fontaines jouent. |