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Région : Province


Bourges, la cathédrale Saint Etienne (80 photos)
2La Cathédrale Saint-EtienneCommencée en 1195 par le chevet établi sur le fossé du rempart gallo-romain, la construction de la cathédrale s'est poursuivie par la nef et la façade occidentale.
Le parti architectural retenu par le Maître de Bourges repose sur un plan sans transept. La composition pyramidale de l'élévation et l'audace de la double-volée d'arc-boutants correspondent à la recherche des effets de perspective et de fusion des volumes dans l'espace intérieur.
source : http://www.bourgestourisme.com/
9La Tour sud, dite la « Tour sourde »Elle n'a jamais reçu de cloches, d'où son nom ; elle a été renforcée par un pilier butant.
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10Tour nord dite « Tour de Beurre »Elle a été reconstruite en harmonie avec la façade gothique après son effondrement en 1506. Elle comporte certains éléments décoratifs Renaissance.
14Vitraux du début du XIIIe siècleJoseph
15Joseph
17Thomas
18Thomas
19L'Apocalypse
20Thomas
21La passion
25Le jugement dernier
26Le jugement dernier
27La nouvelle Alliance
28L'enfant prodigue
34Le Palais Jacques CoeurNé à Bourges vers 1400, fils d'un marchand, Jacques Coeur connaît une ascension sociale vertigineuse qui provoquera aussi sa chute...
Anobli en 1441 par le roi Charles VII, il est à la tête d'un négoce prospère en Méditerranée, lorsqu'il entreprend la construction de ce qu'il nomme sa «grant maison».
Ce terme désignait autant les dimensions hors du commun de l'édifice que la somptuosité du décor, emblématique de ses activités commerciales et industrielles, de sa richesse et de ses liens avec le pouvoir royal.
Comme la Cathédrale et le Palais du Duc Jean, la demeure est appuyée sur l'ancien rempart gallo-romain, qui détermine une importante dénivellation, habilement utilisée pour faire d'une des tours, siège d'un fief, un donjon dominant le corps de logis.
Du côté opposé, l'hôtel se trouve de plain-pied avec la ville haute.
Achevée en 1450, son architecture unique échappe à toutes les classifications, tenant à la fois du logis seigneurial et de l'hôtel urbain entre cour et jardin, tel qu'il se développera en France à la Renaissance.
40La maison déploie ainsi un plan en quadrilatère irrégulier, dont les bâtiments entourent une cour intérieure et présentent leurs deux belles façades à l'est et à l'ouest.
A l'est, la façade principale présente un pavillon avec portes charretière et piétonne et chapelle à l'étage, évoquant un châtelet d'entrée.
Son décor porte coquilles et coeurs, armes parlantes de Jacques Coeur, auxquels se mêle la fleur de lys, emblème du roi.
De chaque côté d'un balcon couvert d'un dais de pierre, qui abritait autrefois la statue équestre de Charles VII, apparaissent dans deux étonnantes fausses fenêtres, les sculptures de deux personnages accoudés, l'un à gauche, l'autre à droite.
46La recherche d'un certain confort est concrétisée par les circulations à l'intérieur de l'édifice, facilitée
57Musée Estève, Hôtel des échevinsL'Hôtel des Échevins, construit en 1489, fut le siège de la municipalité pendant trois siècles.
En 1624, un nouveau corps de galerie de style classique vint s'ajouter à l'édifice gothique. C'est aujourd'hui un cadre exceptionnel pour présenter l'évolution de l'Oeuvre du peintre Maurice Estève (1904-2001).
source : http://www.bourgestourisme.com/
60Hôtel Lallemant, Musée des arts décoratifsConstruit à partir de 1490 et achevé en 1515-1518, c'est un superbe édifice de la Première Renaissance française.
L'extraordinaire raffinement de ses façades fut inspiré par l'Antiquité et l'Italie. Les collections comportent du mobilier, des meubles en marqueterie ou en laque de Chine, un ensemble de tapisseries du XVIe et XVIIe siècles, ainsi que des objets d'art et des peintures des XVe-XVIIIe siècles.
source : http://www.bourgestourisme.com/
61Hôtel Lallemant, Musée des arts décoratifsConstruit à partir de 1490 et achevé en 1515-1518, c'est un superbe édifice de la Première Renaissance française.
L'extraordinaire raffinement de ses façades fut inspiré par l'Antiquité et l'Italie. Les collections comportent du mobilier, des meubles en marqueterie ou en laque de Chine, un ensemble de tapisseries du XVIe et XVIIe siècles, ainsi que des objets d'art et des peintures des XVe-XVIIIe siècles.
74Musée Estève, Hôtel des échevinsL'Hôtel des Échevins, construit en 1489, fut le siège de la municipalité pendant trois siècles.
En 1624, un nouveau corps de galerie de style classique vint s'ajouter à l'édifice gothique. C'est aujourd'hui un cadre exceptionnel pour présenter l'évolution de l'Oeuvre du peintre Maurice Estève (1904-2001).
75Musée Estève, Hôtel des échevins
76Musée Estève, Hôtel des échevins
77Musée du Berry, Arts et Traditions PopulairesL'Hôtel Cujas abrite des collections archéologiques et historiques : 250 stèles gallo-romaines, des sculptures conçues pour la Sainte-Chapelle de Jean de Berry.
Une remarquable exposition retrace la vie dans les campagnes au siècle dernier. Une salle est notamment consacrée aux Oeuvres de la famille Talbot, célèbres potiers du village de la Borne au nord de Bourges.
source : http://www.bourgestourisme.com/
78Musée du Berry, Arts et Traditions Populaires
79Musée du Berry, Arts et Traditions PopulairesL'Hôtel Cujas abrite des collections archéologiques et historiques : 250 stèles gallo-romaines, des sculptures conçues pour la Sainte-Chapelle de Jean de Berry.
Une remarquable exposition retrace la vie dans les campagnes au siècle dernier. Une salle est notamment consacrée aux Oeuvres de la famille Talbot, célèbres potiers du village de la Borne au nord de Bourges.
source : http://www.bourgestourisme.com/
80Musée du Berry, Arts et Traditions PopulairesL'Hôtel Cujas abrite des collections archéologiques et historiques : 250 stèles gallo-romaines, des sculptures conçues pour la Sainte-Chapelle de Jean de Berry.
Une remarquable exposition retrace la vie dans les campagnes au siècle dernier. Une salle est notamment consacrée aux Oeuvres de la famille Talbot, célèbres potiers du village de la Borne au nord de Bourges.

Bourges, nuit de la Saint Sylvestre (56 photos)
2La rue BourbonnouxSes maisons très typiques en pan de bois, pour la plupart reconstruites après l'incendie dit de la Madeleine en 1487, en font incontestablement une rue pleine de charme, où les échoppes d'artisans revivent sous les enseignes des libraires, luthier, antiquaires et côtoient de nombreux restaurants.
7Place GordainePlace de marché dès l'époque médiévale, les changeurs s'y étaient établis, ainsi que les bouchers et les poissonniers.

Aujourd'hui, choux frisés, accolades et grappes de raisins sont toujours présents dans les décorations sculptées des magnifiques maisons en pan de bois qui ont conservé leur pignon sur rue et leurs deux étages.

31Feu d'artifice du 31 décembre

Camargue (34 photos)
1Micocoulier
2Micocouliermarché du samedi d'Arles
3Arlescloître saint-Trophime, dortoir, vitrail
>>>plan de région
4Arlesjardin de l'hôpital où séjourna Vincent van Gogh
>>>plan de région
5ArlesSaint-Trophime, portail
>>>plan de région
6Arlesamphithéâtre romain
>>>plan de région
7Arlesthéâtre romain,
avec un arbre de judée au premier plan.
8Champ de colzaentre Saintes Maries de la mer et Arles
>>>plan de région
9Hibou grand Ducparc ornithologique de Saintes-Maries
Le Hibou grand duc, Bubo bubo, est le plus grand et le plus fort de nos rapaces nocturnes. Comme c'est généralement le cas chez la buse et le hibou, la taille de la femelle est nettement supérieure à celle du mâle; elle pèse en moyenne 2kg et ses ailes atteignent environ 1,2m.
Il possède de grands yeux orangées et des aigrettes de plumes sur la tête qui font penser à des oreilles, et qui sont caractéristiques à tous les hiboux.
Il niche sur des parois rocheuses, au sol sous un rocher ou sous une grosse souche. Il préfère généralement s'emparer du nid abandonné l'année précédente par quelque autre oiseau de proie.
Chasseur nocturne, il se nourrit de hérissons, rats, lapins, oiseaux et même parfois un renard. Sa vision nocturne de même que son ouïe sont très aiguisées. Comme c'est le cas pour les autres hiboux, son plumage duveteux lui permet d'approcher sa proie sans faire de bruit. Ce chasseur silencieux est rapide, et ses serres longues et effilées sont ses armes les plus efficaces.
>>>plan de région
10Flamands rosesparc ornithologique de Saintes-Maries
Nom latin :Phoenicopterus ruber
Population : Sud de la France : 50 000 environ au printemps et en été ; dans le monde : 500 000 à 800 000.
Migration : jusqu'à 30 000 flamands passent l'hiver dans le Sud de la France, les autres s'envolent en septembre vers l'Espagne, l'Afrique du nord et le Sénégal, pour revenir en France en février-mars.
Accouplement : à partir du mois de janvier, les flamands commencent leur parade nuptiale, prélude aux accouplements qui ont lieu de la fin mars à la fin mai.
Lieu unique de ponte en France :
le delta du Rhône.
Nid : cône de boue, dont le sommet concave reçoit et abrite un oeuf unique, pondu entre le début avril et la fin mai.
De l'oeuf à la crèche : l'oeuf est couvé par les deux parents pendant un mois environ. Ensuite, tous les petits grandissent en communauté encadrés par les adultes de la colonie :ils forment la "crèche".
Premier vol des petits : dès l'âge de 3 mois (fin juillet).
Plumage : le poussin est d'abord vêtu d'un duvet blanc aux premiers jours, gris par la suite. L'adulte est blanc ou rose pâle, ses ailes sont rouges bordées de plumes noires.
Nourriture : crustacés, algues et petits invertébrés aquatiques qui leur donnent leur couleur rose.
Taille : le flamand est adulte à environ 5 ans ; le mâle est plus grand que la femelle. Hauteur : entre 1,50 m et 2 m maximum ; envergure : 1,9 m.
Poids : 2 à 4,5 kg.
Longévité : 38 ans dans la nature, 57 ans en captivité.
Cri : grave et rauque, semblable à celui des oies.
11Vol de héron cendréArdea cinerea
parc ornithologique de Saintes-Maries

>>>>tout savoir sur le héron
>>>>la description de Buffon
>>>>et la fable de Jean de La Fontaine.
12Flamands rosesparc ornithologique de Saintes-Maries
Nom latin :Phoenicopterus ruber
Population : Sud de la France : 50 000 environ au printemps et en été ; dans le monde : 500 000 à 800 000.
Migration : jusqu'à 30 000 flamands passent l'hiver dans le Sud de la France, les autres s'envolent en septembre vers l'Espagne, l'Afrique du nord et le Sénégal, pour revenir en France en février-mars.
Accouplement : à partir du mois de janvier, les flamands commencent leur parade nuptiale, prélude aux accouplements qui ont lieu de la fin mars à la fin mai.
Lieu unique de ponte en France :
le delta du Rhône.
Nid : cône de boue, dont le sommet concave reçoit et abrite un oeuf unique, pondu entre le début avril et la fin mai.
De l'oeuf à la crèche : l'oeuf est couvé par les deux parents pendant un mois environ. Ensuite, tous les petits grandissent en communauté encadrés par les adultes de la colonie :ils forment la "crèche".
Premier vol des petits : dès l'âge de 3 mois (fin juillet).
Plumage : le poussin est d'abord vêtu d'un duvet blanc aux premiers jours, gris par la suite. L'adulte est blanc ou rose pâle, ses ailes sont rouges bordées de plumes noires.
Nourriture : crustacés, algues et petits invertébrés aquatiques qui leur donnent leur couleur rose.
Taille : le flamand est adulte à environ 5 ans ; le mâle est plus grand que la femelle. Hauteur : entre 1,50 m et 2 m maximum ; envergure : 1,9 m.
Poids : 2 à 4,5 kg.
Longévité : 38 ans dans la nature, 57 ans en captivité.
Cri : grave et rauque, semblable à celui des oies.
13Flamands rosesparc ornithologique de Saintes-Maries
Nom latin :Phoenicopterus ruber
Population : Sud de la France : 50 000 environ au printemps et en été ; dans le monde : 500 000 à 800 000.
Migration : jusqu'à 30 000 flamands passent l'hiver dans le Sud de la France, les autres s'envolent en septembre vers l'Espagne, l'Afrique du nord et le Sénégal, pour revenir en France en février-mars.
Accouplement : à partir du mois de janvier, les flamands commencent leur parade nuptiale, prélude aux accouplements qui ont lieu de la fin mars à la fin mai.
Lieu unique de ponte en France :
le delta du Rhône.
Nid : cône de boue, dont le sommet concave reçoit et abrite un oeuf unique, pondu entre le début avril et la fin mai.
De l'oeuf à la crèche : l'oeuf est couvé par les deux parents pendant un mois environ. Ensuite, tous les petits grandissent en communauté encadrés par les adultes de la colonie :ils forment la "crèche".
Premier vol des petits : dès l'âge de 3 mois (fin juillet).
Plumage : le poussin est d'abord vêtu d'un duvet blanc aux premiers jours, gris par la suite. L'adulte est blanc ou rose pâle, ses ailes sont rouges bordées de plumes noires.
Nourriture : crustacés, algues et petits invertébrés aquatiques qui leur donnent leur couleur rose.
Taille : le flamand est adulte à environ 5 ans ; le mâle est plus grand que la femelle. Hauteur : entre 1,50 m et 2 m maximum ; envergure : 1,9 m.
Poids : 2 à 4,5 kg.
Longévité : 38 ans dans la nature, 57 ans en captivité.
Cri : grave et rauque, semblable à celui des oies.
14Flamands rosesparc ornithologique de Saintes-Maries
Nom latin :Phoenicopterus ruber
Population : Sud de la France : 50 000 environ au printemps et en été ; dans le monde : 500 000 à 800 000.
Migration : jusqu'à 30 000 flamands passent l'hiver dans le Sud de la France, les autres s'envolent en septembre vers l'Espagne, l'Afrique du nord et le Sénégal, pour revenir en France en février-mars.
Accouplement : à partir du mois de janvier, les flamands commencent leur parade nuptiale, prélude aux accouplements qui ont lieu de la fin mars à la fin mai.
Lieu unique de ponte en France :
le delta du Rhône.
Nid : cône de boue, dont le sommet concave reçoit et abrite un oeuf unique, pondu entre le début avril et la fin mai.
De l'oeuf à la crèche : l'oeuf est couvé par les deux parents pendant un mois environ. Ensuite, tous les petits grandissent en communauté encadrés par les adultes de la colonie :ils forment la "crèche".
Premier vol des petits : dès l'âge de 3 mois (fin juillet).
Plumage : le poussin est d'abord vêtu d'un duvet blanc aux premiers jours, gris par la suite. L'adulte est blanc ou rose pâle, ses ailes sont rouges bordées de plumes noires.
Nourriture : crustacés, algues et petits invertébrés aquatiques qui leur donnent leur couleur rose.
Taille : le flamand est adulte à environ 5 ans ; le mâle est plus grand que la femelle. Hauteur : entre 1,50 m et 2 m maximum ; envergure : 1,9 m.
Poids : 2 à 4,5 kg.
Longévité : 38 ans dans la nature, 57 ans en captivité.
Cri : grave et rauque, semblable à celui des oies.
15Aigues-MortesAigues-Mortes doit son nom, aux marais qui l'entourent.
En 1240, le Roi Louis IX obtient des moines de l'Abbaye de Psalmody l'autorisation de fonder une ville et un port sur les terres côtières alentours, non loin de l'embouchure du Rhône. Le port est construit en vue de l'embarquement pour la croisade
16Les salins d'Aigues-MortesLa compagnie des salins du midi et des salines de l'est a unifié peu à peu l'ensemble des salins et exploite aujourd'hui dans la seule zone d'Aigues-Mortes une superficie de 10 800 hectares pour la récolte du sel. Le salin d'Aigues-Mortes s'étend sur une longueur de 18 kilomètres du nord au sud et sur une largeur de 13,500 kilomètres d'est en ouest.

L'exploitation du sel
L'exploitation pompe l'eau dans la mer, puis l'emmène dans des bassins, pour faire augmenter le degré de salinité de l'eau, grâce au soleil et au vent qui évapore peu à peu mais le sel reste. On a alors une eau de plus en plus concentrée en sel. L'eau saturée est alors déposée sur des tables salantes = bassins de faible profondeur.
Au mois de septembre l'eau s'est complètement évaporée et il reste une couche de sel qui varie entre 40 à 100 millimètres d'épaisseur. Ensuite on le récolte avec des engins spécialement étudiés pour le ramassage du sel.
En général la récolte annuelle est de 300 000 à 450 000 tonnes. Le sel est stocké sous la forme de 2 gigantesques collines = les camelles.
Ensuite le sel est repris des camelles : relavé, séché, barilé et empaqueté, principalement pour la consommation humaine, mais aussi pour le bétail (bloc à lécher) pour la tannerie et pour l'industrie chimique. Le sel sert aussi pour saler les routes en hiver.

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17Vignoble Listel
18Saintes Maries de la merL'église a été construite près de l'embouchure du Petit Rhône, au IXème siècle. Elle occupe une position stratégique menacée par les pirates, les Sarrasins et les Arabes. Le chœur et l'abside sont surmontés par un donjon en hémicycle qui renferme l'ancienne salle du corps de garde appelée "Chapelle haute" et servit de tour de guet. Les murs de l'église sont percés de meurtrières. Le toit est entouré par un chemin de ronde, avec créneaux et mâchicoulis. On trouve même dans l'église un puits d'eau douce pour résister en cas de siège.
La crypte abrite la statue de Sara, la vierge des gitans.
19GardiansManade Cavallini
Mas de Pioch
Route d'Arles
13460 Les Saintes-Maries de la Mer

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24Ferrade d'anoubleLa ferrade "d'anouble" (taureauâgé d'un an) consiste à marquer au fer rouge le taurillon. La ferrade vient du provençal "ferrer" qui veut dire marquer. Pour cela on utilise un fer qui a la forme de la sceau de la manade. Le fer est chauffé et brûle le cuir de la bête. On lui coupe également le bout de l'oreille.
25Jeux de vacheLes jeux de gardians se tiennent dans le Bouvaou (petites arènes) de la Manade.
Manade Cavallini
Mas de Pioch
Route d'Arles
13460 Les Saintes-Maries de la Mer.
26Taureaux de CamargueManade Cavallini
Mas de Pioch
Route d'Arles
13460 Les Saintes-Maries de la Mer

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27Taureaux de CamargueManade Cavallini
Mas de Pioch
Route d'Arles
13460 Les Saintes-Maries de la Mer

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28Taureaux de Camargueau bord du Rhône
29Le Rhône
30Nîmes, arènesConstruit à la fin du Ier siècle après JC, et appelé depuis le XIIe siècle les Arènes, l'amphithéâtre de Nîmes est de forme elliptique. C'est un des mieux conservés de tous les amphithéâtres connus. Il peut contenir plus de 15000 spectateurs. Il mesure 133m de long et 101m de large. Le grand axe de l'arène a 69m, le petit axe 38m.

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31Arbre de Judée
32Arbre de Judée
33Olivier et tour Magne
34Platanes

Montgolfiade, côte chalonnaise (45 photos)
1Une équipe de trois personnes peut faire décoller un ballon à air chaud en 10 à 15 minutes. A défaut d'un terrain homologué, on choisit un terrain approprié au décollage (avec l'accord du propriétaire), dépourvu d'obstacles dans la direction qu'empruntera le ballon. Avant la mise en oeuvre, le pilote s'assure qu'il est dans les limites d'emploi fixées dans le manuel de vol (force du vent au décollage et courbe de charge), s'informe de la situation météorologique et de son évolution. Il procède à l'assemblage des différents éléments, effectue les essais et vérifie les instruments de bord. La nacelle est couchée sur le sol dans l'axe du vent. L'enveloppe est attachée au cadre de charge. Les équipiers étendent l'enveloppe. De l'air y est insufflé à l'aide d'un ventilateur. Après avoir fixé la "soupape" au sommet de l'enveloppe et l'avoir bien ventilée, il réchauffe l'air intérieur à l'aide du brûleur. Par coups successifs, l'air chaud emplit l'enveloppe qui se redresse ainsi que la nacelle. Après les dernières vérifications, les passagers sont embarqués et le pilote continue à chauffer l'intérieur de l'enveloppe jusqu'à ce que la température équilibre le poids de l'ensemble (force aérostatique).
14Brûleur : il délivre une flamme dirigée avec précision de 3 à 6 mètres de haut rentrant à l'intérieur de l'enveloppe par la partie inférieure ouverte "bouche". Placé sur le cadre de charge, le brûleur est orientable. Une canalisation souple le relie à des réservoirs cylindriques en aluminium ou en acier, qui contiennent chacun de 20 à 35 kg de propane liquide. L'ouverture des vannes libère le propane, qui circule dans un serpentin et, sous l'effet de la chaleur, le distribue aux gicleurs, d'où il se diffuse pour se mélanger à l'air ambiant et s'enflammer au contact d'une veilleuse.
22Brûleur : il délivre une flamme dirigée avec précision de 3 à 6 mètres de haut rentrant à l'intérieur de l'enveloppe par la partie inférieure ouverte "bouche". Placé sur le cadre de charge, le brûleur est orientable. Une canalisation souple le relie à des réservoirs cylindriques en aluminium ou en acier, qui contiennent chacun de 20 à 35 kg de propane liquide. L'ouverture des vannes libère le propane, qui circule dans un serpentin et, sous l'effet de la chaleur, le distribue aux gicleurs, d'où il se diffuse pour se mélanger à l'air ambiant et s'enflammer au contact d'une veilleuse.
23Prêt à décoller
30L'enveloppe au sol
31On replie l'enveloppe
34BaptêmeLe pilote espagnol explique, dans la langue de Cervantes, qu'il va baptiser le nouvel adepte au nom de trois éléments. Chacun symbolise un élément vital pour l'aérostation : le feu, ici matérialisé par un briquet, est nécessaire pour chauffer l'air contenu dans l'enveloppe ; le liquide, ici du crément bien mousseux, est en fait le gaz liquéfié ; la terre, qu'il ramasse à ses pieds, est la plateau des vaches que l'aérostier aspire à quitter. Puis il mêle la terre dans les cheveux du nouvel adepte, allume la flamme, sur son crâne (!) tandis que le copilote verse une giclée de crément et le tour est joué.
35BaptêmeLe pilote espagnol explique, dans la langue de Cervantes, qu'il va baptiser le nouvel adepte au nom de trois éléments. Chacun symbolise un élément vital pour l'aérostation : le feu, ici matérialisé par un briquet, est nécessaire pour chauffer l'air contenu dans l'enveloppe ; le liquide, ici du crément bien mousseux, est en fait le gaz liquéfié ; la terre, qu'il ramasse à ses pieds, est la plateau des vaches que l'aérostier aspire à quitter. Puis il mêle la terre dans les cheveux du nouvel adepte, allume la flamme, sur son crâne (!) tandis que le copilote verse une giclée de crément et le tour est joué.
36BaptêmeLe pilote espagnol explique, dans la langue de Cervantes, qu'il va baptiser le nouvel adepte au nom de trois éléments. Chacun symbolise un élément vital pour l'aérostation : le feu, ici matérialisé par un briquet, est nécessaire pour chauffer l'air contenu dans l'enveloppe ; le liquide, ici du crément bien mousseux, est en fait le gaz liquéfié ; la terre, qu'il ramasse à ses pieds, est la plateau des vaches que l'aérostier aspire à quitter. Puis il mêle la terre dans les cheveux du nouvel adepte, allume la flamme, sur son crâne (!) tandis que le copilote verse une giclée de crément et le tour est joué.
37BaptêmeLe pilote espagnol explique, dans la langue de Cervantes, qu'il va baptiser le nouvel adepte au nom de trois éléments. Chacun symbolise un élément vital pour l'aérostation : le feu, ici matérialisé par un briquet, est nécessaire pour chauffer l'air contenu dans l'enveloppe ; le liquide, ici du crément bien mousseux, est en fait le gaz liquéfié ; la terre, qu'il ramasse à ses pieds, est la plateau des vaches que l'aérostier aspire à quitter. Puis il mêle la terre dans les cheveux du nouvel adepte, allume la flamme, sur son crâne (!) tandis que le copilote verse une giclée de crément et le tour est joué.

Montgolfiade, Nord de Chalon (41 photos)
1Briefing à 6h du matince matin, pas ou peu de vent.

Vol en montgolfière, Nord de Chalon (57 photos)
1Marry Tijhuis, pilote
2on teste la direction du vent en envoyant un ballon plus léger que l'air ; celui-là ne s'envole pas, car il est trop lourd !
3Test des brûleurs
4l'enveloppe est gonflée à l'aide d'un souffleur.
7Fixation du parachuteLe sommet de l'enveloppe est obturé de l'intérieur par un panneau circulaire amovible, appelé "parachute". Ce dernier, sous la poussée de l'air chaud, se plaque sur la bordure du sommet de l'enveloppe, assurant ainsi son étanchéité. Il peut aussi faire office de soupape, lors de la descente.
12Début de l'élévation de l'enveloppeUne fois l'enveloppe suffisamment remplie d'air, le brûleur est actionné pour réchauffer l'air. L'enveloppe se redresse progressivement.
14Coup de flamme pour le départ
16Grille du concoursLe jeu consiste à lancer un sac de sable le plus près possible de la cible marquée d'une croix rouge.
17Approche de la cible
19L'Écossais
20Descente sur le plan d'eauLe but est de s'approcher le plus près possible de la surface de l'eau, sans la toucher, ni s'enfoncer (ce qui peut arriver, compte tenu de la forte inertie de la navigation).
25Chalon-sur-Saône
27Le golf
34On approche de l'eau
47Atterrissage en douceur .
48. sur le chemin
57le plus dur est de remballer la toile qui est très lourde.

Givry (35 photos)
1Église Saint Pierre et Saint PaulLa première église Saint Pierre et Saint Paul était située à l'emplacement de l'église actuelle et orientée est-ouest. Les murs de la nef s'écartant et faisant craindre une chute, il fut décidé de construire un nouvel édifice. Les travaux sont confiés à Emiland Gauthey, ingénieur des Ponts et Chaussées et architecte Chalonnais, condisciple et ami de Soufflot, l'architecte du Panthéon à Paris. On lui doit aussi le canal du Centre. Les travaux sont réalisés de 1773 à 1791.
Construite en pierres de Givry, l'église est orientée Nord-Sud à la demande des paroissiens de l'époque qui voulaient .. une belle entrée" sur la route.
Six coupoles recouvrent l'église : une au-dessus de la nef, une au-dessus du choeur, et quatre autres au-dessus des petites chapelles latérale. Le porche est surmonté d'un clocher en forme d'obélisque.

La nef est en forme de croix grecque (quatre bras égaux). De grands ;arcs reposent sur 8 colonnes ioniques et soutiennent la coupole centrale. Le ;choeur, de forme ovale repose sur 10 colonnes de style corinthien. Il a été ;transformé au XIXème siècle, époque du Maître-autel ;et des vitraux.
;On est frappé par l'austérité et le dépouillement ;de l'édifice. En cette époque, l'art n'est plus au service du ;prestige du roi et tend moins à magnifier la gloire de Dieu. On recherche ;rigueur et simplicité en s'inspirant des constructions romaines ou des ;anciennes chrétiennes.

2Église Saint Pierre et Saint PaulLa première église Saint Pierre et Saint Paul était située à l'emplacement de l'église actuelle et orientée est-ouest. Les murs de la nef s'écartant et faisant craindre une chute, il fut décidé de construire un nouvel édifice. Les travaux sont confiés à Emiland Gauthey, ingénieur des Ponts et Chaussées et architecte Chalonnais, condisciple et ami de Soufflot, l'architecte du Panthéon à Paris. On lui doit aussi le canal du Centre. Les travaux sont réalisés de 1773 à 1791.
Construite en pierres de Givry, l'église est orientée Nord-Sud à la demande des paroissiens de l'époque qui voulaient .. une belle entrée" sur la route.
Six coupoles recouvrent l'église : une au-dessus de la nef, une au-dessus du choeur, et quatre autres au-dessus des petites chapelles latérale. Le porche est surmonté d'un clocher en forme d'obélisque.

La nef est en forme de croix grecque (quatre bras égaux). De grands ;arcs reposent sur 8 colonnes ioniques et soutiennent la coupole centrale. Le ;choeur, de forme ovale repose sur 10 colonnes de style corinthien. Il a été ;transformé au XIXème siècle, époque du Maître-autel ;et des vitraux.
;On est frappé par l'austérité et le dépouillement ;de l'édifice. En cette époque, l'art n'est plus au service du ;prestige du roi et tend moins à magnifier la gloire de Dieu. On recherche ;rigueur et simplicité en s'inspirant des constructions romaines ou des ;anciennes chrétiennes.

3Église Saint Pierre et Saint Paul
4Église Saint Pierre et Saint Paul
5Le chourLe choeur, de forme ovale repose sur 10 colonnes de style corinthien. Il a été transformé au XIXème siècle, époque du Maître-autel et des vitraux.
6Église Saint Pierre et Saint Paul
7Église Saint Pierre et Saint Paul
10Hôtel de VilleIl est construit de 1759 à 1771 comme une porte monumentale qui enjambe l'une des rues principales.
En 1985 on a découvert, dans les greniers de l'hôtel de ville, un document unique : un cahier d'une centaine de feuilles rédigés par les curés de Givry de 1303 à 1357. Dans ce chier sont inscrits les naissances, mariages, décès des habitants de Givry. Cette période est celle de la grande épidémie de peste qui ravagea la France. Une personne sur deux meurt à cette époque. Citons quelques chiffres : avant 1340 on compte en moyenne 25 décès par an - en août 1348, 110 morts, en septembre, 30 dont 24 pour la seule journée du 10. En novembre seulement on observe un ralentissement.
11Hôtel de Ville
13Halle RondeLa Halle aux grains est construite en 1830. On l'appelle Halle Ronde en raison de sa forme cylindrique. Les voitures attelées reculaient par des portes tout autour de l'édifice. Un escalier en colimaçon est au centre. La Halle Ronde est devenue un lieu d'expositions d'art et de produits régionaux pendant la période estivale.
16La Fontaine aux DauphinsElle date de 1776.
18Vignoble de côte chalonnaise
31Iris
32Iris
33Iris
34Iris
35Iris

Faux de Verzy (27 photos)
1Épicéas
2Épicéas
3Bouleau verruqueux
4Hêtre tortillardpour en savoir plus : voir cette page
14Les feuilles de hêtres sont marcescentes, comme chez le Chêne et le Châtaignier : elles restent sur l'arbre une partie de l'hiver.

pour en savoir plus : voir cette page

Caves de Champagne (21 photos)
3M. Huré à Ludes
6Champagne Pommery à Reims
8Généreuse IIExposition Strebelle au Domaine Pommery
9L'épanouieExposition Strebelle au Domaine Pommery
10Le Rire RentréExposition Strebelle au Domaine Pommery
12SilènePommery date de 1836. Quant à son nom, il ne date que de 1856, avec l'arrivée de Louis Pommery.
Madame Pommery, restée veuve en 1858, prend en main les destinées de la Maison Pommery.
Elle rachète des terrains dotés d'anciennes crayères romaines abandonnées. Un véritable réseau de 18 kilomètres de galeries relie 120 crayères, creusé alors par des mineurs que la maison Pommery avait fait venir du nord de la France. Et pour glorifier les clients étrangers, elle baptise les galeries du nom de grandes villes, comme New York, Londres, Rio etc...
Lorsque fut achevé ce maillage crayeux, Madame Pommery invente l'automatisation du transport des bouteilles : une voie de rails est accrochée au plafond, munie de crochets, véhiculant des paniers en osier contenant six bouteilles.
La maison a commercialisé pour la première fois en 1874, un Champagne brut sans liqueur de dosage.
Madame Pommery, également mécène et soucieuse d'art, commande aux frères Navelet une série de quatre sculptures en bas-relief pour orner son labyrinthe crayeux. L'exécution prend 3 années de 1882 à 1884, et se fait dans des conditions pénibles : la lumière y est faible, le seul éclairage étant à la bougie, l'humidité est permanente et la fraîcheur à 11° C assurée. Les scènes représentent des enfants-en-vignes, des vendanges, un Silène, le père spirituel de Bacchus et une charmante demoiselle goûtant du Champagne.
En 1889, pour faire taire des rumeurs sur sa situation financière, Madame Pommery acquiert pour 300 000 francs or, le tableau les Glaneuses de Jean-François Millet. Le tableau est aujourd'hui au Louvre.
13Le Champagne au XVIIè s.Pommery date de 1836. Quant à son nom, il ne date que de 1856, avec l'arrivée de Louis Pommery.
Madame Pommery, restée veuve en 1858, prend en main les destinées de la Maison Pommery.
Elle rachète des terrains dotés d'anciennes crayères romaines abandonnées. Un véritable réseau de 18 kilomètres de galeries relie 120 crayères, creusé alors par des mineurs que la maison Pommery avait fait venir du nord de la France. Et pour glorifier les clients étrangers, elle baptise les galeries du nom de grandes villes, comme New York, Londres, Rio etc...
Lorsque fut achevé ce maillage crayeux, Madame Pommery invente l'automatisation du transport des bouteilles : une voie de rails est accrochée au plafond, munie de crochets, véhiculant des paniers en osier contenant six bouteilles.
La maison a commercialisé pour la première fois en 1874, un Champagne brut sans liqueur de dosage.
Madame Pommery, également mécène et soucieuse d'art, commande aux frères Navelet une série de quatre sculptures en bas-relief pour orner son labyrinthe crayeux. L'exécution prend 3 années de 1882 à 1884, et se fait dans des conditions pénibles : la lumière y est faible, le seul éclairage étant à la bougie, l'humidité est permanente et la fraîcheur à 11° C assurée. Les scènes représentent des enfants-en-vignes, des vendanges, un Silène, le père spirituel de Bacchus et une charmante demoiselle goûtant du Champagne.
En 1889, pour faire taire des rumeurs sur sa situation financière, Madame Pommery acquiert pour 300 000 francs or, le tableau les Glaneuses de Jean-François Millet. Le tableau est aujourd'hui au Louvre.
14Fête de BacchusPommery date de 1836. Quant à son nom, il ne date que de 1856, avec l'arrivée de Louis Pommery.
Madame Pommery, restée veuve en 1858, prend en main les destinées de la Maison Pommery.
Elle rachète des terrains dotés d'anciennes crayères romaines abandonnées. Un véritable réseau de 18 kilomètres de galeries relie 120 crayères, creusé alors par des mineurs que la maison Pommery avait fait venir du nord de la France. Et pour glorifier les clients étrangers, elle baptise les galeries du nom de grandes villes, comme New York, Londres, Rio etc...
Lorsque fut achevé ce maillage crayeux, Madame Pommery invente l'automatisation du transport des bouteilles : une voie de rails est accrochée au plafond, munie de crochets, véhiculant des paniers en osier contenant six bouteilles.
La maison a commercialisé pour la première fois en 1874, un Champagne brut sans liqueur de dosage.
Madame Pommery, également mécène et soucieuse d'art, commande aux frères Navelet une série de quatre sculptures en bas-relief pour orner son labyrinthe crayeux. L'exécution prend 3 années de 1882 à 1884, et se fait dans des conditions pénibles : la lumière y est faible, le seul éclairage étant à la bougie, l'humidité est permanente et la fraîcheur à 11° C assurée. Les scènes représentent des enfants-en-vignes, des vendanges, un Silène, le père spirituel de Bacchus et une charmante demoiselle goûtant du Champagne.
En 1889, pour faire taire des rumeurs sur sa situation financière, Madame Pommery acquiert pour 300 000 francs or, le tableau les Glaneuses de Jean-François Millet. Le tableau est aujourd'hui au Louvre.
15Pommery date de 1836. Quant à son nom, il ne date que de 1856, avec l'arrivée de Louis Pommery.
Madame Pommery, restée veuve en 1858, prend en main les destinées de la Maison Pommery.
Elle rachète des terrains dotés d'anciennes crayères romaines abandonnées. Un véritable réseau de 18 kilomètres de galeries relie 120 crayères, creusé alors par des mineurs que la maison Pommery avait fait venir du nord de la France. Et pour glorifier les clients étrangers, elle baptise les galeries du nom de grandes villes, comme New York, Londres, Rio etc...
Lorsque fut achevé ce maillage crayeux, Madame Pommery invente l'automatisation du transport des bouteilles : une voie de rails est accrochée au plafond, munie de crochets, véhiculant des paniers en osier contenant six bouteilles.
La maison a commercialisé pour la première fois en 1874, un Champagne brut sans liqueur de dosage.
Madame Pommery, également mécène et soucieuse d'art, commande aux frères Navelet une série de quatre sculptures en bas-relief pour orner son labyrinthe crayeux. L'exécution prend 3 années de 1882 à 1884, et se fait dans des conditions pénibles : la lumière y est faible, le seul éclairage étant à la bougie, l'humidité est permanente et la fraîcheur à 11° C assurée. Les scènes représentent des enfants-en-vignes, des vendanges, un Silène, le père spirituel de Bacchus et une charmante demoiselle goûtant du Champagne.
En 1889, pour faire taire des rumeurs sur sa situation financière, Madame Pommery acquiert pour 300 000 francs or, le tableau les Glaneuses de Jean-François Millet. Le tableau est aujourd'hui au Louvre.
17L'EnvolExposition Strebelle au Domaine Pommery
21L'EndormieExposition Strebelle au Domaine Pommery

 
1Arrivée sur le Mont Saint-Michel,
2Le Mont Saint-Michel et les prés salés
3Auguste et sa chienne Diane
4Arrivée par la digue
5L'abbaye :
vue du Nord-Est
6Brebis Grévin
7La star
8La rue principale
9Parement en tavaillon
10Un moineau posé sur un tavaillon
11Maison traditionnelle
12L'abbaye :
vue de l'Est
13Arrivée à l'entrée de l'abbaye
14Chemin de ronde
15Chemin de ronde par temps gris
16Chapelle au bord de l'eau
17L'abbaye :
le chemin d'accès
18Abbaye :
la Merveille
19Au Nord de l'église abbatiale
20Façade de l'église abbatiale
21L'église abbatiale
22Le chour gothique flamboyant
23Le chour gothique flamboyant
24Adam et Eve
25Les apôtres
26Le cloître
27Détail des arcades
28La Salle des Hôtes
29Le scriptorium
30Le scriptorium
31Vitrail
32Vue à travers les vitraux
33La nuit
34Façade en colombage
35La nuit
36L'abbaye :
vue de l'Est
37L'abbaye :
vue du Nord-Est
38Pointe du Grouin
39Pointe du Grouin
40Pointe du Grouin
41Pointe du Grouin
42Saint-Malo :
île Cézembre
43Saint-Malo :
fort national
44Saint-Malo :
le port
45Saint-Malo :
cathédrale Saint-Vincent
46Saint-Malo :
cathédrale Saint-Vincent
47Saint-Malo :
cathédrale Saint-Vincent

Île de Bréhat (32 photos)
2Route de l'Arcouestembarcadère pour l'île de Bréhat
3Grande marée d'équinoxe
7Port-Clos à marée basse
10Le bourg
15Cèdre du Liban
19Dîner de 17h30
21Vaches allongées
22Chiens assis
27Chaos de rochers roses du Phare du Paon
28Vue du Phare du Paon
29Tronc de cyprès
30Vue de la chapelle Saint-Michel
31Moulin à marée du BirlotLe moulin à marée du Birlot est situé sur le chenal du Kerpont, à l'ouest de l'île de Bréhat. Une digue de 140 m de long barre une anse pour former une réserve d'eau de 2 ha qui se remplit à marée haute et se vide à marée descendante, alimentant alors le moulin.
Le moulin a été construit entre 1633 et 1638. Pendant tout l'Ancien Régime, il est la propriété du duc de Penthièvre, seigneur de l'île de Bréhat. Ce moulin est un moulin banal, c'est-à-dire que tous les habitants d'un territoire (ou banlieue) sont obligés d'aller moudre leur grain à ce moulin.
En 1744, de grosses réparations sont faites au moulin : la maçonnerie est reprise ainsi que la toiture, la digue et la chaussée. C'est d'ailleurs cette date qui figure sur la pierre de la porte de la façade. Après cette remise en état complète, le moulin n'a pas subi de gros travaux jusqu'au début du XXè siècle. Vers 1920, un boulanger vient s'installer sur l'île et importe sa farine du continent, farine probablement plus blanche que celle produite par le moulin à mer. Les Bréhatins prennent goût au pain blanc et ce moulin qui n'est plus rentable, arrête de tourner.

Trégastel (rochers) (36 photos)
1Trégastel vient de "treg castel", en breton, qui signifie "Trêve du château". Son nom apparaît au début du 13ème siècle. Il provient, sans doute, d'une ancienne forteresse sur son territoire, le château de Ploumanach aujourd'hui disparu.
C'est en 1872 que démarre l'essor touristique de Tregastel avec le début des locations saisonnières. Buvettes et restaurants commencent à s'y installer vers 1890 et la station compte déjà 11 hôtels en 1928.
4Le "dé"
5Le "dé" et les "crêpes"
6Les "crêpes"Durant la dernière guerre, les Allemands, gênés par ces rochers, ont voulu les détruire, mais on dit que tous les obus ont ricoché sur les rochers sans les égratigner.
7Matin
8Matin
9Soir
10Soir
17La tortue
21Presqu'île Renotepar le sentier des Douaniers
22Presqu'île Renotepar le sentier des Douaniers
23Presqu'île Renotepar le sentier des Douaniers
24à marée bassemarée d'equinoxe (coefficient 108-112)
29Mimosa quatre saisons
30Mimosa et cèdre bleu
31Château de CostaérèsUn ingénieur polonais du nom de Abdank entreprit la construction, en style gothique, en 1892. Il ne put aller au bout de son œuvre, décédant en 1900. Sa fille poursuivit les travaux, en faisant construire la partie Ouest.
Le château fut ravagé par un incendie le 6 septembre 1990.
32Château de CostaérèsUn ingénieur polonais du nom de Abdank entreprit la construction, en style gothique, en 1892. Il ne put aller au bout de son œuvre, décédant en 1900. Sa fille poursuivit les travaux, en faisant construire la partie Ouest.
Le château fut ravagé par un incendie le 6 septembre 1990.

Léguer et Trebeurden (32 photos)
1Le LéguerLe Léguer est, comparativement à d'autres cours d'eau, une rivière à saumons assez régulière.
Le Léguer arrose Lannion qui est à la fois la capitale du Trégor et la sous-préfecture des Côtes D'Armor.
9On y pêche (le saumon), on y fait du canoë ou du kayak, on court sur les berges.
26Pointe de Bihitsituée à l'est de la plage de Tresmeur
27Plage de Tresmeur
28Chaos de rochers à Trebeurden
29Chaos de rochers à Trebeurden

Cotentin, sentier des douaniers (GR 223) (98 photos)
2Rocher du castel vendon
3Port du Hâble
4Port du HâbleLa pêche aux araignées est pratiquée de septembre à juin avec des quotas par jour et par an. Elle est effectuée par des plongeurs particuliers équipés de combinaisons ou au casier que l'on remonte d'un bateau (pêche professionnelle).
5Port du HâbleLa digue protège les fortes houles et le marnage de plus de 10 mètres suivant les périodes.
9Landemer
14La digue de galets assure une protection naturelle contre la houle. En contrebas, des marais se forme avec les eaux retenues.
15Entre le Hâble et la pointe de Jardeheu
17Rochers de la pointe de Jardeheu
22Anse Saint-Martin
36Landemer, le soirL'érosion du littoral s'observe car le blockhaus est désormais disloqué sur la plage. La mer finira par avoir raison de l'homme et engloutira ce vestige de béton.
37Landemer
38Landemer
39LandemerL'arbre penché et rachitique est un pin de Monterey. Il subit des vents violents que peu d'arbres affrontent.
40Reflet dans la vitre d'une BMW 320
42Port RacineLe plus petit port de France, dit-on. À marée basse, il est asséché.
Les cordages permettent d'arrimer les barques.
Le port tire son nom d'un corsaire du XVIIIème siècle, François Médard Racine, qui sévissait contre les navires anglais.
Il arme un Lougre long de 34 pieds (11m), bien nommé L'embuscade, construit à Granville en 1807 spécialement pour la course.
Depuis l'anse Saint-Martin ou le petit port, L'embuscade profite de la renverse de la marée pour passer le très dangereux Raz Blanchard et voguer d'une traite vers l'île de Guernesey.
À cette époque, le port était protégé par une petite jetée submersible de pierres sèches. La digue actuelle été construite en 1870.
45Prés bordés de murets de pierres sèches
49Saint-Germain-des-VauxLe film Les Caïds, réalisé en 1973 par Robert Enrico a été tourné à Saint-Germain-des-Vaux.
En 1971, François Truffaut filma une partie de son film, Les Deux Anglaises et le Continent, non loin de là, à Auderville ; tandis qu'en 1982 est tourné à Goury l'Etoile du Nord de Pierre Granier-Deferre. Dans ce film, jouait Fanny Cotençon et Jean-Yves Chatelais. Non loin d'Auderville, se trouve le charmant petit village classé de La Roche où vit le célèbre écrivain et cinéaste et non moins Horsain, Didier Decoin. Il s'inspira de la baie d' Ecalgrain pour écrire l'un de ses plus grands romans : Les trois vie de Babe Ozouf. Enfin, à Jobourg, a eu lieu en 1957, une partie du tournage du film d'Alexandre Astruc : Une vie.
51L'arbre penché et rachitique est un pin de Monterey. Il subit des vents violents que peu d'arbres affrontent.
54Baie d'EcalgrainEcalgrain tire son nom des moulins qui existaient autrefois dans la vallée qui la surplombe. La plage de sable fin est submergée à marée haute et seule subsiste la partie de plage en galets, plus pentue. Sur les rochers et sous le " varech ", on trouve des "flies" (patelles), coquillages en forme de chapeaux chinois, qui peuvent se déguster crues.
55AjoncsNom latin : Ulex europaeus
Famille : FabaceaeArbrisseau vivace, touffu, très ramifié, sempervirent, atteignant 3m.
Habitat : landes, talus, lieux herbeux. Jusqu'à 1200m. La lande à Ajonc, appelée "touyas", résulte généralement de la destruction des chênaies ou des basses hêtraies.
Feuilles transformées en piquants rigides, sillonnés, assez espacés sur les rameaux.
Fleurs jaune d'or, 14-18 mm, en inflorescences épineuses, par 1, 2 ou 4 sur les rameaux latéraux courts, à odeur d'amande. Calice à 2 lèvres, jaune verdâtre, velu. Elles attirent les abeilles. Floraison presque toute l'année.
Fruits : Gousses ovales-oblongues velues. Graines toxiques.
60Le sentier des Douaniers ou GR 223
61Nez de JobourgIl tire son nom du vieux scandinave " naes " qui signifie cap.
La presqu'île du Cotentin se situe à la frontière de deux grandes unités géologiques de la France : le massif armoricain à l'ouest et le bassin parisien à l'est. L'histoire géologique du Cotentin se déroule sur une durée de près de 2 milliards d'années. Les témoins les plus anciens (ICARTIEN) sont représentés par les roches métamorphiques de La Hague (Nez de Jobourg, anse du Culeron, Omonville la Rogue ), puis par des alternances de roches volcaniques, de grès et de schistes plus ou moins ardoisiers qui appartiennent au BRIOVÉRIEN. Ces terrains PRÉCAMBRIENS seront plissés et injectés de venues granitiques lors de la surrection de la chaîne cadomienne vers 540 millions d'années.

Toutes les séries Paléozoïques seront déformées vers -340 à -300 millions d'années lors de l'érection de la chaîne Varisque (synclinaux de Siouville, de Jobourg).

62Nez de JobourgIl tire son nom du vieux scandinave " naes " qui signifie cap.
La presqu'île du Cotentin se situe à la frontière de deux grandes unités géologiques de la France : le massif armoricain à l'ouest et le bassin parisien à l'est. L'histoire géologique du Cotentin se déroule sur une durée de près de 2 milliards d'années. Les témoins les plus anciens (ICARTIEN) sont représentés par les roches métamorphiques de La Hague (Nez de Jobourg, anse du Culeron, Omonville la Rogue ), puis par des alternances de roches volcaniques, de grès et de schistes plus ou moins ardoisiers qui appartiennent au BRIOVÉRIEN. Ces terrains PRÉCAMBRIENS seront plissés et injectés de venues granitiques lors de la surrection de la chaîne cadomienne vers 540 millions d'années.

Toutes les séries Paléozoïques seront déformées vers -340 à -300 millions d'années lors de l'érection de la chaîne Varisque (synclinaux de Siouville, de Jobourg).

63Nez de JobourgIl tire son nom du vieux scandinave " naes " qui signifie cap.
La presqu'île du Cotentin se situe à la frontière de deux grandes unités géologiques de la France : le massif armoricain à l'ouest et le bassin parisien à l'est. L'histoire géologique du Cotentin se déroule sur une durée de près de 2 milliards d'années. Les témoins les plus anciens (ICARTIEN) sont représentés par les roches métamorphiques de La Hague (Nez de Jobourg, anse du Culeron, Omonville la Rogue ), puis par des alternances de roches volcaniques, de grès et de schistes plus ou moins ardoisiers qui appartiennent au BRIOVÉRIEN. Ces terrains PRÉCAMBRIENS seront plissés et injectés de venues granitiques lors de la surrection de la chaîne cadomienne vers 540 millions d'années.

Toutes les séries Paléozoïques seront déformées vers -340 à -300 millions d'années lors de l'érection de la chaîne Varisque (synclinaux de Siouville, de Jobourg).

64Nez de JobourgIl tire son nom du vieux scandinave " naes " qui signifie cap.
La presqu'île du Cotentin se situe à la frontière de deux grandes unités géologiques de la France : le massif armoricain à l'ouest et le bassin parisien à l'est. L'histoire géologique du Cotentin se déroule sur une durée de près de 2 milliards d'années. Les témoins les plus anciens (ICARTIEN) sont représentés par les roches métamorphiques de La Hague (Nez de Jobourg, anse du Culeron, Omonville la Rogue ), puis par des alternances de roches volcaniques, de grès et de schistes plus ou moins ardoisiers qui appartiennent au BRIOVÉRIEN. Ces terrains PRÉCAMBRIENS seront plissés et injectés de venues granitiques lors de la surrection de la chaîne cadomienne vers 540 millions d'années.

Toutes les séries Paléozoïques seront déformées vers -340 à -300 millions d'années lors de l'érection de la chaîne Varisque (synclinaux de Siouville, de Jobourg).

67AjoncsNom latin : Ulex europaeus
Famille : FabaceaeArbrisseau vivace, touffu, très ramifié, sempervirent, atteignant 3m.
Habitat : landes, talus, lieux herbeux. Jusqu'à 1200m. La lande à Ajonc, appelée "touyas", résulte généralement de la destruction des chênaies ou des basses hêtraies.
Feuilles transformées en piquants rigides, sillonnés, assez espacés sur les rameaux.
Fleurs jaune d'or, 14-18 mm, en inflorescences épineuses, par 1, 2 ou 4 sur les rameaux latéraux courts, à odeur d'amande. Calice à 2 lèvres, jaune verdâtre, velu. Elles attirent les abeilles. Floraison presque toute l'année.
Fruits : Gousses ovales-oblongues velues. Graines toxiques.
69Église de JobourgL'édifice remonte au début du XII ème siècle. Le choeur rectangulaire a été voutée d'ogives au XIII ème siècle. Le toit à batière (à deux versants) du clocher date de la Renaissance.
Le toit est de schiste et les murs de moëllons en grés.
À Jobourg, a eu lieu en 1957, une partie du tournage du film d'Alexandre Astruc : Une vie.
70Église d'Omonville-la-PetiteL'église d'Omonville-La-Petite a été construite sur des soubassements romans et date des XIIIème et XVIème siècles. Elle abrite une bannière de Saint-Martin, une vierge du XVIème siècle et des vitraux de la même époque.
71Église d'Omonville-la-PetiteL'église d'Omonville-La-Petite a été construite sur des soubassements romans et date des XIIIème et XVIème siècles. Elle abrite une bannière de Saint-Martin, une vierge du XVIème siècle et des vitraux de la même époque.
72Sainte-Thérèse de l'Enfant JésusMarie-Françoise-Thérèse Martin est née à Alençon le 2 janvier 1873. Elle est la dernière de cinq filles. Cette famille était profondément catholique et tous les enfants entreront au carmel. Sa mère Zélie meurt alors que Thérèse n'a que 4 ans et sous le choc la petite fille devient timide et hypersensible. Elle choisit sa grande sœur Pauline pour être sa seconde maman. La famille quitte Alençon pour s'installer aux Buissonnets à Lisieux.
Lorsqu'elle a 9 ans, elle subit un nouveau choc: Pauline, sa nouvelle Maman, entre au Carmel. C'est pendant la nuit de Noël 1886, que le Seigneur la guérit et lui donne le don de force. En mai 1887, elle décide d'entrer au Carmel en sa quinzième année. Elle ira même à Rome pour le demander au Saint Père Léon XIII.
En 1896, elle se voit confier la responsabilité de la formation des novices, à qui, elle enseigne sa petite voie d'enfance. C'est aussi l'époque où ses premières hémoptysies dévoilent la tuberculose dont elle souffre depuis 2 ans et celle aussi où elle entre dans la nuit de la foi.
En 1887, elle s'alite définitivement. Après une longue et douloureuse agonie, elle naît à la Vie en disant "Mon Dieu, je Vous aime".
73Saint-Martin, évêque de Tours
74Saint-Louis, roi de France
75Saint-Charles Borroméecardinal et archevêque à Milan (1538-1584)
Saint Charles Borromée, est né au sein de l'opulence et des grandeurs. Il fut cardinal avant l'âge de vingt-trois ans.
Il mena dans son palais la vie d'un anachorète; il en vint à ne prendre que du pain et de l'eau, une seule fois le jour; ses austérités atteignirent une telle proportion, que le Pape dut exiger de sa part plus de modération dans la pénitence.
Il vendit ses meubles précieux, se débarrassa de ses pompeux ornements, employa tout ce qu'il avait de revenus à l'entretien des séminaires, des hôpitaux, des écoles, et au soulagement des pauvres honteux et des mendiants. Son personnel était soumis à une règle sévère; les heures de prières étaient marquées, et personne ne s'absentait alors sans permission. Les prêtres de son entourage, soumis à une discipline encore plus stricte, formaient une véritable communauté, qui fut digne de donner à l'Église un cardinal et plus de vingt évêques.
Le saint archevêque reçut un jour, d'un ennemi, un coup d'arquebuse, pendant qu'il présidait à la prière dans sa chapelle particulière; par une protection providentielle, la balle ne fit que lui effleurer la peau, et le Saint continua la prière sans trouble.
Il mourut, à quarante-six ans.
76Maison de Jacques PrévertJacques Prévert est né à Neuilly-sur-Seine en 1900, d'une mère auvergnate et d'un père breton. Il est décédé à Omonville-la-Petite, le 11 avril 1977. Il a connu et aimé la Hague en 1930, et venait à Goury très régulièrement. C'est en 1971 qu'il quitta Antibes pour s'installer dans le Cotentin, sur les conseils de son ami, le célèbre décorateur de cinéma, Alexandre Trauner. Ce dernier vivait à Omonville-La-Petite depuis 1960.
Jacques Prévert et sa femme reposent au cimetière d'Omonville-La-Petite, ainsi que leur fille unique décédée accidentellement.
En 1981, les premiers travaux et plantations commencèrent. Le jardin est l'hommage de sa femme et de ses amis qui y plantèrent chacun leur arbre préféré. Le conseil Général de la Manche a racheté la Maison de Jacques Prévert en 1994 pour y réaliser un musée.
77Gunnera manicataNom français : Gunnère ou Rhubarbe du Brésil
Famille : Haloragacées - Gunneracées
Origine : Brésil méridional
Hauteur : 2,5 à 3 m
Habitat : sol frais à humide, riche, soleil (quelques heures par jour suffisent). Craint le gel printanier, le soleil trop intense (brûlures du feuillage), la sécheresse.
Feuilles : le Gunnera possède quasiment les plus grandes feuilles du monde des vivaces, chaque feuille atteignant facilement 1 mètre de hauteur et jusqu'à 2 mètres de diamètre.
Les tiges sont parées d'épines inoffensives qui nous rappellent que cette fausse rhubarbe n'est pas comestible. L'inflorescence, quelconque (à couper fin juin) brunâtre apparaît avec les jeunes feuilles en avril-mai.
78Gunnera manicataNom français : Gunnère ou Rhubarbe du Brésil
Famille : Haloragacées - Gunneracées
Origine : Brésil méridional
Hauteur : 2,5 à 3 m
Habitat : sol frais à humide, riche, soleil (quelques heures par jour suffisent). Craint le gel printanier, le soleil trop intense (brûlures du feuillage), la sécheresse.
Feuilles : le Gunnera possède quasiment les plus grandes feuilles du monde des vivaces, chaque feuille atteignant facilement 1 mètre de hauteur et jusqu'à 2 mètres de diamètre.
Les tiges sont parées d'épines inoffensives qui nous rappellent que cette fausse rhubarbe n'est pas comestible. L'inflorescence, quelconque (à couper fin juin) brunâtre apparaît avec les jeunes feuilles en avril-mai.
79Gunnera manicataNom français : Gunnère ou Rhubarbe du Brésil
Famille : Haloragacées - Gunneracées
Origine : Brésil méridional
Hauteur : 2,5 à 3 m
Habitat : sol frais à humide, riche, soleil (quelques heures par jour suffisent). Craint le gel printanier, le soleil trop intense (brûlures du feuillage), la sécheresse.
Feuilles : le Gunnera possède quasiment les plus grandes feuilles du monde des vivaces, chaque feuille atteignant facilement 1 mètre de hauteur et jusqu'à 2 mètres de diamètre.
Les tiges sont parées d'épines inoffensives qui nous rappellent que cette fausse rhubarbe n'est pas comestible. L'inflorescence, quelconque (à couper fin juin) brunâtre apparaît avec les jeunes feuilles en avril-mai.
80Maison de Jacques PrévertJacques Prévert est né à Neuilly-sur-Seine en 1900, d'une mère auvergnate et d'un père breton. Il est décédé à Omonville-la-Petite, le 11 avril 1977. Il a connu et aimé la Hague en 1930, et venait à Goury très régulièrement. C'est en 1971 qu'il quitta Antibes pour s'installer dans le Cotentin, sur les conseils de son ami, le célèbre décorateur de cinéma, Alexandre Trauner. Ce dernier vivait à Omonville-La-Petite depuis 1960.
Jacques Prévert et sa femme reposent au cimetière d'Omonville-La-Petite, ainsi que leur fille unique décédée accidentellement.
En 1981, les premiers travaux et plantations commencèrent. Le jardin est l'hommage de sa femme et de ses amis qui y plantèrent chacun leur arbre préféré. Le conseil Général de la Manche a racheté la Maison de Jacques Prévert en 1994 pour y réaliser un musée.
84Baie du Houguet
85Abri de douanierJusqu'au début du XX ième siècle, les douaniers (ou gabelous) surveillaient la côte afin de réprimer la contrebande de tabac avec les îles anglo-normandes. Sur le sentier des douaniers, qu'ils arpentaient tous les jours, de petits abris avaient été aménagés le long de ce chemin pour s'y réfugier ou observer la côte. En effet la fraude du tabac fut une activité importante jusqu'à la fin du siècle dernier. Les fraudeurs débarquaient la nuit dans les petites criques de Jobourg les ballots de tabac achetés à Aurigny. Le tabac ou " p'tun " était stocké dans des caches à tabac avant d'être acheminé vers les lieux de revente.
88Usine de la CogemaL'Usine de retraitement des déchets radioactifs de la Hague reçoit régulièrement les déchets d'autres pays tels que l'Allemagne ou le Japon et ceux des usines nucléaires françaises.
91Vauville
97Blockhaus

Étretat (21 photos)

Gimont, Auch (50 photos)
1Notre Dame, GimontGimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
L'Église de Notre Dame a été commencée en 1331 et achevée au XVIIème siècle. Son clocher octogonal est de style toulousain. La nef unique, large et sombre, est à peine éclairée par la claire voie d'une abside étriquée.
2Notre Dame, GimontGimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
L'Église de Notre Dame a été commencée en 1331 et achevée au XVIIème siècle. Son clocher octogonal est de style toulousain. La nef unique, large et sombre, est à peine éclairée par la claire voie d'une abside étriquée.
3Notre Dame, GimontGimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
L'Église de Notre Dame a été commencée en 1331 et achevée au XVIIème siècle. Son clocher octogonal est de style toulousain. La nef unique, large et sombre, est à peine éclairée par la claire voie d'une abside étriquée.
4GimontGimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
5GimontGimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
6Gimont, HalleHalle du XVème siècle, à 3 nefs sous laquelle passe la rue principale.
Gimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
7Gimont, HalleHalle du XVème siècle, à 3 nefs sous laquelle passe la rue principale.
Gimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
8Gimont, HalleHalle du XVème siècle, à 3 nefs sous laquelle passe la rue principale.
Gimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
9GimontGimont est une bastide fondée en 1265 par Alphonse de Poitiers, fils de Louis VIII et frère du roi Saint-Louis, en paréage avec l'abbaye cistercienne de Planselve (sur la route de Saramon).
10GimontL'arbre à fruit orange est un plaqueminier (kaki), bien acclimaté dans le Midi.
11Auch, Cathédrale Sainte MarieAuch est une petite ville (22 000 habitants) riche d'un long passé d'histoire. Les premières huttes datent des Ibères vers le IVème siècle avant JC. Elle portait alors le nom de Elimberris. Elle doit son nom actuel à la tribu gauloise des Auscii. De là vient le nom des habitants d'Auch, les Auscitains. Plus tard, après la conquête romaine, elle prit en l'honneur de l'Empereur Auguste le nom de Augusta Auscorium, dont la contraction a donné son nom actuel. La Ville Haute comprend la Cathédrale, la tour d'Armagnac et un quartier de vieilles maisons perchées sur la colline dominant le Gers. Les comtes d'Armagnac, dont est issue la célèbre reine de France puis d'Angleterre Aliénor d'Aquitaine, y avaient un château sur l'emplacement de l'actuelle place Salinis. Celui-ci a disparu complètement au début du XVème siècle.

Lire l'histoire.
12Auch, Cathédrale Sainte MarieLire l'histoire
13Auch, Cathédrale Sainte MarieLire l'histoire
14Vitrail du chourDans le registre du milieu : l'apôtre Matthias, Esdras, le prophète Habacuq, la sibylle de Tibur

L'apôtre Matthias aurait évangélisé l'Éthiopie ou la Cappadoce (centre de la Turquie actuelle) où il aurait été martyrisé. Fêté le 14 mai, il a comme symbole une hache et un livre ouvert portant son nom.

Esdras, Ezra ("aide, secours" en hébreu) est le prêtre et scribe qui décrivit le retour à Jérusalem et en Judée, après l'exile de Babylone (Ancien Testament, Les livres historiques).

Le prophète Habacuq fut le premier à interpeller Dieu sur son identité et sa façon de gérer le monde.

15Chapelle Sainte-CatherineThème général : l'entrée en terre promise. Les élus seront ceux qui auront su traverser le désert.

vitrail gauche : Joseph, l'apôtre André, Joël

vitrail central : Josué, la Sybille Europe, Amos

vitrail droite : Caleb, l'apôtre Barthélémy, le prophète Abdias

16Adam et ÈveAdam et Ève se tiennent de part et d'autre d'un ... oranger et Adam tient dans la main droite une carotte !
17Dans le registre du milieu : Noé, le prophète Ézéchiel, l'apôtre Pierre et la sibylle d'Erythrée

Le prophète Ézéchiel est Y' Hez' Ki El ("la force de Elohim Dieu, Dieu donnera la force" en hébreu).

18Chapelle ND de la Pitiédans le registre supérieur : Samuel et Héli.

dans le registre du milieu : Abraham, Melchisédech, Paul et la Sybille de Samos.

en bas, des événements de leur vie :
le sacrifice d'Abraham, la conversion de Saint-Paul,
et la nativité de Jésus.
19Chapelle ND de l'EspéranceDans le registre du milieu : le prophète Élisée, l'apôtre Jude, la Sibylle de Delphes et le prophète Aggée.
Élisée, Eliseus ("salut de Dieu", en hébreu) fut prophète à Samarie, en Palestine. Il est honoré le 14 juin.
L'apôtre Jude aurait prêché en Perse avec Simon, où il aurait été martyrisé. Les reliques de Jude et de Simon auraient été transférées à Saint-Pierre de Rome vers le VIIIème siècle.
Jude, fêté le 28 octobre avec Simon, est connu comme le pardon des causes perdues, quand les prières aux autres saints ont échoué car son culte a toujours souffert de la ressemblance de son nom avec Judas Iscariote. Son symbole est la lance de son martyre ou un navire faisant allusion à son activité de missionnaire au-delà des mers.

Aggée, Aggoeus ("de fête", en hébreu) fut prophète en Judée. Il est honoré le 4 juillet. L'Église honore aussi, le 4 janvier, saint Aggé, martyr à Bologne.

20Mise au tombeau, chapelle du Saint SépulcreElle date du XVIè siècle. À son emplacement a été posée la première pierre de la cathédrale, le 4 juillet 1489.
Le dais de style flamboyant est orné d'une trinité : il s'agit d'une "monstration" du christ en croix, par Dieu le père. Le Saint Esprit symbolisé par une colombe est placé entre le Père et le fils.
21Mise au tombeau, chapelle du Saint SépulcreElle date du XVIè siècle. À son emplacement a été posée la première pierre de la cathédrale, le 4 juillet 1489.
Le dais de style flamboyant est orné d'une trinité : il s'agit d'une "monstration" du christ en croix, par Dieu le père. Le Saint Esprit symbolisé par une colombe est placé entre le Père et le fils.
22Mise au tombeau, chapelle du Saint SépulcreElle date du XVIè siècle. À son emplacement a été posée la première pierre de la cathédrale, le 4 juillet 1489.
Le dais de style flamboyant est orné d'une trinité : il s'agit d'une "monstration" du christ en croix, par Dieu le père. Le Saint Esprit symbolisé par une colombe est placé entre le Père et le fils.
23Mise au tombeau, chapelle du Saint SépulcreElle date du XVIè siècle. À son emplacement a été posée la première pierre de la cathédrale, le 4 juillet 1489.
Les personnages sont : Jésus, l'apôtre Jean, Marie la mère de Jésus, Marie Salomé, Marie mère de Jacques, Marie-Madeleine. icomède et Jean d'Arimathie tiennent le linceul.
24Arrestation de Jésus
25David et BetsabéeLe choeur de la cathédrale fut doté par le cardinal Clermont-Lodéce de 113 stalles de chêne, entièrement sculptées, "grand oeuvre" des maîtres huchiers qui s'y succédèrent pendant cinquante ans.
David est ici représenté sous les traits de François Ier. Il se tourne vers Betsabée.
Dans l`histoire du roi juif David, le roi David coucha avec Betsabée, la femme d'Urie le Hittite. Il envoya ensuite Urie se faire tuer à la guerre pour pouvoir faire de Betsabée sa femme. Gros « péché » qui déplût à « Dieu ». Le premier-né de Betsabée et de David mourut en guise de châtiment. David en fut très affligé.
26Holopherne et JudithLe choeur de la cathédrale fut doté par le cardinal Clermont-Lodéce de 113 stalles de chêne, entièrement sculptées, "grand oeuvre" des maîtres huchiers qui s'y succédèrent pendant cinquante ans.
L'Ancien Testament relate l'épisode de Judith sauvant sa ville de Béthulie du siège de Holopherne, le général du roi assyrien Nabuchodonosor. Elle décapita Holopherne après un banquet où il s'était enivré puis porta sa tête à ses concitoyens (Judith chapitres 10-13).

>>>> lire ceci.
27Adam et Ève
28Pierre et PaulPierre a les attribus habituels : la clef du royaume de Dieu.
Pierre, né Simon de Bethsaïde, était le fils d'un certain Jean et travaillait avec son frère André comme pêcheur sur le lac de Génésareth. D'après l'Évangile de Jean, c'est son frète André qui le présenta au Christ. Plus tard celui-ci l'appela Képhas, mot qui signifie « pierre », et il précisa que sur cette pierre il construirait son Église. Une autre fois, Il lui donna les « clefs du royaume de Dieu ». Pierre fut témoin de la plupart des miracles de Jésus. Cependant il l'abandonna dans le Jardin des Oliviers et le renia dans la cour de la maison de Caïphe, le vendredi de la Passion. Le Christ avait prédit ce reniement, ainsi que le repentir de Pierre. Après la Résurrection et l'Ascension, Pierre a été reconnu comme le chef de la communauté chrétienne à Jérusalem.
Emprisonné par Hérode Agrippa vers 43, Pierre fut miraculeusement délivré par un ange. Il fut réprimandé par Paul à Antioche parce qu'il refusait de manger avec des Gentils. D'après une très ancienne tradition, il devint le premier évêque de Rome et y fut martyrisé sous Néron. Il semble douteux qu'il ait été crucifié la tête en bas. Il est à coup sûr l'auteur de la première Épître de Pierre, mais on doute qu'il le soit de la seconde.
Fête: 29 juin, Patron des pêcheurs et de nombreux autres métiers.

lire :
href=http://casimir.kuczaj.free.fr/Francais/Les%20Saints/paul_apotre.htm

29Miséricorde de stalleUne miséricorde est le dessous de l'abattant des stalles qui permettaient aux moines de s'appuyer pendant les offices tout en ayant l'air d'être debout. Leurs sculptures témoignent de la verve des sculpteurs. Ils y manifestent un sens aigu de l'observation de la vie quotidienne et d'une grande imagination dans les scènes de clownerie, d'inspiration bien peu religieuse.
30Miséricorde de stalle
33Voûte du choeurLire l'histoire
34Voûte de la nefLa voûte est terminée au XVIIe siècle (1620-40), à l'instigation de Jean de la Trémouille, tout en respectant le style gothique flamboyant adopté par son premier architecte, Jean de Beaujeu.
Les voûtes en croisé d'ogives retombent en se fondant dans les piliers de soutien. La hauteur sous clef de voûte est de 26 m seulement alors que les grandes cathédrales d'Île-de-France affichaient des hauteurs de 36 m à ND de Chartres, 37 m à St.-Étienne de Bourges, 38 m à ND de Reims et 42 m à ND d'Amiens. Sa larguer de 14 m se situe entre celles de Paris (12 m), Bourges (13 m) et Amiens (15 m), Chartres (16 m).

Lire l'histoire.
36Chantons sous la pluie, ..
40Escalier monumentalcomposé de 370 marches, il relie la ville basse et la ville haute, celle-ci étant dominée par la cathédrale et le quartier des chanoines.
41Statue de d'Artagnand'Artagnan, rendu célèbre par Alexandre Dumas, fut bien ce soldat brillant, né Jean Charles de Batz de Castelmore.
44Tour de l'Armagnacconstruite à la fin du XIVème siècle et remaniée au XIXème siècle par Viollet le Duc. Elle contrôle le grand escalier qui donne accès à la ville basse.
45PousterleLes Pousterles sont des rues étroites et pentues qui servaient de liaison entre la ville basse et la ville haute.
46Rue d'EspagneHenri IV séjourna dans cet hôtel avec une de ses amies, en 1578.
47Henri IV séjourna dans cet hôtel avec une de ses amies, en 1578.
50Guillaume de Salluste du Bartas (1544-1590)Il écrivit par exemple ceci : A la France
... Que ne fais-tu proffit, ô frénétique France,
Des signes dont le ciel t'appelle à repentance ?
Peux-tu voir d'un oeil sec ce feu prodigieux,
Qui nous rend chasque soir effroyables les cieux,
Cest astre chevelu qui menace la terre
De peste, guerre, faim, trois pointes du tonnerre,
Qu'en sa plus grand fureur Dieu foudroye sur nous ?
Mais, las ! que peut du ciel le désarmé courroux
Puis que tant de durs fleaux, qui te ployent l'eschine,
N'arrachent un souspir de ta dure poitrine ?
Ton sang est ta boisson, ta faim ne te repaist
Que de ta propre chair ; ce qui te nuit te plaist,
Tu n'as nul sentiment non plus qu'un lethargique ;
Tu fuis ta guerison ; plus l'Eternel te picque,
Plus tu fais du restif : franc d'un sacré souci,
Tu t'engraisses de coups comme un asne endurci ;
Et tel que le plastron ou la blanche alumelle,
Tu vas plus resistant, quand plus on te martelle....

et à propos du poète :
http://www.anthologie.free.fr/anthologie/bartas/bartas.htm

Condom, Fourcès, Larressingle (52 photos)
1Route Ouest de Condom
2Bords de la Baïse
3Moulin sur la Baïse
4Moulin sur la Baïse
5Cathédrale St-Pierre, de CondomRebâtie de 1507 à 1531, la Cathédrale St-Pierre est l'un des derniers grands édifices du Gers construits suivant les traditions gothiques du Sud-ouest.
6Cathédrale St-Pierre, de CondomRebâtie de 1507 à 1531, la Cathédrale St-Pierre est l'un des derniers grands édifices du Gers construits suivant les traditions gothiques du Sud-ouest.
7Cathédrale St-Pierre, face SudRebâtie de 1507 à 1531, la Cathédrale St-Pierre est l'un des derniers grands édifices du Gers construits suivant les traditions gothiques du Sud-ouest. Le portail le plus décoré est au Sud : les niches des voussures abritent encore 24 statuettes. Le blason de Jean Marre, le grand évêque bâtisseur de Condom (1496-1521) se reconnaît sur le socle de la niche vide du trumeau.
8Portail SudRebâtie de 1507 à 1531, la Cathédrale St-Pierre est l'un des derniers grands édifices du Gers construits suivant les traditions gothiques du Sud-ouest. Le portail le plus décoré est au Sud : les niches des voussures abritent encore 24 statuettes. Le blason de Jean Marre, le grand évêque bâtisseur de Condom (1496-1521) se reconnaît sur le socle de la niche vide du trumeau.
9Portail SudRebâtie de 1507 à 1531, la Cathédrale St-Pierre est l'un des derniers grands édifices du Gers construits suivant les traditions gothiques du Sud-ouest. Le portail le plus décoré est au Sud : les niches des voussures abritent encore 24 statuettes. Le blason de Jean Marre, le grand évêque bâtisseur de Condom (1496-1521) se reconnaît sur le socle de la niche vide du trumeau.
10Le chourCathédrale St-Pierre, de Condom
La clôture néo-gothique du chœur est peuplée de grandes statues d'anges et de saints exécutées en terre cuite moulée en 1844.
11Le chourCathédrale St-Pierre, de Condom
Les vitraux sont dus à un atelier condomois (1858).
12Le chourCathédrale St-Pierre, de Condom
Les vitraux sont dus à un atelier condomois (1858).
13Voûte de la nefCathédrale St-Pierre, de Condom
La voûte de style gothique flamboyant est complexe, usant des arceaux secondaires, liernes et tiercerons, et démontrant un grande maîtrise de l'art de construction. Les liernes relient des clefs de voûtes aux arcs doubleaux, sur la ligne de faîtage. Les tiercerons relient les liernes aux retombées des arcs de voûtes. Cette technique est en vigueur à Amiens, et surtout en Angleterre. C'est l'amélioration des techniques de stéréotomie (taille des pierres) qui a permis l'émergence de ce style. Les nervures des voûtes s'articulent autour de clés historiées : on reconnaît à la 5ème travée les armes de l'évêque bâtisseur, à la 7ème saint Pierre.
16Le chourCathédrale St-Pierre, de Condom
La clôture néo-gothique du chœur est peuplée de grandes statues d'anges et de saints exécutées en terre cuite moulée en 1844.
17Le chourCathédrale St-Pierre, de Condom
La clôture néo-gothique du chœur est peuplée de grandes statues d'anges et de saints exécutées en terre cuite moulée en 1844.
18Le chourCathédrale St-Pierre, de Condom
La clôture néo-gothique du chœur est peuplée de grandes statues d'anges et de saints exécutées en terre cuite moulée en 1844.
19Cathédrale St-Pierre, de Condom
Le vaisseau de la nef est illuminé par des verrières à remplage flamboyant dues à l'atelier du Vitrail de Limoges (1969). Les fenêtres hautes sont larges et les formes de remplages arrondies, peu élancées traduisent un style Renaissance. Les arceaux et moulures descendent le long des piliers, alosque le style gothique flamboyant avait fondu les arcs dans les piliers, à la place des chapiteaux.
20Cathédrale St-Pierre, vue du NordRebâtie de 1507 à 1531, la Cathédrale St-Pierre est l'un des derniers grands édifices du Gers construits suivant les traditions gothiques du Sud-ouest. Avec sa grande tout quadrangulaire, elle a un air britannique.
Le cloître a été en grande partie refait au 19è s. Le système des voûtes l'apparente à la cathédrale.
21Cathédrale St-Pierre, vue du SudRebâtie de 1507 à 1531, la Cathédrale St-Pierre est l'un des derniers grands édifices du Gers construits suivant les traditions gothiques du Sud-ouest. Avec sa grande tout quadrangulaire, elle a un air britannique.
22La galerie Est du cloître est transformée en passage public : jolies clés de voûte polychromes.
23Cloître de Condom
24FourcèsSituée dans une courbe de la rivière Auzoue, la demeure seigneuriale occupait alors la place centrale actuelle (motte castrale entourée de fossés ou castellum). Une Charte de 1068 atteste l'existence de cette place forte.
En l'an 1020, Brigitte de Fourcès, épouse du seigneur Guillaume de Fourcès et petite-fille du duc Guillaume de Gascogne, se rendit célèbre en appuyant son époux et son fils pour défendre la souveraineté de la Gascogne contre les Aquitains. En vain, car l'Aquitaine annexa la Gascogne en 1064, à l'issue de la Bataille de La Castelle. En représailles, Bernard de Fourcès, fils de Guillaume et de Brigitte, dû abandonner son titre de comte de Gascogne au duc d'Aquitaine, et prendre la robe monastique des bénédictins à Saint-Mont. Cent ans plus tard, la Gascogne devient anglaise lorsque Henri II Plantagenêt, duc d'Aquitaine accède à la couronne d'Angleterre. En 1279, le Traité d'Amiens fait passer l'Agenais (et Fourcès) aux Anglais.
En 1324, le roi d'Angleterre Édouard II, alors en guerre contre Charles le Bel, se lie par paréage aux seigneurs de Fourcès et annexe la seigneurie à sa couronne en lui accordant des privilèges.
L'Agenais et Fourcès reviennent à la France après la guerre de Saint Sardos. Mais durant la Guerre de Cent ans, Fourcès, cité frontière entre Aquitaine et Armagnac, change plusieurs fois de maître. Ainsi, Bertrand de Fourcès participe à la lutte, aux cotés du Roi d'Angleterre Édouard III, contre l'Écosse révoltée.
En 1352, Guillaume et Jourdain de Fourcès guerroient auprès du roi de France. En 1378, Thomelin de Fourcès accompagne le Connétable Duguesclin lors de son expédition en Espagne.
Le 13 mai 1488, Charles VII, roi de France, fait abattre le château pour "crime et félonie". Un autre Bertrand de Fourcès entreprend, dès 1491, la reconstruction du château à son emplacement actuel.
25FourcèsCe village est d'une grande originalité par son plan circulaire. De l'enceinte subsistent quelques vestiges et la tour de l'Horloge. La place ronde ombragé est entourée de vieilles maisons à colombage, sur arches de pierre ou de bois. Les galeries couvertes ou embans abritaient du soleil et de la pluie les artisans qui effectuaient leurs travaux à la vue de tous.
Marché aux fleurs de printemps (dernier week-end d'avril).
26FourcèsCe village est d'une grande originalité par son plan circulaire. De l'enceinte subsistent quelques vestiges et la tour de l'Horloge. La place ronde ombragé est entourée de vieilles maisons à colombage, sur arches de pierre ou de bois. Les galeries couvertes ou embans abritaient du soleil et de la pluie les artisans qui effectuaient leurs travaux à la vue de tous.
Marché aux fleurs de printemps (dernier week-end d'avril).
27FourcèsSituée dans une courbe de la rivière Auzoue, la demeure seigneuriale occupait alors la place centrale actuelle (motte castrale entourée de fossés ou castellum). Une Charte de 1068 atteste l'existence de cette place forte.
En l'an 1020, Brigitte de Fourcès, épouse du seigneur Guillaume de Fourcès et petite-fille du duc Guillaume de Gascogne, se rendit célèbre en appuyant son époux et son fils pour défendre la souveraineté de la Gascogne contre les Aquitains. En vain, car l'Aquitaine annexa la Gascogne en 1064, à l'issue de la Bataille de La Castelle. En représailles, Bernard de Fourcès, fils de Guillaume et de Brigitte, dû abandonner son titre de comte de Gascogne au duc d'Aquitaine, et prendre la robe monastique des bénédictins à Saint-Mont. Cent ans plus tard, la Gascogne devient anglaise lorsque Henri II Plantagenêt, duc d'Aquitaine accède à la couronne d'Angleterre. En 1279, le Traité d'Amiens fait passer l'Agenais (et Fourcès) aux Anglais.
En 1324, le roi d'Angleterre Édouard II, alors en guerre contre Charles le Bel, se lie par paréage aux seigneurs de Fourcès et annexe la seigneurie à sa couronne en lui accordant des privilèges.
L'Agenais et Fourcès reviennent à la France après la guerre de Saint Sardos. Mais durant la Guerre de Cent ans, Fourcès, cité frontière entre Aquitaine et Armagnac, change plusieurs fois de maître. Ainsi, Bertrand de Fourcès participe à la lutte, aux cotés du Roi d'Angleterre Édouard III, contre l'Écosse révoltée.
En 1352, Guillaume et Jourdain de Fourcès guerroient auprès du roi de France. En 1378, Thomelin de Fourcès accompagne le Connétable Duguesclin lors de son expédition en Espagne.
Le 13 mai 1488, Charles VII, roi de France, fait abattre le château pour "crime et félonie". Un autre Bertrand de Fourcès entreprend, dès 1491, la reconstruction du château à son emplacement actuel.
28FourcèsSituée dans une courbe de la rivière Auzoue, la demeure seigneuriale occupait alors la place centrale actuelle (motte castrale entourée de fossés ou castellum). Une Charte de 1068 atteste l'existence de cette place forte.
En l'an 1020, Brigitte de Fourcés, épouse du seigneur Guillaume de Fourcés et petite-fille du duc Guillaume de Gascogne, se rendit célèbre en appuyant son époux et son fils pour défendre la souveraineté de la Gascogne contre les Aquitains. En vain, car l'Aquitaine annexa la Gascogne en 1064, à l'issue de la Bataille de La Castelle. En représailles, Bernard de Fourcés, fils de Guillaume et de Brigitte, dû abandonner son titre de comte de Gascogne au duc d'Aquitaine, et prendre la robe monastique des bénédictins à Saint-Mont. Cent ans plus tard, la Gascogne devient anglaise lorsque Henri II Plantagenêt, duc d'Aquitaine accède à la couronne d'Angleterre. En 1279, le Traité d'Amiens fait passer l'Agenais (et Fourcés) aux Anglais.
En 1324, le roi d'Angleterre Édouard II, alors en guerre contre Charles le Bel, se lie par paréage aux seigneurs de Fourcés et annexe la seigneurie à sa couronne en lui accordant des privilèges.
L'Agenais et Fourcés reviennent à la France après la guerre de Saint Sardos. Mais durant la Guerre de Cent ans, Fourcés, cité frontière entre Aquitaine et Armagnac, change plusieurs fois de maître. Ainsi, Bertrand de Fourcés participe à la lutte, aux cotés du Roi d'Angleterre Édouard III, contre l'Écosse révoltée.
En 1352, Guillaume et Jourdain de Fourcés guerroient auprès du roi de France. En 1378, Thomelin de Fourcés accompagne le Connétable Duguesclin lors de son expédition en Espagne.
Le 13 mai 1488, Charles VII, roi de France, fait abattre le château pour "crime et félonie". Un autre Bertrand de Fourcés entreprend, dès 1491, la reconstruction du château à son emplacement actuel.
29FourcèsGalerie couverte.
30Château de FourcèsChâteau des XVè et XVIè siècle, transformé en hôtel.
31Platane dévoreur
32Platane recépé
33Platane recépé
34Château de Fourcès et vol de palombesChâteau des XVè et XVIè siècle, transformé en hôtel.
35Tour de l'Horloge
36FourcèsLe petit pont franchit l'Auzoue à côté du château des XVè et XVIè siècle, transformé en hôtel.
37LarressingleAu XIè siècle, une propriété agricole de ce nom est un fief des abbés de Condom et le resta jusqu'en 1317, lorsque fut érigé l'évêché de Condom. Les évêques devinrent alors seigneurs de Larressingle et le restèrent jusqu'à la Révolution de 1789. Il s'agit donc d'une seigneurie ecclésiastique.
Vers la fin du règne de Saint Louis (1226-1270), au moment où l'on édifie tant de bastides dans le Sud-Ouest de la France, Larressingle devient un véritable bourg d'agriculteurs et d'artisans. On édifie les murailles, les tours et le château ou donjon. La muraille aux douze côtés et aux angles très obtus a retrouvé, depuis sa restauration, sa forme quasi-circulaire, originale par rapport au plan rectangulaire habituel pour les forteresses. Ce tracé savant n'offre aucun point faible, tandis que l'avancement des tours et le surplomb des tours permettent de croiser les tirs sur tous les points menacés. Un pont enjambant les douves et une porte fortifiée permettent d'accéder au centre. Un chemin à l'extérieur de l'enceinte fait le tour des fortifications.
Les ruines du château de Larressingle furent vendues comme bien national le 28 juillet 1791.
La ville échappa à l'abandon grâce à Édouard Mortier, Duc de Trévise, qui réussit à la fin de l'année 1920 à convaincre de généreux donateurs de Boston, aux USA. Les travaux ont été accomplis entre 1926 et 1936.
38LarressingleAu XIè siècle, une propriété agricole de ce nom est un fief des abbés de Condom et le resta jusqu'en 1317, lorsque fut érigé l'évêché de Condom. Les évêques devinrent alors seigneurs de Larressingle et le restèrent jusqu'à la Révolution de 1789. Il s'agit donc d'une seigneurie ecclésiastique.
Vers la fin du règne de Saint Louis (1226-1270), au moment où l'on édifie tant de bastides dans le Sud-Ouest de la France, Larressingle devient un véritable bourg d'agriculteurs et d'artisans. On édifie les murailles, les tours et le château ou donjon. La muraille aux douze côtés et aux angles très obtus a retrouvé, depuis sa restauration, sa forme quasi-circulaire, originale par rapport au plan rectangulaire habituel pour les forteresses. Ce tracé savant n'offre aucun point faible, tandis que l'avancement des tours et le surplomb des tours permettent de croiser les tirs sur tous les points menacés. Un pont enjambant les douves et une porte fortifiée permettent d'accéder au centre. Un chemin à l'extérieur de l'enceinte fait le tour des fortifications.
Les ruines du château de Larressingle furent vendues comme bien national le 28 juillet 1791.
La ville échappa à l'abandon grâce à Édouard Mortier, Duc de Trévise, qui réussit à la fin de l'année 1920 à convaincre de généreux donateurs de Boston, aux USA. Les travaux ont été accomplis entre 1926 et 1936.
39La première église date du XIè siècle. Elle fut dédiée à Sigismond, roi des Burgondes, martyrisé par Clodomir, l'un des fils de Clovis. Elle a été reconstruite au Xlllè siècle, avec une haute tour et une salle haute à l'extrados de la voûte qui en font une seconde forteresse au sein de la première. Un passage reliait le donjon en partie haute de l'église, permettant au Seigneur de rejoindre l'église sans être vu ou agressé. Son abside est en cul-de-four et ses chapiteaux sont historiés.
40Chevet de l'église romaneLa première église date du XIè siècle. Elle fut dédiée à Sigismond, roi des Burgondes, martyrisé par Clodomir, l'un des fils de Clovis. Elle a été reconstruite au Xlllè siècle, avec une haute tour et une salle haute à l'extrados de la voûte qui en font une seconde forteresse au sein de la première. Un passage reliait le donjon en partie haute de l'église, permettant au Seigneur de rejoindre l'église sans être vu ou agressé. Son abside est en cul-de-four et ses chapiteaux sont historiés.
41La première église date du XIè siècle. Elle fut dédiée à Sigismond, roi des Burgondes, martyrisé par Clodomir, l'un des fils de Clovis. Elle a été reconstruite au Xlllè siècle, avec une haute tour et une salle haute à l'extrados de la voûte qui en font une seconde forteresse au sein de la première. Un passage reliait le donjon en partie haute de l'église, permettant au Seigneur de rejoindre l'église sans être vu ou agressé. Son abside est en cul-de-four et ses chapiteaux sont historiés.
45L'église romane
46Larressingle
47Larressingle
48Larressingle
49Larressingle
50Larressingle

Abbaye de Flaran (29 photos)
1Abbaye de Flaranà propos des abbayes : page
2Façade de l'église abbatialeElle est percée dans sa partie supérieure par une rosé cernée d'un cordon en damier. Au-dessous, le portail en plein cintre est curieusement dépourvu de tympan.
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3L'église abbatiale et le mur de protection
à propos des abbayes : page
4
à propos des abbayes : page
5Le cloître
à propos des abbayes : page
6Cloître, galerie OuestDes quatre galeries d'origine ne subsiste plus que celle située à l'Ouest (début du XIVè s.), couverte d'une charpente comme c'était l'usage dans les cloîtres toulousains : les arcades brisées reposent sur des colonne jumelées à chapiteaux ornés de feuillages, de masques humains ou d'animaux.
à propos des abbayes : page
7Chapiteau historiéDes quatre galeries d'origine ne subsiste plus que celle située à l'Ouest (début du XIVè s.), couverte d'une charpente comme c'était l'usage dans les cloîtres toulousains : les arcades brisées reposent sur des colonne jumelées à chapiteaux ornés de feuillages, de masques humains ou d'animaux.
à propos des abbayes : page
8Des quatre galeries d'origine ne subsiste plus que celle située à l'Ouest (début du XIVè s.), couverte d'une charpente comme c'était l'usage dans les cloîtres toulousains : les arcades brisées reposent sur des colonne jumelées à chapiteaux ornés de feuillages, de masques humains ou d'animaux.
à propos des abbayes : page
9Des quatre galeries d'origine ne subsiste plus que celle située à l'Ouest (début du XIVè s.), couverte d'une charpente comme c'était l'usage dans les cloîtres toulousains : les arcades brisées reposent sur des colonne jumelées à chapiteaux ornés de feuillages, de masques humains ou d'animaux.
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11Les colonnes sont des récupérations d'époque romaine.
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12Le scriptoriumpour lire à propos du scriptorium, voir cette page
13Le scriptoriumpour lire à propos du scriptorium, voir cette page
14Le scriptorium
15Galerie supérieure du cloîtreElle a été voûtée en bois, faute de moyens, après les destructions des troupes protestantes de Mongoméry en 1569.
16Galerie supérieure du cloîtreElle a été voûtée en bois, faute de moyens, après les destructions des troupes protestantes de Mongoméry en 1569.
18Chambre des moinesÀ l'étage, le dortoir des moines, auquel on accède depuis le croisillon Nord, a été transformé en chambres au XVIIè s. A cette époque, le confort compensait le manque de motivation : on a poussé le luxe jusqu'à décorer les chambres de stuc de style baroque, bien éloigné des préceptes cisterciens.
19Entrée de l'égliseOn accède à l'église par une porte surmontée d'un beau chrisme, motif populaire dans l'art roman de Gascogne.
Le Chrisme ou Chrismon est le monogramme du Christ. Il est formé par l'association des deux premières lettres du mot "XPIS", ou "Christ" en grec : X (khi) et P (rhô). Il est inscrit dans un cercle, symbole de Dieu et de l'éternité, ou dans une couronne, symbole de la victoire obtenue par la résurrection du Christ. Le chrisme est accompagné de l'Alpha et de l'Oméga, première et dernière lettre de l'alphabet grec. Signification : Le Christ est le Commencement et le terme de toute la création.
Il apparaît au début du IVème siècle avec l'empereur Constantin qui le fait figurer sur son étendard.
Le terme "pax" est aussi doté de signification symbolique : le "P" fait allusion au "padre", "A" au fils et "X" à l'Esprit saint. Le nombre de lettres, 3, est aussi le nombre de la trinité.
à propos des abbayes : page
20
à propos des abbayes : page
21Cul-de-four du chevet
22Entrée de l'égliseOn accède à l'église par une porte surmontée d'un beau chrisme, motif populaire dans l'art roman de Gascogne.
Le Chrisme ou Chrismon est le monogramme du Christ. Il est formé par l'association des deux premières lettres du mot "XPIS", ou "Christ" en grec : X (khi) et P (rhô). Il est inscrit dans un cercle, symbole de Dieu et de l'éternité, ou dans une couronne, symbole de la victoire obtenue par la résurrection du Christ. Le chrisme est accompagné de l'Alpha et de l'Oméga, première et dernière lettre de l'alphabet grec. Signification : Le Christ est le Commencement et le terme de toute la création.
Il apparaît au début du IVème siècle avec l'empereur Constantin qui le fait figurer sur son étendard.
Le terme "pax" est aussi doté de signification symbolique : le "P" fait allusion au "padre", "A" au fils et "X" à l'Esprit saint. Le nombre de lettres, 3, est aussi le nombre de la trinité.
23L'égliseConstruite entre 1180 et 1210, elle comporte une nef, flanquée de collatéraux simples, couverte d'une voûte en berceau brisé à puissants doubleaux. Ces derniers reposent sur des colonnes géminées engagées dans les piliers rectangulaires : les chapiteaux doubles présentent une ornementation simple, conforme à la tradition cistercienne : feuilles lisses ou entrelacs et volutes très stylisés. Sur le transept plus long que la nef s'ouvrent à l'Est le chœur surélevéde trois marches, qui se termine en cul-de-four et quatre absidioles.
Signes des approches de l'art gothique, des voûtes d'ogives couvrent la croisée du transept et le collatéral Nord. À gauche, dans le croisillon Nord, s'ouvre la sacristie, pièce carrée d'une très grande luminosité, qui se distingue par ses voûtes ogivales reposant sur une colonne centrale. Un escalier en pierre mène au dortoir des moines.
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24L'égliseConstruite entre 1180 et 1210, elle comporte une nef, flanquée de collatéraux simples, couverte d'une voûte en berceau brisé à puissants doubleaux. Ces derniers reposent sur des colonnes géminées engagées dans les piliers rectangulaires : les chapiteaux doubles présentent une ornementation simple, conforme à la tradition cistercienne : feuilles lisses ou entrelacs et volutes très stylisés. Sur le transept plus long que la nef s'ouvrent à l'Est le chœur surélevéde trois marches, qui se termine en cul-de-four et quatre absidioles.
Signes des approches de l'art gothique, des voûtes d'ogives couvrent la croisée du transept et le collatéral Nord. À gauche, dans le croisillon Nord, s'ouvre la sacristie, pièce carrée d'une très grande luminosité, qui se distingue par ses voûtes ogivales reposant sur une colonne centrale. Un escalier en pierre mène au dortoir des moines.
25Le cellier abrite une exposition sur le chemin de St-Jacques-de-Compostelle en Gascogne : cartes, sculptures, croix tombales de pèlerins ornées de la coquille, etc.
26Vue sur le jardin depuis l'appartement des moines
27Le chevet vu du jardinLe feston d'arcatures cernant les absidioles est caractéristiques de la première période de l'art roman méridional.
28Le jardinIl comprend deux parties, le jardin à la française et, vers l'ancien moulin, le jardin des plantes aromatiques et médicinales. La vue est intéressante sur l'aile orientale du bâtiment des moines et le chevet de l'église ; le feston d'arcatures cernant les absidioles est caractéristiques de la première période de l'art roman méridional.
à propos des abbayes : page
29Le jardinIl comprend deux parties, le jardin à la française et, vers l'ancien moulin, le jardin des plantes aromatiques et médicinales. La vue est intéressante sur l'aile orientale du bâtiment des moines et le chevet de l'église ; le feston d'arcatures cernant les absidioles est caractéristiques de la première période de l'art roman méridional.
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Le foie gras (47 photos)
1De Condom à St-Puy
2Vignoble d'Armagnacde Condom à St-Puy
3Vignoble d'Armagnacde Condom à St-Puy
4Près de St-Puyprès de St-Puy
5Paysage du Gersprès de St-Puy
6Paysage du Gersprès de St-Puy
7Paysage du Gersprès de St-Puy
8Paysage du Gersprès de St-Puy
9Paysage du Gersprès de St-Puy
13Découpe du canard
14Foie gras de canard
15Gavage des oies
16Château de MonsLe Château de Mons a été construit en 1285.
Il est entouré d'un parc et d'un domaine viticole de 30 ha. Il produit Armagnac, Floc de Gascogne rosé et blanc, Pruneaux à l'Armagnac et Vins de pays Côtes de Gascogne.
17Hôtel particulier à Condom
18Hôtel de Bourran, à CondomIl date du 17è siècle.
19Château de MonlucCommune de St-Puy
Édifié au 10è siècle, détruit en partie, puis rebâti par Philippe Le Hardi, le château est habité par un vigneron. Il fait visiter sa demeure et attire notre attention sur un système original et authentique de chauffage par le sol, à la manière des thermes romains.
20Château de MonlucCommune de St-Puy
Édifié au 10è siècle, détruit en partie, puis rebâti par Philippe Le Hardi, le château est habité par un vigneron. Il fait visiter sa demeure et attire notre attention sur un système original et authentique de chauffage par le sol, à la manière des thermes romains.
21Château de MonlucCommune de St-Puy
Édifié au 10è siècle, détruit en partie, puis rebâti par Philippe Le Hardi, le château est habité par un vigneron. Il fait visiter sa demeure et attire notre attention sur un système original et authentique de chauffage par le sol, à la manière des thermes romains.
22Marché de SamatanLe lundi
Situation : Samatan est en dessous de la ligne Auch-Toulouse, à égale distance de ces deux villes (45 minutes environ en voiture).
23Marché de SamatanLe lundi
Situation : Samatan est en dessous de la ligne Auch-Toulouse, à égale distance de ces deux villes (45 minutes environ en voiture).
24Marché de SamatanLe lundi
Situation : Samatan est en dessous de la ligne Auch-Toulouse, à égale distance de ces deux villes (45 minutes environ en voiture).
25Marché de SamatanLe lundi
Situation : Samatan est en dessous de la ligne Auch-Toulouse, à égale distance de ces deux villes (45 minutes environ en voiture).
26Marché de SamatanLe lundi
Situation : Samatan est en dessous de la ligne Auch-Toulouse, à égale distance de ces deux villes (45 minutes environ en voiture).
27Marché de SamatanLe lundi
Situation : Samatan est en dessous de la ligne Auch-Toulouse, à égale distance de ces deux villes (45 minutes environ en voiture).
28Marché de SamatanLe lundi
Situation : Samatan est en dessous de la ligne Auch-Toulouse, à égale distance de ces deux villes (45 minutes environ en voiture).
33Foire au gras de Samatanle lundi
41SamatanLe marché au foie gras est le premier marché du Gers et l'un des premiers marchés français. Il a lieu le lundi.

La Halle comprend deux parties, l'une ouverte à 10h30 en hiver pour les carcasses (canards essentiellement), l'autre, ouverte au son de cloche à 11h en hiver, pour les foies gras.

Sous la halle au gras d'une superficie de 2400 m² sont commercialisées en moyenne le lundi 15 tonnes de carcasses grasses et 1,5 tonnes de foie gras d'oies et de canards. Ces chiffres sont triplés durant les mois d'octobre à décembre qui sont les plus importants de l'année.

42Le marché au foie gras est le premier marché du Gers et l'un des premiers marchés français. Il a lieu le lundi.

La Halle comprend deux parties, l'une ouverte à 10h30 en hiver pour les carcasses (canards essentiellement), l'autre, ouverte au son de cloche à 11h en hiver, pour les foies gras.

Sous la halle au gras d'une superficie de 2400 m² sont commercialisées en moyenne le lundi 15 tonnes de carcasses grasses et 1,5 tonnes de foie gras d'oies et de canards. Ces chiffres sont triplés durant les mois d'octobre à décembre qui sont les plus importants de l'année.

45Les carcasses partent vers les restaurateurs et préparateurs.
46Découpe à la demandeOn fait découper sur place les carcasses achetées au marché.
47L'Isle-Jourdain, musée campanaireAu carrefour du Gers et de la Haute-Garonne, L'Isle-Jourdain était autrefois une étape sur la route de Compostelle, comme en atteste la statue de saint Jacques, à la Halte Saint-Jacques. C'est également là que naquit Bertrand de l'Isle, fondateur de St-Bertrand-de-Comminges.
Place de l'Hôtel-de-Ville, se trouve, la maison de Claude Auge, du début du siècle. Auge participa au Dictionnaire Larousse . Un vitrail représente la « Semeuse » de Larousse. En face, se dresse le Centre-Musée européen d'Art campanaire

Fond de France 1 (40 photos)
1Près de Chambéry
2Le Massif de Belledonne
11Épicéa
12Noisettier
36Hêtre

Fond de France 2 (44 photos)

Le Pleynet, col de Merdaret (72 photos)
56Épicéa
65Érable
69Tilleul
70Prunus
71Tilleul
72Aulne

Pinsot, Gleyzin (72 photos)
7Traces estompées
8Restes de repas d'écureil
9Trace de marte
10Trace d'écureil
11Trace de lynx
12Trace de biche
13Trace de chamois
14Restes d'un repas
15Houx
25Écorce arrachée par des biches ou des cerfs
38La chalet du Bout, alt 1398 m
44Sapin Henri IV, 400 ans, 30 m de haut
48Carrefour du Bout, alt 1460 m

Flers, Pont d'Ouilly, Haras du pin (28 photos)
6Château de FlersÉpoque : (XVIe et XVIIIe s.)

Musée du Château Collection de Beaux-Arts (peintures et sculptures anciennes et XIXème siècles), d'Arts Décoratifs (ensemble de mobilier et d'objets d'art) et d'Histoire locale (cuisine normande). Ouvert d'avril à octobre, tous les jouts sauf le samedi matin de 10h à 12h et de 14h à 18h

14L'Orne à Pont d'Ouilly
17Le Haras du Pinhttp://www.cg61.fr/tourisme/pin.htm

Usines et Musée Peugeot (28 photos)
1Voiturette Lion, Va PhaétonAnnée : 1907
Les Fils de Peugeot Frères créent cette voiture qui concurrence celles des Automobiles Peugeot d'Armand Peugeot.

Il en sera fabriqué 1.000 exemplaires.

Le moteur a un cylindre de 785 cm3.

En 1910, les deux sociétés Peugeot fusionnent.

2Voiturette Lion, Va PhaétonAnnée : 1907
Les Fils de Peugeot Frères créent cette voiture qui concurrence celles des Automobiles Peugeot d'Armand Peugeot.

Il en sera fabriqué 1.000 exemplaires.

Le moteur a un cylindre de 785 cm3.

En 1910, les deux sociétés Peugeot fusionnent.

3Type 176Année : 1926
Comme le modèle 174, ce véhicule est équipé du moteur "sans soupapes", conçu par l'ingénieur Dufresne. C'est avec ce type de moteur que Peugeot remporte le Grand prix de l'ACF en 1925, à Montlhéry.

Il en sera fabriqué 1.512 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 2493 cm3.

4Type 176Année : 1926
Comme le modèle 174, ce véhicule est équipé du moteur "sans soupapes", conçu par l'ingénieur Dufresne. C'est avec ce type de moteur que Peugeot remporte le Grand prix de l'ACF en 1925, à Montlhéry.

Il en sera fabriqué 1.512 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 2493 cm3.

5Type 176Année : 1926
Comme le modèle 174, ce véhicule est équipé du moteur "sans soupapes", conçu par l'ingénieur Dufresne. C'est avec ce type de moteur que Peugeot remporte le Grand prix de l'ACF en 1925, à Montlhéry.

Il en sera fabriqué 1.512 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 2493 cm3.

6Type 153Année : 1923

Cette voiture est née en même temps que le permis de conduire. Auparavant, la préfecture délivrait un certificat de 'capacité pour la conduite des véhicules à moteur'.

Il en sera fabriqué 276 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 2.951 cm3. Il permet de rouler à 70 km/h maximum.

7Type 153Année : 1923

Cette voiture est née en même temps que le permis de conduire. Auparavant, la préfecture délivrait un certificat de 'capacité pour la conduite des véhicules à moteur'.

Il en sera fabriqué 276 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 2.951 cm3. Il permet de rouler à 70 km/h maximum.

8Lion du Type 153Année : 1923

Cette voiture est née en même temps que le permis de conduire. Auparavant, la préfecture délivrait un certificat de 'capacité pour la conduite des véhicules à moteur'.

Il en sera fabriqué 276 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 2.951 cm3. Il permet de rouler à 70 km/h maximum.

9Type 181, TorpédoAnnée : 1925

La 100.000ème voiture est produite en 1925 et c'est un modèle 181. C'est une des dernières voitures produites dans l'usine créée en 1897 à Audincourt. De 1925 à 1929, plus de 100.000 voitures sont fabriquées.

Il en sera fabriqué 8609 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 1.615 cm3. Il permet de rouler à 75 km/h maximum.

10401 CoupéAnnée : 1935

Ce modèle coupé est équipé d'un toit escamotable dans le coffre, suivant un concept inventé par le styliste Georges Paulin.

Il en sera fabriqué 79 exemplaires dans l'atelier de La Garenne-Colombe, près de Paris (la 401 est produite à 13.545 exemplaires).

Le moteur a 4 cylindres, de 1.720 cm3. Il permet de rouler à 100 km/h maximum.

11401 CoupéAnnée : 1935

Ce modèle coupé est équipé d'un toit escamotable dans le coffre, suivant un concept inventé par le styliste Georges Paulin.

Il en sera fabriqué 79 exemplaires dans l'atelier de La Garenne-Colombe, près de Paris (la 401 est produite à 13.545 exemplaires).

Le moteur a 4 cylindres, de 1.720 cm3. Il permet de rouler à 100 km/h maximum.

12401 CoupéAnnée : 1935

Ce modèle coupé est équipé d'un toit escamotable dans le coffre, suivant un concept inventé par le styliste Georges Paulin.

Il en sera fabriqué 79 exemplaires dans l'atelier de La Garenne-Colombe, près de Paris (la 401 est produite à 13.545 exemplaires).

Le moteur a 4 cylindres, de 1.720 cm3. Il permet de rouler à 100 km/h maximum.

13302, Darl'matAnnée : 1937

Sur une idée du grand concessionnaire parisien Emile Darl'mat une série de 402 DS fut rélisée à partir de 1937. Ce modèle dessiné par Paulin et carrrossé par Pourtout était réalisé à partir de chassis de 402, trains roulants de 302 et moteur de 402 préparé développant environ 70cv. Trois d'entre-elles furent engagées au Mans en 1937, elles terminèrent 7ème, 8ème et 10ème.

Il en sera fabriqué 1000 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 1.991 cm3.

14302, Darl'matAnnée : 1937

Sur une idée du grand concessionnaire parisien Emile Darl'mat une série de 402 DS fut rélisée à partir de 1937. Ce modèle dessiné par Paulin et carrrossé par Pourtout était réalisé à partir de chassis de 402, trains roulants de 302 et moteur de 402 préparé développant environ 70cv. Trois d'entre-elles furent engagées au Mans en 1937, elles terminèrent 7ème, 8ème et 10ème.

Il en sera fabriqué 1000 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 1.991 cm3.

15302, Darl'matAnnée : 1937

Sur une idée du grand concessionnaire parisien Emile Darl'mat une série de 402 DS fut rélisée à partir de 1937. Ce modèle dessiné par Paulin et carrrossé par Pourtout était réalisé à partir de chassis de 402, trains roulants de 302 et moteur de 402 préparé développant environ 70cv. Trois d'entre-elles furent engagées au Mans en 1937, elles terminèrent 7ème, 8ème et 10ème.

Il en sera fabriqué 1000 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 1.991 cm3.

16302, Darl'matAnnée : 1937

Sur une idée du grand concessionnaire parisien Emile Darl'mat une série de 402 DS fut rélisée à partir de 1937. Ce modèle dessiné par Paulin et carrrossé par Pourtout était réalisé à partir de chassis de 402, trains roulants de 302 et moteur de 402 préparé développant environ 70cv. Trois d'entre-elles furent engagées au Mans en 1937, elles terminèrent 7ème, 8ème et 10ème.

Il en sera fabriqué 1000 exemplaires.

Le moteur a 4 cylindres, de 1.991 cm3.

17Ancienne fonderieen démolition en 2005, pour laisser place à un vaste parking pour le personnel des ateliers.
18Ancienne fonderieen démolition en 2005, pour laisser place à un vaste parking pour le personnel des ateliers.
19La famille Peugeot a commencé par fabriquer des ustensiles pour faciliter la vie quotidienne : moulins à eau, puis moulins à café (1855), tondeuses pour coiffeurs, machines à coudre (en 1897), tournebroches, ressorts de montres, pendules, meubles de jardin, scies, phonographes ... proposés par catalogue.
20La famille Peugeot a commencé par fabriquer des ustensiles pour faciliter la vie quotidienne : moulins à eau, puis moulins à café (1855), tondeuses pour coiffeurs, machines à coudre (en 1897), tournebroches, ressorts de montres, pendules, meubles de jardin, scies, phonographes ... proposés par catalogue.
21601Année : 1934

Ce modèle succède à la 12 six en 1934 et sa présentation, au printemps de l'année 1934, annonce la révolution esthétique de la marque au Lion. Ce n'est pas encore le « fuseau » mais on s'en approche. Elle cannait une courte carrière, seulement 18 mois ! Ce fut la dernière 6 cylindres Peugeot avant la 604 de 1973. Son modeste succès est dû en partie à son manque de différenciation par rapport à la 301. La clientèle voit également en elle la descendante de la 183, 12CV 6 cylindres également, de funeste mémoire à cause de son moteur trop fragile.

Il en sera fabriqué 1000 exemplaires.

Le moteur a 6 cylindres, de 2.148 cm3. Il permet de rouler à 105 km/h maximum.

22401 CoupéAnnée : 1935

Ce modèle coupé est équipé d'un toit escamotable dans le coffre, suivant un concept inventé par le styliste Georges Paulin.

Il en sera fabriqué 79 exemplaires dans l'atelier de La Garenne-Colombe, près de Paris (la 401 est produite à 13.545 exemplaires).

Le moteur a 4 cylindres, de 1.720 cm3. Il permet de rouler à 100 km/h maximum.

24402Année : 1935

Ligne très innovante à l'époque pour cette silhouette dite "fuseau Sochaux" : la calandre est courbe et englobe les phares. Le marchepied a disparu, et les portières descendent jusqu'en bas. C'est une grande routière robuste et moderne pour son époque. Elle fut largement adoptée par les chauffeurs de taxi. Ce fut le premier modèle de grande série à offrir une transmission automatique réellement efficace.

Elle est produite à 58.748 exemplaires.

Elle est équipée de 4 cylindre en lignes de 1.991 cm3.

26203 (de 1949 à 60)
27203 (de 1949 à 60)
28402Année : 1935

Ligne très innovante à l'époque pour cette silhouette dite "fuseau Sochaux" : la calandre est courbe et englobe les phares. Le marchepied a disparu, et les portières descendent jusqu'en bas. C'est une grande routière robuste et moderne pour son époque. Elle fut largement adoptée par les chauffeurs de taxi. Ce fut le premier modèle de grande série à offrir une transmission automatique réellement efficace.

Elle est produite à 58.748 exemplaires.

Elle est équipée de 4 cylindre en lignes de 1.991 cm3.


Vallée de l'Yonne (36 photos)
1L'Yonne
3Barrage de Magny
5Merry-sur-Yonne, église Saint-Denis
9Rochers du Saussois
10Pont sur le canal du Nivernais
11Rochers du Saussois
12Merry-sur-Yonne
16Châtel-Censoir
24Douglas
29Collégiale Saint-Potentien
31Choeur et crypte du XIème siècle et nef du XVIème siècle.

Vallée de la Cure, Vézelay (68 photos)
1Basilique Sainte-Madeleine
23Relique de Marie-Madeleine
37Le clocher de l'église de Saint-Père
49Église de Saint-Père
53La Cure
54Au loin, Saint-Père
60Les ponts de Pierre-PerthuisLe Vieux pont a été construit en 1770, en maçonnerie. Sa portée est de 19.60 m.
Le Grand Pont, à environ 25 mètres du pont de Ternos, franchit la rivière par un arc en plein cintre de trente mètres d'ouverture, donnant passage à la route qu'il supporte sur soixante-dix mètres de long, à trente-cinq mètres au-dessus de la rivière. Mis en construction en 1872, il devait être livré à la circulation en 1873, mais l'échaffaudage monumental combiné pour ce travail, fut détruit par un ouragan et occasionna un long retard des travaux qui ne furent achevés qu'en 1874.
61Vieux Pont de Pierre-Perthuis ou pont de TernosPont en maçonnerie construit en 1770.
Portée de l'arc : 19.60 m.
Il a été doublé par le Grand Pont, qui, à environ 25 mètres du pont de Ternos, franchit la rivière par un arc en plein cintre de trente mètres d'ouverture, donnant passage à la route qu'il supporte sur soixante-dix mètres de long, à trente-cinq mètres au-dessus de la rivière. Mis en construction en 1872, il devait être livré à la circulation en 1873, mais l'échaffaudage monumental combiné pour ce travail, fut détruit par un ouragan et occasionna un long retard des travaux qui ne furent achevés qu'en 1874.
63Au loin, Vézelay

Vallée du Cousin, Avallon (44 photos)
1AvallonAltitude : 254 mètres.
Avallon s'appelait "Aballo", castrum du pays éduen. La ville constituait une étape sur la via Agrippa menant de Lyon à Boulogne-sur-Mer. Chef-lieu d'un pagus durant le haut Moyen-Age. Face au château des ducs de Bourgogne s'éleva, au IXème, une collégiale dédiée à la Vierge, fondée, selon la tradition, par Girard de Roussillon et qui, à son vocable primitif, ajouta au XIème celui de Saint-Lazare. Ville forte assiégée par Robert le Pieux au 11ème, érigée en commune au 13ème, siège d'une vicomté dont plusieurs titulaires appartinrent à la puissante famille féodale de Chastellux. Prise par les routiers de Charles VII en 1433, reprise par le duc Philippe le Bon, la ville repoussa l'assaut des protestants du duc des Deux-Ponts en 1569. Occupée par les ligueurs en 1590, elle fut reprise par les troupes royales en 1594. Au XVIIème, de nouveaux ordres religieux s'installèrent dans les quartiers suburbains : Minimes (1607), Capucins (1653), Visitandines (1660). Aux hameaux de Cousin-le-Pont et Cousin-la-Roche existèrent deux chapelles-ermitages dédiées l'une à saint Jacques, l'autre à saint Guillaume.
2Tour de l'Horloge
5Tour de l'Horloge
7Collégiale Saint-Lazareportail roman du XIIe siècle
8Collégiale Saint-Lazareportail roman du XIIe siècle
14Avallon, vu de l'Est
24Le Cousin