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Région : Paris


Art premier (sculptures) (7 photos)
1Appuie-tête loubaCongo
2Masque épaule nimbaBaga bulunits, Guinée
3Statue en bronzeBénin, fin 15è siècle
4Statue pierre SokotoNigéria, 6è siècle
5Statue pierre BakorNigéria, 16è siècle
6Goudivinité du fer, Bénin, 1858
7Cuiller zoulouAfrique du Sud

Bureau du Général de Gaulle(15 photos)
10Machine à écrireCe pourrait être celle de l'appel du 18 juin 1940 adressé aux Français depuis Londres sur les ondes de la BBC.

lire l'appel.
11Tank en contreplaquéRéplique de ceux de la division que commandait le Général de Gaulle. Elle a été offerte par les ouvriers des usines d'Armement.
12Bretonnes du FinistèreCe groupe a été offert au Général par les femmes de l'île de Sein, en mémoire aux premiers Résistants issus de l'île de Sein : les hommes, tous sauf le curé, quittèrent leur île à la rame pour rallier l'Angleterre et le Général.

Conseil économique et social (15 photos)

Jazz (concert) (16 photos)

Jardin du Luxembourg (sculptures) (32 photos)
7Anne Marie Louise d'OrléansDuchesse de Montpensier (1627-93)
Sculpteur : Camille Demesmay (1815-1890)
1848
pour en savoir plus : http://www.histoire-en-ligne.com/article.php3?id_article=249
8Clemence IsaureSculpteur : Antoine-Augustin Préault (1809-1879)
9Jeanne d'AlbretReine de Navarre (1528-72)
Sculpteur : Jean-Louis Brian (1805-1864)
10Jeanne d'AlbretReine de Navarre (1528-72)
Sculpteur : Jean-Louis Brian (1805-1864)
11Marie-StuartReine de France
Sculpteur : Jean-Jacques Feuchère (Jean Feuchère) (1807-1852)
12Marie-StuartReine de France
Sculpteur : Jean-Jacques Feuchère (Jean Feuchère) (1807-1852)
13Marie-StuartReine de France
Sculpteur : Jean-Jacques Feuchère (Jean Feuchère) (1807-1852)
14Marius debout devant les ruines de CarthageSculpteur : Victor Vilain (1818-1899).
15MathildeDuchesse de Normandie
Sculpteur : Jean-Jacques Elshoecht (Carle Elshoecht) (1797-1856)
vers 1870.
16MathildeDuchesse de Normandie
Sculpteur : Jean-Jacques Elshoecht (Carle Elshoecht) (1797-1856)
vers 1870.
17MathildeDuchesse de Normandie
Sculpteur : Jean-Jacques Elshoecht (Carle Elshoecht) (1797-1856)
vers 1870.
18Sainte-BathildeReine de France
Sculpteur : V. Thérasse, 1848.
19Sainte-GenevièvePatronne de Paris
Sculpteur : Mercier
Geneviève naquit vers 420 à Nanterre, près de Paris. En 429, les deux saints évêques Germain d'Auxerre et Loup de Troyes, qui se rendaient en Grande-Bretagne pour combattre l'hérésie pélagienne, la remarquèrent. Germain suspendit à son cou une pièce de monnaie marquée d'une croix pour la vouer au service de Dieu. Quelques années plus tard, elle reçut la consécration, mais demeura chez ses parents, puis, après leur mort, chez sa marraine à Paris, menant une vie de prière et de pénitence. S'imposant par la force de sa personnalité, elle prit la direction de plusieurs groupes de vierges. Elle fit le pèlerinage au tombeau de saint Martin à Tours et construisit la première basilique sur le tombeau de Denis, premier évêque de Paris. L'invasion d'Attila en 451 fut, pour elle, l'occasion de montrer son génie et son autorité : malgré les menaces de mort des plus apeurés, elle conseilla aux Parisiens de ne pas quitter leur ville. Paris ne tomba pas aux mains des ennemis, mais les guerres y amenèrent la famine. Geneviève organisa le ravitaillement en envoyant des bateaux jusqu'à Troyes et fit bénéficier les pauvres des distributions. Geneviève gagna la confiance des rois francs, Childéric Ier (mort en 481) d'abord, puis son fils Clovis Ier. Elle obtint d'eux la libération de prisonniers et la grâce de criminels. Geneviève mourut un 3 janvier, peut-être en 502, et fut ensevelie sur le mont Lucotitius. Le roi Clovis y fit élever, sous le titre des saints Apôtres, une basilique où il fut enterré en 511 et la reine Clotilde en 545. Déjà Geneviève était vénérée comme une sainte très populaire, l'église prit son nom. Du XIIe siècle à la Révolution, leur abbaye fut un lieu de pèlerinage et un centre intellectuel important. En 1764, les chanoines réguliers de Sainte-Geneviève entreprirent la construction d'une nouvelle église. Elle fut désaffectée en 1791 pour devenir le Panthéon. Rendue au culte en 1806 et achevée seulement en 1812, elle redevint Panthéon en 1830, de nouveau église en 1851 et Panthéon en 1885. Les reliques de sainte Geneviève, qui avaient alors été transportées à l'église voisine de Saint-Étienne-du-Mont, furent brûlées et jetées à la Seine en 1793. On a reconstitué un tombeau avec quelques reliques à Saint-Étienne-du-Mont, qui est devenu le centre du culte de la patronne de Paris.
20Sainte-GenevièvePatronne de Paris
Sculpteur : Mercier
Geneviève naquit vers 420 à Nanterre, près de Paris. En 429, les deux saints évêques Germain d'Auxerre et Loup de Troyes, qui se rendaient en Grande-Bretagne pour combattre l'hérésie pélagienne, la remarquèrent. Germain suspendit à son cou une pièce de monnaie marquée d'une croix pour la vouer au service de Dieu. Quelques années plus tard, elle reçut la consécration, mais demeura chez ses parents, puis, après leur mort, chez sa marraine à Paris, menant une vie de prière et de pénitence. S'imposant par la force de sa personnalité, elle prit la direction de plusieurs groupes de vierges. Elle fit le pèlerinage au tombeau de saint Martin à Tours et construisit la première basilique sur le tombeau de Denis, premier évêque de Paris. L'invasion d'Attila en 451 fut, pour elle, l'occasion de montrer son génie et son autorité : malgré les menaces de mort des plus apeurés, elle conseilla aux Parisiens de ne pas quitter leur ville. Paris ne tomba pas aux mains des ennemis, mais les guerres y amenèrent la famine. Geneviève organisa le ravitaillement en envoyant des bateaux jusqu'à Troyes et fit bénéficier les pauvres des distributions. Geneviève gagna la confiance des rois francs, Childéric Ier (mort en 481) d'abord, puis son fils Clovis Ier. Elle obtint d'eux la libération de prisonniers et la grâce de criminels. Geneviève mourut un 3 janvier, peut-être en 502, et fut ensevelie sur le mont Lucotitius. Le roi Clovis y fit élever, sous le titre des saints Apôtres, une basilique où il fut enterré en 511 et la reine Clotilde en 545. Déjà Geneviève était vénérée comme une sainte très populaire, l'église prit son nom. Du XIIe siècle à la Révolution, leur abbaye fut un lieu de pèlerinage et un centre intellectuel important. En 1764, les chanoines réguliers de Sainte-Geneviève entreprirent la construction d'une nouvelle église. Elle fut désaffectée en 1791 pour devenir le Panthéon. Rendue au culte en 1806 et achevée seulement en 1812, elle redevint Panthéon en 1830, de nouveau église en 1851 et Panthéon en 1885. Les reliques de sainte Geneviève, qui avaient alors été transportées à l'église voisine de Saint-Étienne-du-Mont, furent brûlées et jetées à la Seine en 1793. On a reconstitué un tombeau avec quelques reliques à Saint-Étienne-du-Mont, qui est devenu le centre du culte de la patronne de Paris.
21Sainte-GenevièvePatronne de Paris
Sculpteur : Mercier
Geneviève naquit vers 420 à Nanterre, près de Paris. En 429, les deux saints évêques Germain d'Auxerre et Loup de Troyes, qui se rendaient en Grande-Bretagne pour combattre l'hérésie pélagienne, la remarquèrent. Germain suspendit à son cou une pièce de monnaie marquée d'une croix pour la vouer au service de Dieu. Quelques années plus tard, elle reçut la consécration, mais demeura chez ses parents, puis, après leur mort, chez sa marraine à Paris, menant une vie de prière et de pénitence. S'imposant par la force de sa personnalité, elle prit la direction de plusieurs groupes de vierges. Elle fit le pèlerinage au tombeau de saint Martin à Tours et construisit la première basilique sur le tombeau de Denis, premier évêque de Paris. L'invasion d'Attila en 451 fut, pour elle, l'occasion de montrer son génie et son autorité : malgré les menaces de mort des plus apeurés, elle conseilla aux Parisiens de ne pas quitter leur ville. Paris ne tomba pas aux mains des ennemis, mais les guerres y amenèrent la famine. Geneviève organisa le ravitaillement en envoyant des bateaux jusqu'à Troyes et fit bénéficier les pauvres des distributions. Geneviève gagna la confiance des rois francs, Childéric Ier (mort en 481) d'abord, puis son fils Clovis Ier. Elle obtint d'eux la libération de prisonniers et la grâce de criminels. Geneviève mourut un 3 janvier, peut-être en 502, et fut ensevelie sur le mont Lucotitius. Le roi Clovis y fit élever, sous le titre des saints Apôtres, une basilique où il fut enterré en 511 et la reine Clotilde en 545. Déjà Geneviève était vénérée comme une sainte très populaire, l'église prit son nom. Du XIIe siècle à la Révolution, leur abbaye fut un lieu de pèlerinage et un centre intellectuel important. En 1764, les chanoines réguliers de Sainte-Geneviève entreprirent la construction d'une nouvelle église. Elle fut désaffectée en 1791 pour devenir le Panthéon. Rendue au culte en 1806 et achevée seulement en 1812, elle redevint Panthéon en 1830, de nouveau église en 1851 et Panthéon en 1885. Les reliques de sainte Geneviève, qui avaient alors été transportées à l'église voisine de Saint-Étienne-du-Mont, furent brûlées et jetées à la Seine en 1793. On a reconstitué un tombeau avec quelques reliques à Saint-Étienne-du-Mont, qui est devenu le centre du culte de la patronne de Paris.
22CalliopeSculpteur : Pelliccia
23VulcainSculpteur : Pierre-Charles Bridan (Pierre-Charles Bridan le Fils) (1766-1836)
24Minerve à la chouettesculpteur non connu
25Floresculpteur non connu
30Cheval, Heather JanschExposition
31Cheval, Heather JanschExposition
32Cheval, Heather JanschExposition

Jardin du Luxembourg (sculptures) 2004 (27 photos)
1Une dernière danseSébastien Pasques
2003
Statue en bronze, cire directrice
Dimensions : 214 x 220 x 115 cm
2Une dernière danseSébastien Pasques
2003
Statue en bronze, cire directrice
Dimensions : 214 x 220 x 115 cm
4LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
5LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
6LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
7LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
8LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
9LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
10LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
11LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
12LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
13LévitationHerman Steins (Hollande)
2004
Bois et métal
14Table de cuisineWade Saunders (USA)
2004
Bois et résine acrylique
Hauteur : 3,75 m
15Table de cuisineWade Saunders (USA)
2004
Bois et résine acrylique
Hauteur : 3,75 m
16Table de cuisineWade Saunders (USA)
2004
Bois et résine acrylique
Hauteur : 3,75 m
17Table de cuisineWade Saunders (USA)
2004
Bois et résine acrylique
Hauteur : 3,75 m
18Table de cuisineWade Saunders (USA)
2004
Bois et résine acrylique
Hauteur : 3,75 m
19Table de cuisineWade Saunders (USA)
2004
Bois et résine acrylique
Hauteur : 3,75 m

Galerie Vivienne (17 photos)

Galeries du Palais-Royal(23 photos)

Laboratoire Gustave Eiffel (8 photos)

Montmartre et son Clos(20 photos)
1Siège de la commanderie du Clos MontmartreLa commanderie du Clos Montmartre
En 1983, Maurice His, Président de la République de Montmartre, entouré d'amoureux du vin, créa la seule confrérie vineuse de Paris.
Elle a son siège dans une ancienne fontaine à eau, à l'angle de la rue Norvins et de la place J.B Clément : la bâtisse octogonale, de style néo-renaissance, date de 1835. Elle supportait un tonneau … rempli d'eau, qui faisait office de château d'eau pour le village de Montmartre. La capacité du tonneau était de 5.000 litres. Le village n'avait plus d'eau de source car les extractions de gypse avaient tari les sources.
38 cépages différents sont assemblés pour obtenir le vin de Montmartre, dont le cépage Noah, prohibé depuis 1935, qui "rend aveugle et fou". On trouve essentiellement du Gamay et du Pinot noir.
Le vin est vinifié dans les caves de la mairie du 18ème arrondissement, où a lieu la vente aux enchères au profit du Comité de Bienfaisance de l'arrondissement.
La production est de 1.000 bouteilles … de 0,50 litre.
Chaque année, la traditionnelle fête des vendanges attire des vedettes, les notables de Montmartre, mais aussi les délégations des provinces françaises, et les chevaliers du taste-vin de toutes régions. Le plus souvent, une personnalité est choisie pour nommer la cuvée : Prévert, Dalida, Renault (l'inventeur de l'automobile Renault). La première automobile Renault gravit la très pentue rue Lepic à 4 km/h. d'autres années, on a vu la cuvée nommée en l'honneur du Moulin Rouge, ou de la chanson "Le temps des cerises", composée par Jean-Baptiste Clément.
2Grand maîtreLa commanderie du Clos Montmartre
En 1983, Maurice His, Président de la République de Montmartre, entouré d'amoureux du vin, créa la seule confrérie vineuse de Paris.
Elle a son siège dans une ancienne fontaine à eau, à l'angle de la rue Norvins et de la place J.B Clément : la bâtisse octogonale, de style néo-renaissance, date de 1835. Elle supportait un tonneau … rempli d'eau, qui faisait office de château d'eau pour le village de Montmartre. La capacité du tonneau était de 5.000 litres. Le village n'avait plus d'eau de source car les extractions de gypse avaient tari les sources.
38 cépages différents sont assemblés pour obtenir le vin de Montmartre, dont le cépage Noah, prohibé depuis 1935, qui "rend aveugle et fou". On trouve essentiellement du Gamay et du Pinot noir.
Le vin est vinifié dans les caves de la mairie du 18ème arrondissement, où a lieu la vente aux enchères au profit du Comité de Bienfaisance de l'arrondissement.
La production est de 1.000 bouteilles … de 0,50 litre.
Chaque année, la traditionnelle fête des vendanges attire des vedettes, les notables de Montmartre, mais aussi les délégations des provinces françaises, et les chevaliers du taste-vin de toutes régions. Le plus souvent, une personnalité est choisie pour nommer la cuvée : Prévert, Dalida, Renault (l'inventeur de l'automobile Renault). La première automobile Renault gravit la très pentue rue Lepic à 4 km/h. d'autres années, on a vu la cuvée nommée en l'honneur du Moulin Rouge, ou de la chanson "Le temps des cerises", composée par Jean-Baptiste Clément.
12Saint-Vincent, patron des vignerons

Qui était Saint-Vincent ?

Vincent est né dans une famille noble à la fin du 3ème siècle, à Huesca, petite cité espagnole au pied des Pyrénées. Très jeune, il devient diacre puis archidiacre à Saragosse. Il était chargé de l'administration des biens de l'église mais il prêchait aussi dans les lieux de culte à la place de l'évêque de Saragosse.
A cette époque, les chrétiens étaient pourchassés à travers tout l'empire romain. Vincent fut emprisonné, torturé. De nombreux miracles sauvèrent l'infortuné de la mort. Pourtant, après d'atroces souffrances, Vincent rendit son dernier soupir le 22 janvier 304

Pourquoi Saint-Vincent est-il devenu patron des vignerons ?

Selon certains, le choix des vignerons a été effectué ainsi parce que le mot "vin" se trouve dans le prénom du Saint.
On a fait valoir également qu'une roue de pressoir avait été utilisée pour torturer Saint-Vincent.
D'autres évoquent aussi l'activité du diacre qui, à l'autel, verse le vin dans le calice.
D'autres estiment que le culte du saint s'est implanté d'abord en Bourgogne. Patron de cette région, il devint plus spécialement celui des vignerons bourguignons avant de rayonner en Champagne, les deux régions étant très proches et très liées.
Le jour de sa fête se situe à une période propice : le 22 janvier, l'hiver est déjà bien engagé et a fait subir ses rigueurs, la vigne ne nécessite plus de soins, on ressent alors le besoin de se réunir, de se réconforter avant la reprise des premiers travaux viticoles, de taille en particulier.

13Basilique du Sacré-CœurEn 1870 : la guerre éclate entre la France et l'Allemagne. Le Concile qui se tient au Vatican est interrompu et le pape, qui n'est plus protégé par les troupes françaises, se considère prisonnier dans la cité du Vatican ! En France, c'est la défaite militaire et l'occupation d'une partie du pays par les troupes allemandes.
La démarche de Messieurs Alexandre Legentil et Hubert Rohault de Fleury est spirituelle. Ils font vœu de construire une Église consacrée au Cœur du Christ en pénitence pour les fautes commises car pour eux les malheurs de la France proviennent de causes spirituelles plutôt ue politiques.
En 1872, le Cardinal Guibert, archevêque de Paris, approuve ce vœu et choisit Montmartre. En 1873, il obtient de l'Assemblée Nationale une loi qui déclare d'utilité publique la Basilique. Le financement est assuré par des collectes de dons dans la France entière, dont les noms des donateurs sont gravés dans la pierre.
L'architecte est Paul Abadie, mais six architectes se succèdent pour achever l'édifice. Le style est Romano-byzantin et le matériau le calcaire blanc.
1875 : Pose de la première pierre. Il faut creuser des puits de 33 mètres e profondeur, qui, comblés deviennent des piliers sur lesquels repose l'édifice. Sans ces piliers la Basilique s'enfoncerait dans la glaise.
1878 : Début des travaux de la crypte.
1881 : Début des travaux de la Basilique proprement dite.
1914 : Tout est prêt pour la consécration mais la première guerre mondiale éclate (1914-18). Il faut attendre le 16 octobre 1919 pour que la consécration ait lieu. L'Église reçoit le titre de Basilique, c'est-à-dire qu'elle est un lieu de pèlerinage.
Le dôme est haut de 83 mètres et la coupole a un diamètre de 16 mètres.
Dans la campanile, la Savoyarde est une des plus grosses cloches du monde ; elle peut être sonnée à la volée, au marteau ou au battant mobile.
La basilique attire chaque année 300.000 pèlerins et 7 à 8 millions de visiteurs.
14Église Saint-Pierre de MontmartreCommencée en 1133, l'Église Saint-Pierre, l'une des plus vieilles de Paris, fut terminée en 1147. Elle fut consacrée par le pape Eugène III assisté de saint Bernard de Clairvaux et de Pierre le Vénérable, abbé de Cluny, en présence du roi Louis VII le Jeune et de sa mère, Adélaïde de Savoie. Saint-Pierre comprend un choeur roman et une nef gothique. Pendant plus de six siècles, elle fut à la fois église paroissiale et chapelle du couvent des Bénédictines. Un mur séparait les deux églises. Ce n'est qu'en 1906, lors de la restauration, que disparut le mur qui coupait l'église et pour la première fois, le "Choeur des Dames" fut réuni à l'église paroissiale.
15Basilique du Sacré-CœurEn 1870 : la guerre éclate entre la France et l'Allemagne. Le Concile qui se tient au Vatican est interrompu et le pape, qui n'est plus protégé par les troupes françaises, se considère prisonnier dans la cité du Vatican ! En France, c'est la défaite militaire et l'occupation d'une partie du pays par les troupes allemandes.
La démarche de Messieurs Alexandre Legentil et Hubert Rohault de Fleury est spirituelle. Ils font vœu de construire une Église consacrée au Cœur du Christ en pénitence pour les fautes commises car pour eux les malheurs de la France proviennent de causes spirituelles plutôt ue politiques.
En 1872, le Cardinal Guibert, archevêque de Paris, approuve ce vœu et choisit Montmartre. En 1873, il obtient de l'Assemblée Nationale une loi qui déclare d'utilité publique la Basilique. Le financement est assuré par des collectes de dons dans la France entière, dont les noms des donateurs sont gravés dans la pierre.
L'architecte est Paul Abadie, mais six architectes se succèdent pour achever l'édifice. Le style est Romano-byzantin et le matériau le calcaire blanc.
1875 : Pose de la première pierre. Il faut creuser des puits de 33 mètres e profondeur, qui, comblés deviennent des piliers sur lesquels repose l'édifice. Sans ces piliers la Basilique s'enfoncerait dans la glaise.
1878 : Début des travaux de la crypte.
1881 : Début des travaux de la Basilique proprement dite.
1914 : Tout est prêt pour la consécration mais la première guerre mondiale éclate (1914-18). Il faut attendre le 16 octobre 1919 pour que la consécration ait lieu. L'Église reçoit le titre de Basilique, c'est-à-dire qu'elle est un lieu de pèlerinage.
Le dôme est haut de 83 mètres et la coupole a un diamètre de 16 mètres.
Dans la campanile, la Savoyarde est une des plus grosses cloches du monde ; elle peut être sonnée à la volée, au marteau ou au battant mobile.
La basilique attire chaque année 300.000 pèlerins et 7 à 8 millions de visiteurs.

Musée Guimet (sculptures) (28 photos)
2Bouddha (650)Provenance : Tuol Preah Theat, province de Kompong.

>>>> Qui fut Bouddha ?
3Harihara (651)Provenance : Asram Maha Rosei, province de Takeo (Sud de Phnom Penh), style Phnom Da.
Image composite moitié Vishnu (Hari), moitié Shiva (Hara). Hari signifie 'jaune', couleur bénéfique du drapé de Krishna, incarnation de Vishnu, alors que Hara signifie 'destructeur'. Il a quatre bras, la partie de Hara est généralement coiffée d'un chignon en mèches torsadées, et son vêtement est parfois consitué d'une peau de tigre. La partie de Hari est coiffée d'une demi-tiare. Parmi ses attributs, on relève : le disque, la conque, le trident.
Par son modelé subtil et doux, cette oeuvre est caractéristique de l'art du Phnom Da. Le visage présente un nez long, fin et légèrement aquilin, la chevelure est traitée en mèches calamistrées tombant en cascade dans le dos. Le vêtement est une simple dhotî au plissé rayonnant.
L'arc de soutien subsistant à la partie supérieure de la sculpture reliait les bras à la tête et entourait à l'origine complètement le dieu, pour renforcer la sculpture.
Issu de tendances syncrétiques au sein de la religion brahmanique, le dieu Harihara assure aux fidèles la double protection de Visnu et de Shiva.
4Linteau provenant du Prasta Kok Pa (845)Le dieu Vishnou est sur sa monture, Garuda, entre les monstres Kala et Kirtimukha.
5Linteau provenant du Prasat Koki (850)Région de Phnom Kulen, au Nord est d'Angkor.
Le dieu de la pluie, Indra, est entouré de ses serviteurs.
6Statue en grès provenant du Prasat Thom (945)style de Koh Ker.
7Vajimukha (945)Provenance : Sambor Prei Kerk, style Pre Rup (Angkor).
8Fronton de Banteay Srei (967)Trop abîmé, il n'a pas pu être remonté sur place. Il a été envoyé à Paris en 1936.
Ce haut-relief a été sculpté dans un grès rose de grande qualité et les détails de l'ornementation y sont restés presque intacts. Il provient du porche oriental du gopura III est de Banteay Srei, structure cruciforme dont les façades étaient décorées de tels frontons. Il s'agit d'un épisode du Mahâbhârata, la grande épopée indienne, dont Vishnu sous la traits de Krisna, est l'un des héros. De part et d'autre d'un arbre de forme ogivale, les deux asura (démons) Sunda et Upasunda se disputent la possession de l'apsaras Tilottamâ créée par les dieux pour engendrer la guerre entre les deux frères et rétablir la paix sur terre. Ce conflit se déroule sous le regard d'ascètes. Les images en relief, très vivantes s'opposent dans l'art khmer aux statues de culte plus hiératiques et impersonnelles. Il s'agit ici des premières scènes narratives bien conservées qui infléchiront l'ornementation des monuments khmers.
Le Banteay Srei a été construit en 967 par un haut dignitaire brahmane, Yajñavarâha, sous le règne de Râjendravarman II. Le temple est construit un an avant la mort du roi. Banteay Srei est dédié à Shiva. Une allée centrale est ouverte par deux gopuras, à l'est et à l'ouest. Le temple est construit à plat, symétriquement de part et d'autre de cet axe, et non pas sur une pyramide. Une enceinte l'entoure. La partie Est comprend les salles utilitaires. Le temple et la partie sacrée sont à l'ouest, ceint d'un fossé et d'un mur. Une terrasse de 90 cm de haut supporte cinq bâtiments, dont deux bibliothèques ainsi nommées car elles devaient contenir les textes sacrés. Le grès rose employé se prête bien à des motifs finement ciselés.
>>>> pour voir le plan d'Angkor
9Brahma (Vers l'an 1000)Provenance : Phnom Bola, près de Banteay Srei. Style de Phnom Bakheng (Angkor).

>>>> pour voir le plan d'Angkor
10Bodhisattva Lokeshvara (Vers l'an 1000)Vers l'an 1000.
Les bodhisattvas sont de saints hommes qui ont atteint le seuil de libération, le nirvana, mais y ont renoncé pour rester dans le cycle des renaissances et faire profiter les hommes de leur sagesse. A la différence du Theravada (monastique), le bouddhisme mahâyâna intègre le culte des bodhisattvas.
11Pilastre d'angle (11è siècle)Provenance : terrasse des éléphants, Angkor.

>>>> pour voir le plan d'Angkor
12Linteau (11è siècle)Provenance : Vat Tuol Baset, Battambang.
Alliance de Rama et de Laksmana, à gauche.
Au centre, combat des singes Sagriva et Valin.
A droite : mort de Valin.
13Linteau avec Shiva (11è siècle)Provenance : Vat Kralanh, Angkor, style du Baphuon
Shiva est avec Vishnu et Brahmâ, l'un des dieux de la triade hindoue, la trimûrti. Shiva est le dieu de la destruction et de la dissolution. Il peut aussi être une divinité bienfaitrice car il anéantit Avidyâ (l'ignorance). Son symbole est le linga, représentant la puissance vitale divine. Il est reconnaissable entre autres à son troisième oeil frontal, et à ses attributs tels que le trident ou la hache, le tambour, et le rosaire, et sa monture, Nandi, le taureau à bosse.
Il est ici représenté chevauchant sa monture Nandi, en compagnie de son épouse Parvati, sur le mont Lala.

>>>> pour voir le plan d'Angkor
14Divinités (12è siècle)Provenance : Vat Po Metrey, région de Takeo, période d'Angkor Vat.
15Dvarapala (12è siècle)Provenance : Preah Thkol, province de Kompong Thom, entre Angkor et Phnom Penh, style du Bayon.
16Linteau représentant le barattage de l'océan (12è siècle)Provenance : Prasat Phnom Da, province de Takeo (Sud de Phnom Penh), style d'Angkor Vat.
Le registre supérieur montre Brahma, le soleil et la lune. Au centre la princesse Sri est entourée par les monstres et les bons génies, les asura et le deva, qui tirent le serpent comme une corde, lové au mont Mandalala, pour agiter l'océan primordial. Cette scène sacrée, appelée Barattage, permettait d'extraire la liqueur d'immortalité. En bas, Vishnou est incarné en tortue Kurma. Il supporte le Mont Mandara.
17Ganesh (fin du 12è siècle)Provenance : Sra Taset, région d'Angkor.
La déesse Parvati, épouse de Shiva, donna naissance à son premier enfant Skanda (Dieu de la Guerre). Elle en éprouva une telle joie qu'un lait sacré jaillit de ses seins. Mélangeant ce divin nectar avec la pâte de santal dont elle s'enduisait le corps, la déesse façonna son deuxième enfant, Ganesh, à qui elle confia la garde de son palais car son ascète de mari l'avait délaissée. Shiva revient après quelques années d'absence vers son épouse Parvati mais zélé, Ganesh empêcha le Dieu Shiva qu'il ne connaissait pas comme son père de pénétrer dans la demeure de sa mère.
Pris d'une terrible colère, Shiva trancha sur le champ la tête du jeune Ganesh. Parvati, désespérée par cet acte barbare, menaça alors de détruire tout l'Univers. Shiva dépêcha des émissaires avec ordre de rapporter la tête du premier être vivant regardant vers le nord, direction réputée de bon augure et synonyme de sagesse.
La première créature endormie, la tête tournée vers le nord qu'ils rencontrèrent, fut un éléphant. Il en rapportèrent la tête. Shiva la replaça sur le corps de l'enfant et lui insuffla la vie.
Ganesh (Chef des troupes divines) trouva sa forme définitive avec une tête d'éléphant sur un corps de petit garçon.
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18Jayavarman VII (fin du 12è siècle)Style du Bayon.
Jayavarman signifie 'le protégé de la victoire'. Ce nom est porté par de nombreux rois khmers.
Le roi est représenté à l'âge mûr, sa tête est ronde, penchée en avant. Il porte un chignon sur le sommet du crâne. Les yeux mi-clos semblent perdus dans la méditation. Ses lèvres affichent le célèbre 'sourire d'Angkor'. Le sculpteur abandonne le canon idéal de jeunesse et de beauté, quelque peu impersonnel, des époques antérieures. Il adopte un style plus naturaliste, terrestre et humain, au modelé sensible, s'inspirant parfois de la physionomie du roi ou de ses contemporains.
Le règne de Jayavarman VII fait suite à une période de troubles : en 1177, les Chams, venant de l'actuel Vietnam, remontent le Mékong et le Tonlé Sap, et prennent Angkor par surprise. La ville se croyait à l'abri de part sa protection divine. La ville est pillée, mais pas détruite.
On connaît la date de début du règne de Jayavarman VII : 1181, mais on ne connaît pas la date de sa mort qui se situe aux alentours de 1218. Durant cette renaissance khmère, et probablement en raison de la perte de confiance dans la protection du shivaïsme, Jayavarman VII adopte le bouddhisme mahâyâna ou Grand Véhicule comme religion d'Etat. Jayavarman VII entreprend un programme de construction de temples, soit pour remercier les dieux d'avoir chassé les Chams, soit pour accroître la protection divine sur le pays : Banteay Kdei, Ta Prohm en 1186, le Bayon, Prah Khan en 1191, Neak Pean et de nombreux temples secondaires. En province, du Nord au Sud, des temples sont également construits, le plus remarquable étant le Banteay Chhmar. De courte durée, cette période brillante trouve son terme dans la résurgence du shivaïsme dès le milieu du XIIIème siècle.

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19Jayavarman VII (fin du 12è siècle)Style du Bayon.
Jayavarman signifie 'le protégé de la victoire'. Ce nom est porté par de nombreux rois khmers.
Le roi est représenté à l'âge mûr, sa tête est ronde, penchée en avant. Il porte un chignon sur le sommet du crâne. Les yeux mi-clos semblent perdus dans la méditation. Ses lèvres affichent le célèbre 'sourire d'Angkor'. Le sculpteur abandonne le canon idéal de jeunesse et de beauté, quelque peu impersonnel, des époques antérieures. Il adopte un style plus naturaliste, terrestre et humain, au modelé sensible, s'inspirant parfois de la physionomie du roi ou de ses contemporains.
Le règne de Jayavarman VII fait suite à une période de troubles : en 1177, les Chams, venant de l'actuel Vietnam, remontent le Mékong et le Tonlé Sap, et prennent Angkor par surprise. La ville se croyait à l'abri de part sa protection divine. La ville est pillée, mais pas détruite.
On connaît la date de début du règne de Jayavarman VII : 1181, mais on ne connaît pas la date de sa mort qui se situe aux alentours de 1218. Durant cette renaissance khmère, et probablement en raison de la perte de confiance dans la protection du shivaïsme, Jayavarman VII adopte le bouddhisme mahâyâna ou Grand Véhicule comme religion d'Etat. Jayavarman VII entreprend un programme de construction de temples, soit pour remercier les dieux d'avoir chassé les Chams, soit pour accroître la protection divine sur le pays : Banteay Kdei, Ta Prohm en 1186, le Bayon, Prah Khan en 1191, Neak Pean et de nombreux temples secondaires. En province, du Nord au Sud, des temples sont également construits, le plus remarquable étant le Banteay Chhmar. De courte durée, cette période brillante trouve son terme dans la résurgence du shivaïsme dès le milieu du XIIIème siècle.

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20Parvati (fin du 12è siècle)Provenance : Preah Pithu, Angkor. Epoque Angkorienne, style du Bayon.
Scène du Kumara Sambhava. Shiva a envoyé un brahmane séduire ou se moquer de son épouse, Parvati, qui demeure sourde aux paroles du brahmane.
21Bodhisattva Lokeshvara (fin du 12è siècle)Provenance : Angkor Vat.
Les bodhisattvas sont de saints hommes qui ont atteint le seuil de libération, le nirvana, mais y ont renoncé pour rester dans le cycle des renaissances et faire profiter les hommes de leur sagesse. A la différence du Theravada (monastique), le bouddhisme mahâyâna intègre le culte des bodhisattvas. Renonçant au shivaïsme, Jayavarman VII adopte le bouddhisme mahâyâna comme religion d'Etat vers 1180.
Lokeshvara est un autre aspect d'Avalokiteshvara. Il est présenté sous l'aspect d'un jeune garçon au teint blanc, tenant un rosaire en cristal.

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22Jayarajadevi (vers 1200)Première épouse du roi Jayavarman VII (1181-1218), Jayarajadevi est représentée en orante Prajnaparamita. Cette princesse est célébrée sur la stèle de Phimeanakas : « la reine, se créant du mérite par l'abondance de sa richesse, prodiguant ses bienfaits à tous les êtres, appliquée au bien du monde … Ayant retrouvé son époux le roi des rois, reconnaissante, elle déversa sur la terre une pluie de dons magnifiques semblables à une Ganga (descendue du ciel par suite de) son ascétisme. … Quand cette reine, qui était le joie du monde, fut en possession du nirvana, sa sœur aînée, nommée Indradevi, ayant reçu le sacre du roi apaisa le feu (du chagrin) qui brûlait les mondes. (traduction Georges Coedès, 1942)
23Tête de monstre Asura (13è siècle)Provenance : Preah Khan, Angkor, style du Bayon.

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24Linteau de Vishnou (13è siècle)Provenance : Preah Pithu, Angkor.
Vishnou est allongé sur le serpent. Sa femme lui masse les pieds.
25Prajnaparamita (13è siècle)style du Bayon.
'Prajnaparamita' signifie la sagesse (prajna) qui a atteint (ita) l'autre rivage (param) ou encore la sagesse qui mène au réveil.
Le Sûtra de la Sagesse ou Prajnaparamita expose le principe de vacuité ou non-subtantialité (Sunyata). Le Sûtra du Cœur est le plus court des quarante Sûtra qui composent la Prajnaparamita. C'est l'un des textes les plus importants du bouddhisme Mahayana ou Grand Véhicule.
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26Apsara (16è siècle)Provenance : terrasse des éléphants, Angkor.

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27Vishnou (Thaïlande, 7è siècle)Provenance : Prachinburi (Thaïlande).
28Bouddha Maravijaya (14è siècle)Provenance : Thaïlande, style Sukhothaï.
A l'origine ville provinciale de l'empire khmer, Sukhothaï devint au XIIIème siècle la capitale du premier royaume Thaï unifié et indépendant. Lors de sa plus grande expansion, ce royaume s'étendait jusqu'au Laos actuel, s'ouvrait à l'Ouest vers la mer d'Andaman, et vers le sud vers la péninsule malaise. La plus grande partie du développement architectural de ce royaume eut lieu au XIV ème siècle. En 1438 la ville fut conquise et incorporée dans le royaume d'Ayutthaya.
Cette image, fondue en bronze à cire perdue et recouverte d'un enduit noir luisant laissant par endroit apparaître le métal, présente le Buddha dans son attitude la plus généralement diffusée en Thaïlande : c'est à dire assis en tailleur sur un socle, la jambe droite repliée sur la gauche, et effectuant de sa main droite, la mudrâ de la prise de la terre à témoin. Ce geste symbolise la victoire de l'Eveillé sur Mâra, prince des désirs et personnification de la mort. Le Bienheureux porte une coiffure composée de boucles saillantes délimitées par un liseré sur le front. La protubérance crânienne (usnîsa) est surmontée d'une flamme. Le visage arrondi et souple, les petites boucles de la chevelure, ainsi que les formes allongées permettent d'attribuer cette oeuvre au style B d'U Thong, début de l'art du royaume d'Ayutthaya, qui mêlait influences khmères et mônes. La flamme en revanche dénote d'une influence singhalaise, ayant transité par l'école de Sukhothaï. Ces éléments contradictoires rendent une datation exacte difficile le problème est encore accentué par le fait que nombre de statues ont été déplacées lors de la fondation du royaume Thaï actuel, à la fin du XVIIIème siècle, et qu'il est impossible de connaître avec précision leur lieu de provenance originel.
source :Musée national des Arts asiatiques-Guimet.

>>>> Qui fut Bouddha ?

Nissim de Camondo (Musée) (10 photos)
1Encoignure, 1750... à panneaux de laque du Japon,
attribuée à Bernard Van Risen Burgh.
2Encoignure, 1750... à panneaux de laque du Japon,
attribuée à Bernard Van Risen Burgh
4Salon des Huettapis de la Manufacrure de la savonnerie, vers 1740
6Tableau de Jean-Baptiste Huetscène pastorale

Noël : rues illuminées (108 photos)
12Place des Victoiresà propos de la Place des Victoires : lire ceci.
15Rue Étienne-MarcelSituation : Ier, IIe Arrondissements, métro Étienne Marcel.
Origine du nom : d'après Étienne Marcel (1315 - 1358).
Né au sein d'une riche famille de drapiers, Étienne Marcel fut élu prévôt des marchands de Paris. Il joua un rôle important aux États Généraux de 1355 et 1357 et obtint que le pays, marqué par la grande peste de 1348-1349, la guerre de Cent Ans et la capture du roi Jean II le Bon à la bataille de Poitiers, soit doté d'un Conseil de tutelle.
Étienne Marcel organisa , le 22 février 1358, la première journée révolutionnaire parisienne, afin d'obliger le dauphin à renouveler l'ordonnance de 1357. Il prit la tête des insurgés du peuple des métiers qui envahirent le palais et exécutèrent deux des principaux conseillers du jeune Charles. Ce dernier, contraint de coiffer le chaperon aux couleurs bl ve; s'enfuir à Compiègne. Il y convoqua les états et rallia à sa cause les villes qui entourent Paris. Étienne Marcel, qui tenta vainement de mobiliser les campagnes ensanglantées par la jacquerie, fut assassiné par Jean Maillard, un échevin fidèle à la royauté, devant la porte Saint-Denis le 31 juillet 1358, alors qu'il s'apprêtait à livrer les clés de la ville à son allié Charles le Mauvais, le roi de Navarre.
Le dauphin Charles rentra triomphalement à Paris deux jours plus tard. Il convoqua des États généraux qui dénoncèrent les accords signés à Londres par son père Jean II le Bon, abandonnant à l'Angleterre toutes les possessions des Plantagenêts. Devenu roi sous le nom de Charles V le Sage, il fera construire la Bastille pour y enfermer ses opposants.
Le Conseil municipal de Paris, qui reprit les couleurs bleu et prévôt pour ses armoiries, proposa, le 10 juin 1879, de rebaptiser le boulevard Haussmann du nom d'Étienne Marcel. Ce dernier héritera, en 1881, de la rue qui délimite les Ier et IIème arrondissements.
16Rue Étienne-MarcelSituation : Ier, IIe Arrondissements, métro Étienne Marcel.
Origine du nom : d'après Étienne Marcel (1315 - 1358).
Né au sein d'une riche famille de drapiers, Étienne Marcel fut élu prévôt des marchands de Paris. Il joua un rôle important aux États Généraux de 1355 et 1357 et obtint que le pays, marqué par la grande peste de 1348-1349, la guerre de Cent Ans et la capture du roi Jean II le Bon à la bataille de Poitiers, soit doté d'un Conseil de tutelle.
Étienne Marcel organisa , le 22 février 1358, la première journée révolutionnaire parisienne, afin d'obliger le dauphin à renouveler l'ordonnance de 1357. Il prit la tête des insurgés du peuple des métiers qui envahirent le palais et exécutèrent deux des principaux conseillers du jeune Charles. Ce dernier, contraint de coiffer le chaperon aux couleurs bl ve; s'enfuir à Compiègne. Il y convoqua les états et rallia à sa cause les villes qui entourent Paris. Étienne Marcel, qui tenta vainement de mobiliser les campagnes ensanglantées par la jacquerie, fut assassiné par Jean Maillard, un échevin fidèle à la royauté, devant la porte Saint-Denis le 31 juillet 1358, alors qu'il s'apprêtait à livrer les clés de la ville à son allié Charles le Mauvais, le roi de Navarre.
Le dauphin Charles rentra triomphalement à Paris deux jours plus tard. Il convoqua des États généraux qui dénoncèrent les accords signés à Londres par son père Jean II le Bon, abandonnant à l'Angleterre toutes les possessions des Plantagenêts. Devenu roi sous le nom de Charles V le Sage, il fera construire la Bastille pour y enfermer ses opposants.
Le Conseil municipal de Paris, qui reprit les couleurs bleu et prévôt pour ses armoiries, proposa, le 10 juin 1879, de rebaptiser le boulevard Haussmann du nom d'Étienne Marcel. Ce dernier héritera, en 1881, de la rue qui délimite les Ier et IIème arrondissements.
17Rue Étienne-MarcelSituation : Ier, IIe Arrondissements, métro Étienne Marcel.
Origine du nom : d'après Étienne Marcel (1315 - 1358).
Né au sein d'une riche famille de drapiers, Étienne Marcel fut élu prévôt des marchands de Paris. Il joua un rôle important aux États Généraux de 1355 et 1357 et obtint que le pays, marqué par la grande peste de 1348-1349, la guerre de Cent Ans et la capture du roi Jean II le Bon à la bataille de Poitiers, soit doté d'un Conseil de tutelle.
Étienne Marcel organisa , le 22 février 1358, la première journée révolutionnaire parisienne, afin d'obliger le dauphin à renouveler l'ordonnance de 1357. Il prit la tête des insurgés du peuple des métiers qui envahirent le palais et exécutèrent deux des principaux conseillers du jeune Charles. Ce dernier, contraint de coiffer le chaperon aux couleurs bl ve; s'enfuir à Compiègne. Il y convoqua les états et rallia à sa cause les villes qui entourent Paris. Étienne Marcel, qui tenta vainement de mobiliser les campagnes ensanglantées par la jacquerie, fut assassiné par Jean Maillard, un échevin fidèle à la royauté, devant la porte Saint-Denis le 31 juillet 1358, alors qu'il s'apprêtait à livrer les clés de la ville à son allié Charles le Mauvais, le roi de Navarre.
Le dauphin Charles rentra triomphalement à Paris deux jours plus tard. Il convoqua des États généraux qui dénoncèrent les accords signés à Londres par son père Jean II le Bon, abandonnant à l'Angleterre toutes les possessions des Plantagenêts. Devenu roi sous le nom de Charles V le Sage, il fera construire la Bastille pour y enfermer ses opposants.
Le Conseil municipal de Paris, qui reprit les couleurs bleu et prévôt pour ses armoiries, proposa, le 10 juin 1879, de rebaptiser le boulevard Haussmann du nom d'Étienne Marcel. Ce dernier héritera, en 1881, de la rue qui délimite les Ier et IIème arrondissements.
18Place des Victoiresà propos de la Place des Victoires : lire ceci.
19Place des Victoiresà propos de la Place des Victoires : lire ceci.
20Place des VictoiresAu fond, la Banque de France
à propos de la Place des Victoires : lire ceci.
21Statue équestre de Louis XIVElle est due au sculpteur François-Joseph Bosio et à l'architecte Alavoine. Cette statue, inaugurée le jour de la Saint-Louis, le 25 août 1828, représente le roi Louis XIV en tenue d'empereur romain (!), chevauchant un cheval cabré dont l'équilibre est assuré par la queue fixée au piédestal. Le socle de marbre blanc comprend deux reliefs représentant le passage du Rhin et l'institution de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.

à propos de la Place des Victoires : lire ceci.
22Rue TiquetonneSituation : IIe Arrondissement, métro Châtelet-Les Halles.
Longueur : 330 m.
Historique :
Précédemment rue du Petit Lion Saint-Sauveur et rue Tiquetonne. La partie de la rue du Petit Lion Saint-Sauveur, située entre les rues Saint-denis et Dussoubs, a porté les noms de rue du Lion d'Or (1360), rue du Lion (1421), rue du Grand Lion (1474), rue Pavée Saint-Sauveur, rue du Petit Lion, rue de l'Arbalète ou rue des Arbalétriers (d'après Sauval), rue Paule (plan de Ducerceau). La partie comprise entre les rues Dussoubs et Montorgueil s'appelait en 1313, rue Pavée ; elle garda ce nom jusqu'à ce qu'elle fut réunie à la rue du Petit Lion, en 1851. L'ancienne rue Tiquetonne, avant l'ouverture de la rue Etienne Marcel, s'étendait entre les rues Montorgueil et Montmartre ; elle a porté les noms de rue Denis le Coffrier (1372) et rue Quiquetonne (1400).
Origine du nom :mentionné dans le censier de 1372 ; Roger Tiquetonne y demeurait en 1399.
23Rue TiquetonneSituation : IIe Arrondissement, métro Châtelet-Les Halles.
Longueur : 330 m.
Historique :
Précédemment rue du Petit Lion Saint-Sauveur et rue Tiquetonne. La partie de la rue du Petit Lion Saint-Sauveur, située entre les rues Saint-denis et Dussoubs, a porté les noms de rue du Lion d'Or (1360), rue du Lion (1421), rue du Grand Lion (1474), rue Pavée Saint-Sauveur, rue du Petit Lion, rue de l'Arbalète ou rue des Arbalétriers (d'après Sauval), rue Paule (plan de Ducerceau). La partie comprise entre les rues Dussoubs et Montorgueil s'appelait en 1313, rue Pavée ; elle garda ce nom jusqu'à ce qu'elle fut réunie à la rue du Petit Lion, en 1851. L'ancienne rue Tiquetonne, avant l'ouverture de la rue Etienne Marcel, s'étendait entre les rues Montorgueil et Montmartre ; elle a porté les noms de rue Denis le Coffrier (1372) et rue Quiquetonne (1400).
Origine du nom :dit, mentionné dans le censier de 1372 ; Roger Tiquetonne y demeurait en 1399.
24Rue MontorgueilSituation : Ier, IIe Arrondissements, métro Châtelet-Les Halles.
Longueur : 360 m.
Historique :
La partie comprise entre les rues Montmartre et Mauconseil a primitivement porté les noms de rue Nicolas Arrode, rue au Comte d'Artois ou de la Comtesse d'Artois et de rue de la Porte au Comte ou à la Comtesse d'Artois. Réunie à la rue Montorgueil en 1792, elle a repris le nom de rue de la Comtesse d'Artois en 1814 et a été de nouveau réunie à la rue Montorgueil en 1830.
Origine du nom :.
Ancien nom (XIIIe siècle) ; cette voie conduisait au mont Orgueilleux dont le sommet est occupé par la rue Beauregard.
25Rue TiquetonneSituation : IIe Arrondissement, métro Châtelet-Les Halles.
Longueur : 330 m.
Historique :
Précédemment rue du Petit Lion Saint-Sauveur et rue Tiquetonne. La partie de la rue du Petit Lion Saint-Sauveur, située entre les rues Saint-denis et Dussoubs, a porté les noms de rue du Lion d'Or (1360), rue du Lion (1421), rue du Grand Lion (1474), rue Pavée Saint-Sauveur, rue du Petit Lion, rue de l'Arbalète ou rue des Arbalétriers (d'après Sauval), rue Paule (plan de Ducerceau). La partie comprise entre les rues Dussoubs et Montorgueil s'appelait en 1313, rue Pavée ; elle garda ce nom jusqu'à ce qu'elle fut réunie à la rue du Petit Lion, en 1851. L'ancienne rue Tiquetonne, avant l'ouverture de la rue Etienne Marcel, s'étendait entre les rues Montorgueil et Montmartre ; elle a porté les noms de rue Denis le Coffrier (1372) et rue Quiquetonne (1400).
Origine du nom :dit, mentionné dans le censier de 1372 ; Roger Tiquetonne y demeurait en 1399.
26Boulevard PoissonnièreSituation : IIe, IXe Arrondissements, métros Grands Boulevards, Bonne Nouvelle.
Longueur : 351 m.
Origine du nom :
D'après la rue Poissonnière qui a été nommée ainsi car les voitures de marée suivaient cette rue pour se rendre à la Halle.
27Boulevard PoissonnièreSituation : IIe, IXe Arrondissements, métros Grands Boulevards, Bonne Nouvelle.
Longueur : 351 m.
Origine du nom :
D'après la rue Poissonnière qui a été nommée ainsi car les voitures de marée suivaient cette rue pour se rendre à la Halle.
28Boulevard MontmartreSituation : IIe, IXe Arrondissements, métros Grands Boulevards, Bonne Nouvelle.
Longueur : 351 m.
Origine du nom :
D'après la rue Poissonnière qui a été nommée ainsi car les voitures de marée suivaient cette rue pour se rendre à la Halle.
31Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
32Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
33Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
34Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
35Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
36Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
37Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
38Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
39Rue du faubourg MontmartreSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
40Rue CadetSituation : IXe Arrondissement, métros Grands Boulevards, Cadet.
Longueur : 635 m.
Historique :
Cette voie figure à l'état de chemin sur les plus anciens plans de Paris. Elle a porté pendant la Révolution le nom de rue du Faubourg Montmarat.
Origine du nom :
Principale rue du faubourg situé entre Paris et l'abbaye de Montmartre.
41Rue CadetSituation : IXe Arrondissement, métro Cadet.
Longueur : 300 m.
Historique :
Cette voie existait au XVIIe siècle sous le nom de rue de la Voirie.
Origine du nom :
Doit son nom à M. Cadet de Chambine, propriétaire des terrains sur lesquels se trouvait l'ancien chemin qu'elle remplace (fin du XVIIIe siècle).
42Rue CadetSituation : IXe Arrondissement, métro Cadet.
Longueur : 300 m.
Historique :
Cette voie existait au XVIIe siècle sous le nom de rue de la Voirie.
Origine du nom :
Doit son nom à M. Cadet de Chambine, propriétaire des terrains sur lesquels se trouvait l'ancien chemin qu'elle remplace (fin du XVIIIe siècle).
43Rue CadetSituation : IXe Arrondissement, métro Cadet.
Longueur : 300 m.
Historique :
Cette voie existait au XVIIe siècle sous le nom de rue de la Voirie.
Origine du nom :
Doit son nom à M. Cadet de Chambine, propriétaire des terrains sur lesquels se trouvait l'ancien chemin qu'elle remplace (fin du XVIIIe siècle).
44Rue CadetSituation : IXe Arrondissement, métro Cadet.
Longueur : 300 m.
Historique :
Cette voie existait au XVIIe siècle sous le nom de rue de la Voirie.
Origine du nom :
Doit son nom à M. Cadet de Chambine, propriétaire des terrains sur lesquels se trouvait l'ancien chemin qu'elle remplace (fin du XVIIIe siècle).
45Rue de RochechouartSituation : IXe Arrondissement, métros Cadet, Anvers
Longueur : 765 m.
Origine du nom :
uverte sur les dépendances de l'abbaye de Montmartre ; elle a reçu le nom de Marguerite de Rochechouart de Montpipeau (1665-1727), abbesse de 1713 à 1727.
46Rue de RochechouartSituation : IXe Arrondissement, métros Cadet, Anvers
Longueur : 765 m.
Origine du nom :
uverte sur les dépendances de l'abbaye de Montmartre ; elle a reçu le nom de Marguerite de Rochechouart de Montpipeau (1665-1727), abbesse de 1713 à 1727.
47Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

48Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

49Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

50Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

51Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

52Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

53Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

54Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

55Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

56Rue des MartyrsSituation : IXe Arrondissement, métro Notre-Dame de Lorette. La rue va du chevet de Notre-Dame de Lorette au boulevard de Clichy. Longueur : 885 m.
Historique : la rue fut primitivement dénommée rue des Porcherons, puis rue des Martyrs et, de 1793 à 1806, rue du Champ de Repos.
Origine du nom : la voie fut empruntée par les Martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.
D'après la tradition, saint Denis fut le premier évêque de Paris, au 1er siècle. Il était Athénien d'origine et fut converti par l'Apôtre des nations. Après avoir gouverné quelques temps l'Église d'Athènes en qualité d'évêque, il prit avec lui le prêtre Rustique et le diacre Éleuthère, traversa la mer et vint à Rome, où il se présenta au Pape saint Clément pour évangéliser les peuples qu'il lui assignerait. Le saint Pape l'envoya, avec un groupe de prédicateurs apostoliques, à la conquête spirituelle des Gaules.
Confiant à quelques-uns de ses disciples plusieurs parties de cette vaste contrée, il s'avança jusqu'à Paris, qui alors s'appelait Lutèce. Il y entra du côté de la porte Saint-Jacques, avec ses deux premiers compagnons, et parla si éloquemment des mystères du christianisme, qu'il convertit dès l'abord une foule de païens ; plusieurs chapelles furent construites.
Vers l'an 117, il fut arrêté par les autorités, jeté en prison, fouetté, attaché à une Croix.
Enfin, après avoir pu célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans sa prison, devant ses compagnons de supplice, il eut la tête tranchée, avec une foule de chrétiens, au lieu qui porte le nom de Montmartre, ou Mont-des-Martyrs. Dieu permit qu'après l'exécution son corps se leva de lui-même, pour porter sa tête entre ses mains, à deux lieues de là, au lieu appelé Saint-Denis, en souvenir de ce fait mémorable.

57Place des AbbessesSituation : métro Abbesses.
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
Dès le 6ème siècle, en haut de la butte se trouvait un petit hameau, propriété des moines de Saint Martin des Champs, qui reçurent en don le Sanctum Martyrium situé plus bas. En 1133, le roi Louis VI le Gros, voulant faire plaisir à sa femme la reine Adélaïde de Savoie, soeur du pape Calixte II racheta les terres aux moines et fit construire une église et un monastère qui sera donné aux Bénédictines de Saint Pierre des Dames. La reine Adélaïde s'y retira et y mourut en 1154. L'Abbaye de Montmartre devint une des plus riches et plus importantes du royaume.
En 1590, l'abbesse de Montmartre était Claude de Beauvilliers, elle n'avait que 17 ans, et le roi de Navarre, futur Henri IV, qui venait assiéger Paris avec ses 12 000 hommes, logea à l'Abbaye. Il prit grand soin du monastère et de l'Abbesse qui le suivit à Senlis lorsqu'il leva le siège. Elle lui présenta même Gabrielle d'Estrées, sa cousine germaine, qui la supplanta dans le coeur du Vert-Galant !
46 Abbesses dirigèrent ce monastère, dont Marie de Beauvilliers qui eut le courage de remettre de l'ordre dans un établissement délabré aussi bien physiquement que moralement, Marguerite de Rochechouart (de 1713 à 1727) ou Louise de la Tour d'Auvergne. La dernière fut Louise de Montmorency-Laval décapitée le 2 juillet 1794, à l'âge de 71 ans, complètement sourde et aveugle, qui ne comprenant rien aux accusations ne put répondre à Fouquier-Tinville. Il la condamna à mort pour " avoir comploté sourdement et aveuglément contre la République ".
Les biens de l'Abbaye furent confisqués par la Révolution et partagés en lots. Les acheteurs, des maçons et des carriers, rasèrent tous les bâtiments pour vendre les matériaux, le sol fut défoncé pour extraire le gypse, le Sanctum Martyrium disparut aussi ... source : http://www.histoire-en-ligne.com
58Place des AbbessesSituation : métro Abbesses.
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
Dès le 6ème siècle, en haut de la butte se trouvait un petit hameau, propriété des moines de Saint Martin des Champs, qui reçurent en don le Sanctum Martyrium situé plus bas. En 1133, le roi Louis VI le Gros, voulant faire plaisir à sa femme la reine Adélaïde de Savoie, soeur du pape Calixte II racheta les terres aux moines et fit construire une église et un monastère qui sera donné aux Bénédictines de Saint Pierre des Dames. La reine Adélaïde s'y retira et y mourut en 1154. L'Abbaye de Montmartre devint une des plus riches et plus importantes du royaume.
En 1590, l'abbesse de Montmartre était Claude de Beauvilliers, elle n'avait que 17 ans, et le roi de Navarre, futur Henri IV, qui venait assiéger Paris avec ses 12 000 hommes, logea à l'Abbaye. Il prit grand soin du monastère et de l'Abbesse qui le suivit à Senlis lorsqu'il leva le siège. Elle lui présenta même Gabrielle d'Estrées, sa cousine germaine, qui la supplanta dans le coeur du Vert-Galant !
46 Abbesses dirigèrent ce monastère, dont Marie de Beauvilliers qui eut le courage de remettre de l'ordre dans un établissement délabré aussi bien physiquement que moralement, Marguerite de Rochechouart (de 1713 à 1727) ou Louise de la Tour d'Auvergne. La dernière fut Louise de Montmorency-Laval décapitée le 2 juillet 1794, à l'âge de 71 ans, complètement sourde et aveugle, qui ne comprenant rien aux accusations ne put répondre à Fouquier-Tinville. Il la condamna à mort pour " avoir comploté sourdement et aveuglément contre la République ".
Les biens de l'Abbaye furent confisqués par la Révolution et partagés en lots. Les acheteurs, des maçons et des carriers, rasèrent tous les bâtiments pour vendre les matériaux, le sol fut défoncé pour extraire le gypse, le Sanctum Martyrium disparut aussi ... source : http://www.histoire-en-ligne.com
59Place des AbbessesSituation : métro Abbesses.
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
Dès le 6ème siècle, en haut de la butte se trouvait un petit hameau, propriété des moines de Saint Martin des Champs, qui reçurent en don le Sanctum Martyrium situé plus bas. En 1133, le roi Louis VI le Gros, voulant faire plaisir à sa femme la reine Adélaïde de Savoie, soeur du pape Calixte II racheta les terres aux moines et fit construire une église et un monastère qui sera donné aux Bénédictines de Saint Pierre des Dames. La reine Adélaïde s'y retira et y mourut en 1154. L'Abbaye de Montmartre devint une des plus riches et plus importantes du royaume.
En 1590, l'abbesse de Montmartre était Claude de Beauvilliers, elle n'avait que 17 ans, et le roi de Navarre, futur Henri IV, qui venait assiéger Paris avec ses 12 000 hommes, logea à l'Abbaye. Il prit grand soin du monastère et de l'Abbesse qui le suivit à Senlis lorsqu'il leva le siège. Elle lui présenta même Gabrielle d'Estrées, sa cousine germaine, qui la supplanta dans le coeur du Vert-Galant !
46 Abbesses dirigèrent ce monastère, dont Marie de Beauvilliers qui eut le courage de remettre de l'ordre dans un établissement délabré aussi bien physiquement que moralement, Marguerite de Rochechouart (de 1713 à 1727) ou Louise de la Tour d'Auvergne. La dernière fut Louise de Montmorency-Laval décapitée le 2 juillet 1794, à l'âge de 71 ans, complètement sourde et aveugle, qui ne comprenant rien aux accusations ne put répondre à Fouquier-Tinville. Il la condamna à mort pour " avoir comploté sourdement et aveuglément contre la République ".
Les biens de l'Abbaye furent confisqués par la Révolution et partagés en lots. Les acheteurs, des maçons et des carriers, rasèrent tous les bâtiments pour vendre les matériaux, le sol fut défoncé pour extraire le gypse, le Sanctum Martyrium disparut aussi ... source : http://www.histoire-en-ligne.com
60Rue LepicSituation : XVIIIe Arrondissement, métros Lamarck-Caulaincourt, Abbesses.
Longueur : 755 m.
Historique : Précédemment, rue de l'Empereur et route départementale n° 15, classée par décret du 7 janvier 1813 et déclassée par décret du 25 juillet 1851. Elle s'est appelée aussi rue Royale. Elle est indiquée sur le plan de Jaillot (1775). Une partie de la voie a été englobée dans la place Jean-Baptiste Clément en 1905.
Origine du nom : Le comte Louis Lepic (1765-1827), général de division.
61Rue des AbbessesSituation : métro Abbesses ; la rue commence rue des Martyrs, 89, et finit rue Lepic, 34, et rue Tholozé, 2.
Longueur : 418 m.
Historique : précédemment rue de l'Abbaye et plus anciennement rue de la Cure. Elle est figurée à l'état de chemin sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672).
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
62Rue des AbbessesSituation : métro Abbesses ; la rue commence rue des Martyrs, 89, et finit rue Lepic, 34, et rue Tholozé, 2.
Longueur : 418 m.
Historique : précédemment rue de l'Abbaye et plus anciennement rue de la Cure. Elle est figurée à l'état de chemin sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672).
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
63Rue des AbbessesSituation : métro Abbesses ; la rue commence rue des Martyrs, 89, et finit rue Lepic, 34, et rue Tholozé, 2.
Longueur : 418 m.
Historique : précédemment rue de l'Abbaye et plus anciennement rue de la Cure. Elle est figurée à l'état de chemin sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672).
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
64Place des AbbessesSituation : métro Abbesses.
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
Dès le 6ème siècle, en haut de la butte se trouvait un petit hameau, propriété des moines de Saint Martin des Champs, qui reçurent en don le Sanctum Martyrium situé plus bas. En 1133, le roi Louis VI le Gros, voulant faire plaisir à sa femme la reine Adélaïde de Savoie, soeur du pape Calixte II racheta les terres aux moines et fit construire une église et un monastère qui sera donné aux Bénédictines de Saint Pierre des Dames. La reine Adélaïde s'y retira et y mourut en 1154. L'Abbaye de Montmartre devint une des plus riches et plus importantes du royaume.
En 1590, l'abbesse de Montmartre était Claude de Beauvilliers, elle n'avait que 17 ans, et le roi de Navarre, futur Henri IV, qui venait assiéger Paris avec ses 12 000 hommes, logea à l'Abbaye. Il prit grand soin du monastère et de l'Abbesse qui le suivit à Senlis lorsqu'il leva le siège. Elle lui présenta même Gabrielle d'Estrées, sa cousine germaine, qui la supplanta dans le coeur du Vert-Galant !
46 Abbesses dirigèrent ce monastère, dont Marie de Beauvilliers qui eut le courage de remettre de l'ordre dans un établissement délabré aussi bien physiquement que moralement, Marguerite de Rochechouart (de 1713 à 1727) ou Louise de la Tour d'Auvergne. La dernière fut Louise de Montmorency-Laval décapitée le 2 juillet 1794, à l'âge de 71 ans, complètement sourde et aveugle, qui ne comprenant rien aux accusations ne put répondre à Fouquier-Tinville. Il la condamna à mort pour " avoir comploté sourdement et aveuglément contre la République ".
Les biens de l'Abbaye furent confisqués par la Révolution et partagés en lots. Les acheteurs, des maçons et des carriers, rasèrent tous les bâtiments pour vendre les matériaux, le sol fut défoncé pour extraire le gypse, le Sanctum Martyrium disparut aussi ... source : http://www.histoire-en-ligne.com
65Rue des AbbessesSituation : métro Abbesses ; la rue commence rue des Martyrs, 89, et finit rue Lepic, 34, et rue Tholozé, 2.
Longueur : 418 m.
Historique : précédemment rue de l'Abbaye et plus anciennement rue de la Cure. Elle est figurée à l'état de chemin sur le plan de Jouvin de Rochefort (1672).
Origine du nom : Le nom rappelle les abbesses de l'abbaye de Montmartre.
77Champs-ÉlyséesL'Avenue des Champs-Élysées a été dessinée par Le Nôtre à la demande du roi Louis XIV afin de dégager le perspective du couchant depuis le Château des Tuileries (incendié en 1870).
Au XVIII ème son prolongement vers la Normandie via Neuilly obéira à des considérations d'ordre plus pratiques qu'esthétiques.
En 1804, Napoléon Ier y donne une fastueuse réception à l'occasion de son mariage avec Marie-Louise. Dès la fin du siècle dernier les jardins des Champs-Elysées accueillaient les promeneurs venus profiter des loisirs offert par l'Avenue devenue vitrine du progrès. Du Bal Mabille au Lido, du Café des Ambassadeurs au Fouquet's, du Panorama aux théâtres les flâneurs découvraient les dernières évolutions de la technologie en matière d'industrie, d'automobile ou de cinéma.
La construction de l'Arc de Triomphe à la gloire de la Grande Armée en 1836 est à l'origine des défilés militaires qui débuteront avec la victoire de 1918 par le défilé du 14 juillet 1919. Le dépôt des cendres du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe en 1921 confirmera la vocation martiale de cette descente des Champs Elysées.
78Champs-ÉlyséesL'Avenue des Champs-Élysées a été dessinée par Le Nôtre à la demande du roi Louis XIV afin de dégager le perspective du couchant depuis le Château des Tuileries (incendié en 1870).
Au XVIII ème son prolongement vers la Normandie via Neuilly obéira à des considérations d'ordre plus pratiques qu'esthétiques.
En 1804, Napoléon Ier y donne une fastueuse réception à l'occasion de son mariage avec Marie-Louise. Dès la fin du siècle dernier les jardins des Champs-Elysées accueillaient les promeneurs venus profiter des loisirs offert par l'Avenue devenue vitrine du progrès. Du Bal Mabille au Lido, du Café des Ambassadeurs au Fouquet's, du Panorama aux théâtres les flâneurs découvraient les dernières évolutions de la technologie en matière d'industrie, d'automobile ou de cinéma.
La construction de l'Arc de Triomphe à la gloire de la Grande Armée en 1836 est à l'origine des défilés militaires qui débuteront avec la victoire de 1918 par le défilé du 14 juillet 1919. Le dépôt des cendres du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe en 1921 confirmera la vocation martiale de cette descente des Champs Elysées.
79Champs-ÉlyséesL'Avenue des Champs-Élysées a été dessinée par Le Nôtre à la demande du roi Louis XIV afin de dégager le perspective du couchant depuis le Château des Tuileries (incendié en 1870).
Au XVIII ème son prolongement vers la Normandie via Neuilly obéira à des considérations d'ordre plus pratiques qu'esthétiques.
En 1804, Napoléon Ier y donne une fastueuse réception à l'occasion de son mariage avec Marie-Louise. Dès la fin du siècle dernier les jardins des Champs-Elysées accueillaient les promeneurs venus profiter des loisirs offert par l'Avenue devenue vitrine du progrès. Du Bal Mabille au Lido, du Café des Ambassadeurs au Fouquet's, du Panorama aux théâtres les flâneurs découvraient les dernières évolutions de la technologie en matière d'industrie, d'automobile ou de cinéma.
La construction de l'Arc de Triomphe à la gloire de la Grande Armée en 1836 est à l'origine des défilés militaires qui débuteront avec la victoire de 1918 par le défilé du 14 juillet 1919. Le dépôt des cendres du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe en 1921 confirmera la vocation martiale de cette descente des Champs Elysées.
80Champs-ÉlyséesL'Avenue des Champs-Élysées a été dessinée par Le Nôtre à la demande du roi Louis XIV afin de dégager le perspective du couchant depuis le Château des Tuileries (incendié en 1870).
Au XVIII ème son prolongement vers la Normandie via Neuilly obéira à des considérations d'ordre plus pratiques qu'esthétiques.
En 1804, Napoléon Ier y donne une fastueuse réception à l'occasion de son mariage avec Marie-Louise. Dès la fin du siècle dernier les jardins des Champs-Elysées accueillaient les promeneurs venus profiter des loisirs offert par l'Avenue devenue vitrine du progrès. Du Bal Mabille au Lido, du Café des Ambassadeurs au Fouquet's, du Panorama aux théâtres les flâneurs découvraient les dernières évolutions de la technologie en matière d'industrie, d'automobile ou de cinéma.
La construction de l'Arc de Triomphe à la gloire de la Grande Armée en 1836 est à l'origine des défilés militaires qui débuteront avec la victoire de 1918 par le défilé du 14 juillet 1919. Le dépôt des cendres du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe en 1921 confirmera la vocation martiale de cette descente des Champs Elysées.
81Champs-ÉlyséesL'Avenue des Champs-Élysées a été dessinée par Le Nôtre à la demande du roi Louis XIV afin de dégager le perspective du couchant depuis le Château des Tuileries (incendié en 1870).
Au XVIII ème son prolongement vers la Normandie via Neuilly obéira à des considérations d'ordre plus pratiques qu'esthétiques.
En 1804, Napoléon Ier y donne une fastueuse réception à l'occasion de son mariage avec Marie-Louise. Dès la fin du siècle dernier les jardins des Champs-Elysées accueillaient les promeneurs venus profiter des loisirs offert par l'Avenue devenue vitrine du progrès. Du Bal Mabille au Lido, du Café des Ambassadeurs au Fouquet's, du Panorama aux théâtres les flâneurs découvraient les dernières évolutions de la technologie en matière d'industrie, d'automobile ou de cinéma.
La construction de l'Arc de Triomphe à la gloire de la Grande Armée en 1836 est à l'origine des défilés militaires qui débuteront avec la victoire de 1918 par le défilé du 14 juillet 1919. Le dépôt des cendres du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe en 1921 confirmera la vocation martiale de cette descente des Champs Elysées.
82Champs-ÉlyséesL'Avenue des Champs-Élysées a été dessinée par Le Nôtre à la demande du roi Louis XIV afin de dégager le perspective du couchant depuis le Château des Tuileries (incendié en 1870).
Au XVIII ème son prolongement vers la Normandie via Neuilly obéira à des considérations d'ordre plus pratiques qu'esthétiques.
En 1804, Napoléon Ier y donne une fastueuse réception à l'occasion de son mariage avec Marie-Louise. Dès la fin du siècle dernier les jardins des Champs-Elysées accueillaient les promeneurs venus profiter des loisirs offert par l'Avenue devenue vitrine du progrès. Du Bal Mabille au Lido, du Café des Ambassadeurs au Fouquet's, du Panorama aux théâtres les flâneurs découvraient les dernières évolutions de la technologie en matière d'industrie, d'automobile ou de cinéma.
La construction de l'Arc de Triomphe à la gloire de la Grande Armée en 1836 est à l'origine des défilés militaires qui débuteront avec la victoire de 1918 par le défilé du 14 juillet 1919. Le dépôt des cendres du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe en 1921 confirmera la vocation martiale de cette descente des Champs Elysées.
83Champs-ÉlyséesL'Avenue des Champs-Élysées a été dessinée par Le Nôtre à la demande du roi Louis XIV afin de dégager le perspective du couchant depuis le Château des Tuileries (incendié en 1870).
Au XVIII ème son prolongement vers la Normandie via Neuilly obéira à des considérations d'ordre plus pratiques qu'esthétiques.
En 1804, Napoléon Ier y donne une fastueuse réception à l'occasion de son mariage avec Marie-Louise. Dès la fin du siècle dernier les jardins des Champs-Elysées accueillaient les promeneurs venus profiter des loisirs offert par l'Avenue devenue vitrine du progrès. Du Bal Mabille au Lido, du Café des Ambassadeurs au Fouquet's, du Panorama aux théâtres les flâneurs découvraient les dernières évolutions de la technologie en matière d'industrie, d'automobile ou de cinéma.
La construction de l'Arc de Triomphe à la gloire de la Grande Armée en 1836 est à l'origine des défilés militaires qui débuteront avec la victoire de 1918 par le défilé du 14 juillet 1919. Le dépôt des cendres du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe en 1921 confirmera la vocation martiale de cette descente des Champs Elysées.
84Statue du général de GaullePlace Clémenceau (négociateur du traité de Versailles en 1919, au sortir de la Première guerre), à l'intersection des avenues des Champs-Élysées, Winston Churchill et du Général Eisenhower. Le général rejoint ainsi ces deux autres héros de la dernière guerre.
La statue de bronze a été réalisée par Jean Cardot. Elle mesure de 3,60 m de haut, mais en paraît davantage grâce au socle de 3,85 m. Elle représente le Général de Gaulle descendant les Champs-Élysées, ce qu'il fit à la libération, le 26 août 1944. Elle a été projetée pour fêter les 60 ans de l'appel du 18 juin 1940 et inaugurée le 9 novembre 2000, trente ans jour pour jour après la mort du Général.
85Statue du général de GaullePlace Clémenceau (négociateur du traité de Versailles en 1919, au sortir de la Première guerre), à l'intersection des avenues des Champs-Élysées, Winston Churchill et du Général Eisenhower. Le général rejoint ainsi ces deux autres héros de la dernière guerre.
La statue de bronze a été réalisée par Jean Cardot. Elle mesure de 3,60 m de haut, mais en paraît davantage grâce au socle de 3,85 m. Elle représente le Général de Gaulle descendant les Champs-Élysées, ce qu'il fit à la libération, le 26 août 1944. Elle a été projetée pour fêter les 60 ans de l'appel du 18 juin 1940 et inaugurée le 9 novembre 2000, trente ans jour pour jour après la mort du Général.
86Rue de l'OdéonSituation : VIe Arrondissement, métro Odéon.
Longueur : 176 m.
Historique :
Précédemment rue du Théâtre Français.
Origine du nom :
Conduit au théâtre de l'Odéon.
87Rue de l'OdéonSituation : VIe Arrondissement, métro Odéon.
Longueur : 176 m.
Historique :
Précédemment rue du Théâtre Français.
Origine du nom :
Conduit au théâtre de l'Odéon.
88Mairie du Vème arr.effet
89Mairie du Vème arr.effet
90Rue MouffetardSituation : Vè arr. de Paris
Transports : métro Cardinal-Lemoine, Place Monge (lignes 7, 10)
Origine du nom : Corruption de Mont Cétard, ancien lieu-dit.
Partie de l'ancienne voie gallo-romaine allant de Lutèce à Fontainebleau. Ancien chemin qui traversait, au XIIIe siècle, un territoire appelé Mont Cetarius ou Certadus. On a désigné cette voie sous les noms de rue Montfétard, Maufetard, Mofetard, Moufetard, Mouflard, Moufetard, Moftard, Mostard. Elle s'est appelée aussi rue Saint-Marcel, rue du Faubourg Saint-Marceau et rue de la Vieille Ville Saint-Marcel. Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, l'avenue des Gobelins et la rue de Bazeilles en ont absorbé une partie.
La place de la Contrescarpe - terme de fortification désignant la paroi du fossé, du côté extérieur - fut formée en 1852 à la place d'une porte de l'enceinte de Philippe Auguste, qu'on peut apercevoir rue Clovis (au nº 3).
On trouve dans la rue Mouffetard d'anciennes enseignes (au nº 122 par exemple, ou rue de l'Estrapade), vestiges de l'époque où l'on identifiait une maison par son enseigne, avant la numérotation de 1805.
Les maisons intelligemment restaurées, les rues étroites et escarpées donnent au quartier de “ la Mouffe ” une apparence de village en plein Paris.
sources : http://tourisme.voila.fr/villes/paris/fra/sit/ville/05_rmouf/acc.htm
http://www.paris.fr/Carto/Nomenclature/6581.nom.html
91Rue MouffetardSituation : Vè arr. de Paris
Transports : métro Cardinal-Lemoine, Place Monge (lignes 7, 10)
Origine du nom : Corruption de Mont Cétard, ancien lieu-dit.
Partie de l'ancienne voie gallo-romaine allant de Lutèce à Fontainebleau. Ancien chemin qui traversait, au XIIIe siècle, un territoire appelé Mont Cetarius ou Certadus. On a désigné cette voie sous les noms de rue Montfétard, Maufetard, Mofetard, Moufetard, Mouflard, Moufetard, Moftard, Mostard. Elle s'est appelée aussi rue Saint-Marcel, rue du Faubourg Saint-Marceau et rue de la Vieille Ville Saint-Marcel. Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, l'avenue des Gobelins et la rue de Bazeilles en ont absorbé une partie.
La place de la Contrescarpe - terme de fortification désignant la paroi du fossé, du côté extérieur - fut formée en 1852 à la place d'une porte de l'enceinte de Philippe Auguste, qu'on peut apercevoir rue Clovis (au nº 3).
On trouve dans la rue Mouffetard d'anciennes enseignes (au nº 122 par exemple, ou rue de l'Estrapade), vestiges de l'époque où l'on identifiait une maison par son enseigne, avant la numérotation de 1805.
Les maisons intelligemment restaurées, les rues étroites et escarpées donnent au quartier de “ la Mouffe ” une apparence de village en plein Paris.
sources : http://tourisme.voila.fr/villes/paris/fra/sit/ville/05_rmouf/acc.htm
http://www.paris.fr/Carto/Nomenclature/6581.nom.html
92Le Chêne, restaurantrue Mouffetard
93Rue MouffetardSituation : Vè arr. de Paris
Transports : métro Cardinal-Lemoine, Place Monge (lignes 7, 10)
Origine du nom : Corruption de Mont Cétard, ancien lieu-dit.
Partie de l'ancienne voie gallo-romaine allant de Lutèce à Fontainebleau. Ancien chemin qui traversait, au XIIIe siècle, un territoire appelé Mont Cetarius ou Certadus. On a désigné cette voie sous les noms de rue Montfétard, Maufetard, Mofetard, Moufetard, Mouflard, Moufetard, Moftard, Mostard. Elle s'est appelée aussi rue Saint-Marcel, rue du Faubourg Saint-Marceau et rue de la Vieille Ville Saint-Marcel. Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, l'avenue des Gobelins et la rue de Bazeilles en ont absorbé une partie.
La place de la Contrescarpe - terme de fortification désignant la paroi du fossé, du côté extérieur - fut formée en 1852 à la place d'une porte de l'enceinte de Philippe Auguste, qu'on peut apercevoir rue Clovis (au nº 3).
On trouve dans la rue Mouffetard d'anciennes enseignes (au nº 122 par exemple, ou rue de l'Estrapade), vestiges de l'époque où l'on identifiait une maison par son enseigne, avant la numérotation de 1805.
Les maisons intelligemment restaurées, les rues étroites et escarpées donnent au quartier de “ la Mouffe ” une apparence de village en plein Paris.
sources : http://tourisme.voila.fr/villes/paris/fra/sit/ville/05_rmouf/acc.htm
http://www.paris.fr/Carto/Nomenclature/6581.nom.html
94Bas de rue Mouffetardangle de rue Censier et rue de Bazeilles
95Rue MouffetardSituation : Vè arr. de Paris
Transports : métro Cardinal-Lemoine, Place Monge (lignes 7, 10)
Origine du nom : Corruption de Mont Cétard, ancien lieu-dit.
Partie de l'ancienne voie gallo-romaine allant de Lutèce à Fontainebleau. Ancien chemin qui traversait, au XIIIe siècle, un territoire appelé Mont Cetarius ou Certadus. On a désigné cette voie sous les noms de rue Montfétard, Maufetard, Mofetard, Moufetard, Mouflard, Moufetard, Moftard, Mostard. Elle s'est appelée aussi rue Saint-Marcel, rue du Faubourg Saint-Marceau et rue de la Vieille Ville Saint-Marcel. Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, l'avenue des Gobelins et la rue de Bazeilles en ont absorbé une partie.
La place de la Contrescarpe - terme de fortification désignant la paroi du fossé, du côté extérieur - fut formée en 1852 à la place d'une porte de l'enceinte de Philippe Auguste, qu'on peut apercevoir rue Clovis (au nº 3).
On trouve dans la rue Mouffetard d'anciennes enseignes (au nº 122 par exemple, ou rue de l'Estrapade), vestiges de l'époque où l'on identifiait une maison par son enseigne, avant la numérotation de 1805.
Les maisons intelligemment restaurées, les rues étroites et escarpées donnent au quartier de “ la Mouffe ” une apparence de village en plein Paris.
sources : http://tourisme.voila.fr/villes/paris/fra/sit/ville/05_rmouf/acc.htm
http://www.paris.fr/Carto/Nomenclature/6581.nom.html
96Bas de rue Mouffetardangle de rue Censier et rue de Bazeilles
97Rue MouffetardSituation : Vè arr. de Paris
Transports : métro Cardinal-Lemoine, Place Monge (lignes 7, 10)
Origine du nom : Corruption de Mont Cétard, ancien lieu-dit.
Partie de l'ancienne voie gallo-romaine allant de Lutèce à Fontainebleau. Ancien chemin qui traversait, au XIIIe siècle, un territoire appelé Mont Cetarius ou Certadus. On a désigné cette voie sous les noms de rue Montfétard, Maufetard, Mofetard, Moufetard, Mouflard, Moufetard, Moftard, Mostard. Elle s'est appelée aussi rue Saint-Marcel, rue du Faubourg Saint-Marceau et rue de la Vieille Ville Saint-Marcel. Dans la deuxième moitié du XIXème siècle, l'avenue des Gobelins et la rue de Bazeilles en ont absorbé une partie.
La place de la Contrescarpe - terme de fortification désignant la paroi du fossé, du côté extérieur - fut formée en 1852 à la place d'une porte de l'enceinte de Philippe Auguste, qu'on peut apercevoir rue Clovis (au nº 3).
On trouve dans la rue Mouffetard d'anciennes enseignes (au nº 122 par exemple, ou rue de l'Estrapade), vestiges de l'époque où l'on identifiait une maison par son enseigne, avant la numérotation de 1805.
Les maisons intelligemment restaurées, les rues étroites et escarpées donnent au quartier de “ la Mouffe ” une apparence de village en plein Paris.
sources : http://tourisme.voila.fr/villes/paris/fra/sit/ville/05_rmouf/acc.htm
tp://www.paris.fr/Carto/Nomenclature/6581.nom.html
98Rue de l'Arbalèteangle de la rue Mouffetard
104Église Saint SaturninSaint-Saturnin d'Antony fut d'abord une chapelle carolingienne. En 1177, elle est érigée en paroisse par une bulle du pape Alexandre III et remise aux paroissiens d'Antony par les moines de l'abbaye bénédictine de St Germain-des-Près.
Saint-Saturnin (ou St-Sernin) fut l'un des premiers martyrs chrétiens connus dans la Gaule romaine et premier évêque de Toulouse où il fut martyrisé le 29 novembre 250.

Nouvel An chinois, défilé (69 photos)

Palais Brongniard(30 photos)

Palais du Luxembourg (15 photos)
2Pièce du livre des Pairs de FranceC'est là que se déroulait la cérémonie d'investiture. L'architecte Provot a réutilisé des éléments de décoration du Louvre et de l'ancien Palais de Marie de Médicis, donc du 17è siècle. Les murs sont ceux d'une salle de bains d'Anne d'Autriche, tandis que le plafond provient du cabinet de travail de Marie de Médicis. La peinture centrale du plafond montre la reine assise sur son trône, recevant le faisceau de flèches, en signe de paix retrouvée. Jolie propagande ! De part et d'autre, huit femmes savantes honorent leur sexe.
3Pièce du livre des Pairs de FranceC'est là que se déroulait la cérémonie d'investiture. L'architecte Provot a réutilisé des éléments de décoration du Louvre et de l'ancien Palais de Marie de Médicis, donc du 17è siècle. Les murs sont ceux d'une salle de bains d'Anne d'Autriche, tandis que le plafond provient du cabinet de travail de Marie de Médicis. La peinture centrale du plafond montre la reine assise sur son trône, recevant le faisceau de flèches, en signe de paix retrouvée. Jolie propagande ! De part et d'autre, huit femmes savantes honorent leur sexe.
5Le hallLe Palais est modifié et agrandi une première fois en 1804 pour accueillir le Sénat de 80 membres, sous l'Empire. Le hall donnait accès auparavant à un escalier pour monter à l'étage noble. Cet escalier est supprimé et le halle est refait, en style gréco-romain.
6L'hémicycleOn remarque en entrant les hautes statues des législateurs qui semblent présider aux séances : Molé, Malesherbes, Portalis. Richelieu est placé sur un côté.
De part et d'autre, de grandes fresques historiques, dignes de Puvis de Chavannes sont le reflet de la mode historisante du 19ème siècle avec des scènes de Philippe le long et Louis XII.
Pour la petite histoire, les coussins des fauteuils ont deux faces, une pour l'hiver, chaude, et une fraîche pour l'été ! De plus, les fauteuils ont été faits sur mesure pour les Pairs de France. De telle sorte qu'ils épousent des largeurs de fessiers diverses, qui sont bien utiles encore de nos jours.
7L'hémicycleOn remarque en entrant les hautes statues des législateurs qui semblent présider aux séances : Molé, Malesherbes, Portalis. Richelieu est placé sur un côté.
De part et d'autre, de grandes fresques historiques, dignes de Puvis de Chavannes sont le reflet de la mode historisante du 19ème siècle avec des scènes de Philippe le long et Louis XII.
Pour la petite histoire, les coussins des fauteuils ont deux faces, une pour l'hiver, chaude, et une fraîche pour l'été ! De plus, les fauteuils ont été faits sur mesure pour les Pairs de France. De telle sorte qu'ils épousent des largeurs de fessiers diverses, qui sont bien utiles encore de nos jours.
8La salle des bustesElle correspond à l'ancienne terrasse du palais de Marie de Médicis.
9La salle du trôneLes lambris dorés encadrent des peintures pompeuses dignes de l'opéra. Cette salle a été refaite sous Napoléon III.
10La salle du trôneLes lambris dorés encadrent des peintures pompeuses dignes de l'opéra. Cette salle a été refaite sous Napoléon III.
11L'ancienne antichambre de Marie de MédicisLà se déroula l'entrevue du 10 novembre 1630.

>>> pour en savoir plus sur cette Journée des Dupes.
>>> pour voir le plan du Palais de Marie de Médicis.
12L'ancienne antichambre de Marie de MédicisLà se déroula l'entrevue du 10 novembre 1630.

>>> pour en savoir plus sur cette Journée des Dupes.
>>> pour voir le plan du Palais de Marie de Médicis.
13Le grand escalierMarie de Médicis avait là sa galerie d'art, où elle exposait avec fierté ses tableaux, sculptures, meubles. Le Normand de Tournehaine ouvra cette galerie au public et en fit le premier musée, bien avant le Louvre. On y voyait la fameuse série de tableaux peints par Rubens en l'honneur de la reine. Ils sont aujourd'hui au Louvre.
Cette galerie fut démolie pour laisser passer l'escalier, à une rampe, large et majestueux. Des lionnes, dans le goût égyptien, sont de chaque côté, assez discrètes. Les œuvres du musée furent exposées dans une aile en face, puis en 1886 dans l'Orangerie et en 1937, de l'autre côté de la Seine, au Jeu de paume.
14Le grand escalierMarie de Médicis avait là sa galerie d'art, où elle exposait avec fierté ses tableaux, sculptures, meubles. Le Normand de Tournehaine ouvra cette galerie au public et en fit le premier musée, bien avant le Louvre. On y voyait la fameuse série de tableaux peints par Rubens en l'honneur de la reine. Ils sont aujourd'hui au Louvre.
Cette galerie fut démolie pour laisser passer l'escalier, à une rampe, large et majestueux. Des lionnes, dans le goût égyptien, sont de chaque côté, assez discrètes. Les œuvres du musée furent exposées dans une aile en face, puis en 1886 dans l'Orangerie et en 1937, de l'autre côté de la Seine, au Jeu de paume.

Parc Monceau (Paris) en automne (34 photos)

Restaurant Procope (12 photos)
5Salon Voltairepour en savoir plus sur le restaurant Procope : voir cette page
8Oranger des Osages (J. du Luxembourg)pour en savoir plus sur cet arbre : voir cette page
10Oranger des Osages (J. du Luxembourg)pour en savoir plus sur cet arbre : voir cette page
12Cotinus (J. du Luxembourg)pour en savoir plus sur cet arbre : voir cette
Rhododendrons (Parc Floral) (45 photos)

Tour Eiffel (28 photos)

Trains aux Champs-Élysées (21 photos)
1BB 12125La Locomotive électrique BB 12125 a été construite par MTE et Alsthom et mise en service en 1961, par la SNCF. Elle a circulé jusqu'en 2000, principalement pour le fret.
Sa vitesse commerciale était de 120 km/h.
Sa forme particulière avec la cabine centrale lui a valu le surnom "fer à repasse"
La BB12000 est une des premières locomotives à courant électrique monophasé 25 kV 50 Hz, courant apparu en 1954 pour l'électrification de l'artère du Nord-Est
Poids : 83,4 tonnes.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
2BB 12125La Locomotive électrique BB 12125 a été construite par MTE et Alsthom et mise en service en 1961, par la SNCF. Elle a circulé jusqu'en 2000, principalement pour le fret.
Sa vitesse commerciale était de 120 km/h.
Sa forme particulière avec la cabine centrale lui a valu le surnom "fer à repasse"
La BB12000 est une des premières locomotives à courant électrique monophasé 25 kV 50 Hz, courant apparu en 1954 pour l'électrification de l'artère du Nord-Est
Poids : 83,4 tonnes.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
3BB 904La locomotive BB 9004 est une des premières machines modernes. En 1955 elle rentre dans l'histoire ferroviaire et industrielle, en inaugurant une tradition française de record du monde de vitesse atteignant les 331 km/h.
Elle a été construite par la société MTE qui la dota d'un moteur de 4120 chevaux. Elle pèse pas moins de 80 tonnes.


Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Elysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
4BB 904La locomotive BB 9004 est une des premières machines modernes. En 1955 elle rentre dans l'histoire ferroviaire et industrielle, en inaugurant une tradition française de record du monde de vitesse atteignant les 331 km/h.
Elle a été construite par la société MTE qui la dota d'un moteur de 4120 chevaux. Elle pèse pas moins de 80 tonnes.


Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Elysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
5Buddicom St Pierre, 1844Cette locomotive a été conçue par l'ingénieur anglais William Barber Buddicom.
Son développement en France est dû aux usines Buddicom de Sotteville et de Bordeaux, où 390 modèles de locomotives ont été construits. Elle circula essentiellement sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre. Sa puissance, énorme pour l'époque, lui permettait de tirer des trains d'un poids de 80 tonnes à une vitesse de 60 km/h. Le nombre important d'engins produits et la forte capacité de traction de la Buddicom en firent une des locomotives les plus exploitées de son époque. Mise en service en 1844, elle a été assez robuste pour fonctionner jusqu'en 1910, après de 64 ans d'exploitation.
Sa disposition est celle de toutes les locomotivesdes générations suivantes : chaudière horizontale, cylindres horizontaux à l'avant et embiellage extérieur, grandes roues motrices.
Poids : 17,35 tonnes.
Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
6Buddicom St Pierre, 1844Cette locomotive a été conçue par l'ingénieur anglais William Barber Buddicom.
Son développement en France est dû aux usines Buddicom de Sotteville et de Bordeaux, où 390 modèles de locomotives ont été construits. Elle circula essentiellement sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre. Sa puissance, énorme pour l'époque, lui permettait de tirer des trains d'un poids de 80 tonnes à une vitesse de 60 km/h. Le nombre important d'engins produits et la forte capacité de traction de la Buddicom en firent une des locomotives les plus exploitées de son époque. Mise en service en 1844, elle a été assez robuste pour fonctionner jusqu'en 1910, après de 64 ans d'exploitation.
Sa disposition est celle de toutes les locomotivesdes générations suivantes : chaudière horizontale, cylindres horizontaux à l'avant et embiellage extérieur, grandes roues motrices.
Poids : 17,35 tonnes.
Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
7Buddicom St Pierre, 1844Cette locomotive a été conçue par l'ingénieur anglais William Barber Buddicom.
Son développement en France est dû aux usines Buddicom de Sotteville et de Bordeaux, où 390 modèles de locomotives ont été construits. Elle circula essentiellement sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre. Sa puissance, énorme pour l'époque, lui permettait de tirer des trains d'un poids de 80 tonnes à une vitesse de 60 km/h. Le nombre important d'engins produits et la forte capacité de traction de la Buddicom en firent une des locomotives les plus exploitées de son époque. Mise en service en 1844, elle a été assez robuste pour fonctionner jusqu'en 1910, après de 64 ans d'exploitation.
Sa disposition est celle de toutes les locomotivesdes générations suivantes : chaudière horizontale, cylindres horizontaux à l'avant et embiellage extérieur, grandes roues motrices.
Poids : 17,35 tonnes.
Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
8Buddicom St Pierre, 1844Cette locomotive a été conçue par l'ingénieur anglais William Barber Buddicom.
Son développement en France est dû aux usines Buddicom de Sotteville et de Bordeaux, où 390 modèles de locomotives ont été construits. Elle circula essentiellement sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre. Sa puissance, énorme pour l'époque, lui permettait de tirer des trains d'un poids de 80 tonnes à une vitesse de 60 km/h. Le nombre important d'engins produits et la forte capacité de traction de la Buddicom en firent une des locomotives les plus exploitées de son époque. Mise en service en 1844, elle a été assez robuste pour fonctionner jusqu'en 1910, après de 64 ans d'exploitation.
Sa disposition est celle de toutes les locomotivesdes générations suivantes : chaudière horizontale, cylindres horizontaux à l'avant et embiellage extérieur, grandes roues motrices.
Poids : 17,35 tonnes.
Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
9Buddicom St Pierre, 1844Cette locomotive a été conçue par l'ingénieur anglais William Barber Buddicom.
Son développement en France est dû aux usines Buddicom de Sotteville et de Bordeaux, où 390 modèles de locomotives ont été construits. Elle circula essentiellement sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre. Sa puissance, énorme pour l'époque, lui permettait de tirer des trains d'un poids de 80 tonnes à une vitesse de 60 km/h. Le nombre important d'engins produits et la forte capacité de traction de la Buddicom en firent une des locomotives les plus exploitées de son époque. Mise en service en 1844, elle a été assez robuste pour fonctionner jusqu'en 1910, après de 64 ans d'exploitation.
Sa disposition est celle de toutes les locomotivesdes générations suivantes : chaudière horizontale, cylindres horizontaux à l'avant et embiellage extérieur, grandes roues motrices.
Poids : 17,35 tonnes.
Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
10Buddicom St Pierre, 1844Cette locomotive a été conçue par l'ingénieur anglais William Barber Buddicom.
Son développement en France est dû aux usines Buddicom de Sotteville et de Bordeaux, où 390 modèles de locomotives ont été construits. Elle circula essentiellement sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre. Sa puissance, énorme pour l'époque, lui permettait de tirer des trains d'un poids de 80 tonnes à une vitesse de 60 km/h. Le nombre important d'engins produits et la forte capacité de traction de la Buddicom en firent une des locomotives les plus exploitées de son époque. Mise en service en 1844, elle a été assez robuste pour fonctionner jusqu'en 1910, après de 64 ans d'exploitation.
Sa disposition est celle de toutes les locomotivesdes générations suivantes : chaudière horizontale, cylindres horizontaux à l'avant et embiellage extérieur, grandes roues motrices.
Poids : 17,35 tonnes.
Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
11Buddicom St Pierre, 1844Cette locomotive a été conçue par l'ingénieur anglais William Barber Buddicom.
Son développement en France est dû aux usines Buddicom de Sotteville et de Bordeaux, où 390 modèles de locomotives ont été construits. Elle circula essentiellement sur la ligne Paris-Rouen-Le Havre. Sa puissance, énorme pour l'époque, lui permettait de tirer des trains d'un poids de 80 tonnes à une vitesse de 60 km/h. Le nombre important d'engins produits et la forte capacité de traction de la Buddicom en firent une des locomotives les plus exploitées de son époque. Mise en service en 1844, elle a été assez robuste pour fonctionner jusqu'en 1910, après de 64 ans d'exploitation.
Sa disposition est celle de toutes les locomotivesdes générations suivantes : chaudière horizontale, cylindres horizontaux à l'avant et embiellage extérieur, grandes roues motrices.
Poids : 17,35 tonnes.
Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
12Crampton, 1852La locomotive à vapeur Crampton (1852) est d'origine britannique. Elle a été brevetée par l'ingénieur Thomas Russell Crampton (1816-1888). Cependant, elle n'a connu quasiment aucun succès en Angleterre, à l'exception du modèle " Liverpool " construit en 1848. Son immense roue motrice de 2,3 m de diamètre située derrière le foyer lui permit d'atteindre la vitesse fabuleuse pour l'époque de 144 km/h lors d'un essai. Ce modèle fut présenté lors de l'Exposition Universelle de Londres.
Le développement de la " Crampton " en France est dû à l'adaptation de la machine par Charles Desrone et Jean François Cail. Elle pouvait atteindre la vitesse de 120 km/h, ce qui fit d'elle la première locomotive de vitesse autorisée à filer à une telle vitesse au second Empire (décret impérial de Napoléon III). Sa circulation s'effectuait sur les lignes de la Compagnie de l'Est, entre Strasbourg et Paris. En 62 ans de service (de 1852 à 1914), elle a parcouru 2 433 298 km.
Le modèle présenté dispose de grandes roues motrices placées derrière le foyer. Le Tender est lui aussi installé.
La Crampton fut la locomotive la plus célèbre du XIXè siècle. Elle resta exposée à la gare de l'Est après sa mise en retraite, de 1931 à 1946.
Poids : 29 tonnes.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
13Crampton, 1852La locomotive à vapeur Crampton (1852) est d'origine britannique. Elle a été brevetée par l'ingénieur Thomas Russell Crampton (1816-1888). Cependant, elle n'a connu quasiment aucun succès en Angleterre, à l'exception du modèle " Liverpool " construit en 1848. Son immense roue motrice de 2,3 m de diamètre située derrière le foyer lui permit d'atteindre la vitesse fabuleuse pour l'époque de 144 km/h lors d'un essai. Ce modèle fut présenté lors de l'Exposition Universelle de Londres.
Le développement de la " Crampton " en France est dû à l'adaptation de la machine par Charles Desrone et Jean François Cail. Elle pouvait atteindre la vitesse de 120 km/h, ce qui fit d'elle la première locomotive de vitesse autorisée à filer à une telle vitesse au second Empire (décret impérial de Napoléon III). Sa circulation s'effectuait sur les lignes de la Compagnie de l'Est, entre Strasbourg et Paris. En 62 ans de service (de 1852 à 1914), elle a parcouru 2 433 298 km.
Le modèle présenté dispose de grandes roues motrices placées derrière le foyer. Le Tender est lui aussi installé.
La Crampton fut la locomotive la plus célèbre du XIXè siècle. Elle resta exposée à la gare de l'Est après sa mise en retraite, de 1931 à 1946.
Poids : 29 tonnes.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
14Crampton, 1852La locomotive à vapeur Crampton (1852) est d'origine britannique. Elle a été brevetée par l'ingénieur Thomas Russell Crampton (1816-1888). Cependant, elle n'a connu quasiment aucun succès en Angleterre, à l'exception du modèle " Liverpool " construit en 1848. Son immense roue motrice de 2,3 m de diamètre située derrière le foyer lui permit d'atteindre la vitesse fabuleuse pour l'époque de 144 km/h lors d'un essai. Ce modèle fut présenté lors de l'Exposition Universelle de Londres.
Le développement de la " Crampton " en France est dû à l'adaptation de la machine par Charles Desrone et Jean François Cail. Elle pouvait atteindre la vitesse de 120 km/h, ce qui fit d'elle la première locomotive de vitesse autorisée à filer à une telle vitesse au second Empire (décret impérial de Napoléon III). Sa circulation s'effectuait sur les lignes de la Compagnie de l'Est, entre Strasbourg et Paris. En 62 ans de service (de 1852 à 1914), elle a parcouru 2 433 298 km.
Le modèle présenté dispose de grandes roues motrices placées derrière le foyer. Le Tender est lui aussi installé.
La Crampton fut la locomotive la plus célèbre du XIXè siècle. Elle resta exposée à la gare de l'Est après sa mise en retraite, de 1931 à 1946.
Poids : 29 tonnes.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
15Locomotive à vapeur 030 TA 628, 1874La Locomotive à vapeur 030 TA 628 a été construite par la Compagbnie de Fives-Lille et mise en service en 1874, par la Compagnie de l'Ouest pour les manœuvres. Elle a été modifiée au fur et à mesure des années. Elle est présentée ici dans son aspect définitif, c'est-à-dire avec la cabine de conduite, inexistante à l'origine. Les premières de ces locomotives ont été réformées dès 1927, mais il en restait encore 42 en service en 1934. Elle a circulé jusqu'en 1950 après 76 ans de bons et loyaux service (un record de longévité).
L'inspiration ferroviaire de plusieurs artistes français peut émaner de cette locomotive. Elle est contemporaine d'écrivains comme Emile Zola au moment où il rédigeait ses carnets d'enquêtes préparatoires à " La Bête Humaine " et de peintres impressionnistes, notamment Claude Monet, lorsqu'il travaillait à sa grande série sur la gare Saint-Lazare.
Poids : 30 tonnes.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
16Locomotive à vapeur 030 TA 628, 1874La Locomotive à vapeur 030 TA 628 a été construite par la Compagbnie de Fives-Lille et mise en service en 1874, par la Compagnie de l'Ouest pour les manœuvres. Elle a été modifiée au fur et à mesure des années. Elle est présentée ici dans son aspect définitif, c'est-à-dire avec la cabine de conduite, inexistante à l'origine. Les premières de ces locomotives ont été réformées dès 1927, mais il en restait encore 42 en service en 1934. Elle a circulé jusqu'en 1950 après 76 ans de bons et loyaux service (un record de longévité).
L'inspiration ferroviaire de plusieurs artistes français peut émaner de cette locomotive. Elle est contemporaine d'écrivains comme Emile Zola au moment où il rédigeait ses carnets d'enquêtes préparatoires à " La Bête Humaine " et de peintres impressionnistes, notamment Claude Monet, lorsqu'il travaillait à sa grande série sur la gare Saint-Lazare.
Poids : 30 tonnes.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.
17Marc Seguin, 1829Construite en 1987, c'est une reproduction en état de marche de la première locomotive à vapeur française de 1829.
Cet ancêtre du rail est considéré comme le réel déclencheur de l'utilisation de la vapeur en tant que puissance mécanique. En 1827, Marc Séguin dépose le brevet de la chaudière tubulaire à échappement. Ce principe sera ensuite utilisé pour la première fois dans l'histoire ferroviaire en 1829.

Marc Séguin, figure de l'histoire ferroviaire
Petit-neveu des frères Montgolfier et père de pas moins de 19 enfants, Marc Séguin est une figure de l'histoire ferroviaire. Il fonda la Compagnie du Chemin de Fer de Saint-Étienne à Lyon, mettant ainsi en place une ligne de 56 km de long dont le premier tronçon fut celui de Givors à Rive-de-Gier. Ses travaux furent tellement brillants que le brevet de Marc Séguin fut largement copié, notamment dans la marine militaire anglaise à vapeur.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.

18Marc Seguin, 1829Construite en 1987, c'est une reproduction en état de marche de la première locomotive à vapeur française de 1829.
Cet ancêtre du rail est considéré comme le réel déclencheur de l'utilisation de la vapeur en tant que puissance mécanique. En 1827, Marc Séguin dépose le brevet de la chaudière tubulaire à échappement. Ce principe sera ensuite utilisé pour la première fois dans l'histoire ferroviaire en 1829.

Marc Séguin, figure de l'histoire ferroviaire
Petit-neveu des frères Montgolfier et père de pas moins de 19 enfants, Marc Séguin est une figure de l'histoire ferroviaire. Il fonda la Compagnie du Chemin de Fer de Saint-Étienne à Lyon, mettant ainsi en place une ligne de 56 km de long dont le premier tronçon fut celui de Givors à Rive-de-Gier. Ses travaux furent tellement brillants que le brevet de Marc Séguin fut largement copié, notamment dans la marine militaire anglaise à vapeur.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.

19Marc Seguin, 1829Construite en 1987, c'est une reproduction en état de marche de la première locomotive à vapeur française de 1829.
Cet ancêtre du rail est considéré comme le réel déclencheur de l'utilisation de la vapeur en tant que puissance mécanique. En 1827, Marc Séguin dépose le brevet de la chaudière tubulaire à échappement. Ce principe sera ensuite utilisé pour la première fois dans l'histoire ferroviaire en 1829.

Marc Séguin, figure de l'histoire ferroviaire
Petit-neveu des frères Montgolfier et père de pas moins de 19 enfants, Marc Séguin est une figure de l'histoire ferroviaire. Il fonda la Compagnie du Chemin de Fer de Saint-Étienne à Lyon, mettant ainsi en place une ligne de 56 km de long dont le premier tronçon fut celui de Givors à Rive-de-Gier. Ses travaux furent tellement brillants que le brevet de Marc Séguin fut largement copié, notamment dans la marine militaire anglaise à vapeur.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.

20Marc Seguin, 1829Construite en 1987, c'est une reproduction en état de marche de la première locomotive à vapeur française de 1829.
Cet ancêtre du rail est considéré comme le réel déclencheur de l'utilisation de la vapeur en tant que puissance mécanique. En 1827, Marc Séguin dépose le brevet de la chaudière tubulaire à échappement. Ce principe sera ensuite utilisé pour la première fois dans l'histoire ferroviaire en 1829.

Marc Séguin, figure de l'histoire ferroviaire
Petit-neveu des frères Montgolfier et père de pas moins de 19 enfants, Marc Séguin est une figure de l'histoire ferroviaire. Il fonda la Compagnie du Chemin de Fer de Saint-Étienne à Lyon, mettant ainsi en place une ligne de 56 km de long dont le premier tronçon fut celui de Givors à Rive-de-Gier. Ses travaux furent tellement brillants que le brevet de Marc Séguin fut largement copié, notamment dans la marine militaire anglaise à vapeur.

Exposition baptisée "le train capitale" aux Champs Élysées (Paris), du 17 mai au 15 juin 2003.