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Région : Europe


Carnaval de Venise 2002 (52 photos)
32Carnaval 2000
33Confettis
34Palais des Doges
35Le Rialtoconstruit entre 1588 et 1591 sur les plans de l'architecte Antonio da Ponte.
36Palazzo Dolfin-Maninaujourd'hui, Banca d'Italia, demeure de Ludovico Manin, 120ème et dernier doge de Venise (il abdique après l'occupation par les armées napoléoniennes). Façade de Jacopo Sansovino (1536-75). La galerie est accessible au public, ce qui était une innovation pour cette époque.
37Vue du Rialto vers le Nord
38Palazzo Loredanaujourd'hui, mairie de Venise, ancien entrepôt du XIIè-XIIIè siècle, relié à droite au Palazzo
Farseti-Dandolo, également entrepôt contemporain.
39Palazzo Dolfin-Manin sous la pluie ?
40Palazzo Dolfin-Manin déformé
41Campo San Anzolo, Palazzo Duododu XVè siècle. Le compositeur Cimarosa y vécut et mourut en 1801
42Campo San Anzolo, Palazzo Grittidu XVè siècle
43Palazzo Bembo face à Ca' Loredande style gothique tardif, construit au XVè pour le poète Bembo.
44Hôtel Bauer Grünwaldfaçade de Sardi, néogothique, fin du XIXè siècle
45Canal
46Marché
47Marché
48Scuola Carmini, escalierAssociation de bienfaisance fondée en 1594. Elle comptait en 75.000 membres en 1675, soit la moitié de la population vénitienne
49Scuola Carmini, stucs de l'escalier
50Scuola Carmini : PlafondMadonna del Carmelo peint par Giambattista Tiepolo entre 1739 et 1744.
Celui-là est une copie, l'original étant tombé accidentellement et maintenant exposé verticalement.
51San Francesco della Vigna, cloître

Carnaval de Binche 2004 (109 photos)
1Binche est une ville moyenâgeuse, fortifiée, qui connut un siège du temps de François Ier et acquit prospérité sous Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint et mère de Philippe II d'Espagne.
C'est elle qui organisa des fêtes fastueuses, du 22 au 31 août 1549, en l'honneur de son frère Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne. On dit que la légende des défilés de Gilles, pour le carnaval remonte à cette époque.
Le Gille évoquerait l'indien d'Amérique, que les explorations outre atlantique de cette époque ont permis aux Européens de découvrir.
2Binche est une ville moyenâgeuse, fortifiée, qui connut un siège du temps de François Ier et acquit prospérité sous Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint et mère de Philippe II d'Espagne.
C'est elle qui organisa des fêtes fastueuses, du 22 au 31 août 1549, en l'honneur de son frère Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne. On dit que la légende des défilés de Gilles, pour le carnaval remonte à cette époque.
Le Gille évoquerait l'indien d'Amérique, que les explorations outre atlantique de cette époque ont permis aux Européens de découvrir.
3Binche est une ville moyenâgeuse, fortifiée, qui connut un siège du temps de François Ier et acquit prospérité sous Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint et mère de Philippe II d'Espagne.
C'est elle qui organisa des fêtes fastueuses, du 22 au 31 août 1549, en l'honneur de son frère Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne. On dit que la légende des défilés de Gilles, pour le carnaval remonte à cette époque.
Le Gille évoquerait l'indien d'Amérique, que les explorations outre atlantique de cette époque ont permis aux Européens de découvrir.
7Les chats sont partout : sur le bord de fenêtre, au numéro ('6') et sur le rideau.
8Un chapeau emplumé suffit à la fête.
11Le Gille tient à la main le ramon

Jadis véritable balai de rue, il était lancé à la tête de quiconque se rendait au Carnaval sans faux-nez ou sans masque. Le domestique du Gille allait le récupérer en faisant une pirouette au nez de la victime.

Au fil des temps, la tête de balai s'est réduite en un ramon constitué de brindilles de saule soigneusement assemblées par trois ligaments de rotin.

De nos jours, le Gille lance son ramon au passant qu'il désire saluer: il le récupère lui-même et embrasse la connaissance qui l'attend, le ramon en main.

Le Gille est "armé" de son ramon uniquement le mardi gras au matin car l'après-midi, il porte le panier d'osier rempli d'oranges sanguines.

12Le Gille tient à la main le ramon

Jadis véritable balai de rue, il était lancé à la tête de quiconque se rendait au Carnaval sans faux-nez ou sans masque. Le domestique du Gille allait le récupérer en faisant une pirouette au nez de la victime.

Au fil des temps, la tête de balai s'est réduite en un ramon constitué de brindilles de saule soigneusement assemblées par trois ligaments de rotin.

De nos jours, le Gille lance son ramon au passant qu'il désire saluer: il le récupère lui-même et embrasse la connaissance qui l'attend, le ramon en main.

Le Gille est "armé" de son ramon uniquement le mardi gras au matin car l'après-midi, il porte le panier d'osier rempli d'oranges sanguines.

13Le Gille boit du champagne dès le bon matin, mais un verre de bière ne fait pas de mal.
L'apertintaille, quant à lui, est composé d'une bande de toile de lin renfermant une bourre. A l'extérieur, la toile, large de 10 à 15 cm, est garnie de brins de laine rouge et jaune. A cette "ceinture" sont attachées de 6 à 9 sonnettes ou clochettes en bronze à fort alliage de cuivre. Les premiers apertintailles connus, au dix-neuvième siècle, comportaient des grelots ou, alternativement, une clochette et un grelot. Les clochettes sont de taille et de poids variables, les plus grosses se trouvant au centre de l'apertintaille et les plus petites aux extrémités. Elles produisent des sons plus ou moins graves. Le poids de l'apertintaille varie entre 2 et 3 kg.
Source : www.carnavaldebinche.be
14Le costume du Gille est en toile de jute sur laquelle on a cousu différents motifs ainsi que des bandes de feutrine noire, rouge et jaune.
Ces motifs représentent les lions couronnés de la Belgique, ceux sans couronne des armoiries du Hainaut, des étoiles, … Au total, plus ou moins deux cents motifs dont certains demandent quatre applications successives. Les extrémités de la blouse et du pantalon sont constituées de plusieurs mètres de ruban qui ont été froncés à la manière de la collerette, sorte de pèlerine reposant sur les épaules du Gille. De 150 à 200 mètres de ruban plissé sont nécessaires pour leur confection. Ce ruban est plissé par une des rares machines qui puissent aider le louageur dans sa tâche difficile. Si le chapeau est de couleur, la collerette peut être légèrement teintée sur le bord du ruban.
Le dos du costume varie également et cela encore de nos jours. Si vous vous promenez le Mardi-Gras à Binche, vous pourrez constater que les dos des costumes de Gille sont différents. Ceci est en fait pour permettre aux louageurs de reconnaître leurs costumes.
Source : www.carnavaldebinche.be
15Le Gille tient à la main le ramon

Jadis véritable balai de rue, il était lancé à la tête de quiconque se rendait au Carnaval sans faux-nez ou sans masque. Le domestique du Gille allait le récupérer en faisant une pirouette au nez de la victime.

Au fil des temps, la tête de balai s'est réduite en un ramon constitué de brindilles de saule soigneusement assemblées par trois ligaments de rotin.

De nos jours, le Gille lance son ramon au passant qu'il désire saluer: il le récupère lui-même et embrasse la connaissance qui l'attend, le ramon en main.

Le Gille est "armé" de son ramon uniquement le mardi gras au matin car l'après-midi, il porte le panier d'osier rempli d'oranges sanguines.

16Le sabot est creusé soit dans du peuplier, choisi pour sa solidité et sa malléabilité soit dans le saule, pour sa légèreté et sa résistance. Sur la partie avant du sabot se colle ou se cloue le "renon" de rubans plissés.
Jadis fabriqués par des sabotiers locaux, les sabots actuels sont fabriqués dans les Ardennes de façon principalement automatique. En effet, c'est une machine qui donne au sabot son aspect extérieur à partir d'un modèle prédéfini. Une seconde machine va creuser sommairement l'intérieur du sabot et déterminer l'emplacement du pied. Mais c'est le "creuseur" qui termine cette tâche minutieuse. La fabrication du sabot terminée. Il reste à lui donner sa couleur et son odeur caractéristique. Pour ce faire, il séjournera dans un fumoir pendant 7 à 8 heures.
Ce sabot n'est pas tout à fait terminé. En effet, il faut encore lui ajouter des accessoires en cuir qui permettront de le maintenir: une talonnette en forme de demi-cercle et la bride, simple lanière glissée dans un morceau de cuir rectangulaire et dentelé.
Source : www.carnavaldebinche.be
18Le Gille boit du champagne dès le bon matin.
25Le Gille boit du champagne dès le bon matin.
44Les fenêtres sont grillagées pour éviter la casse quand les Gilles lancent des oranges. Si une fenêtre est cassée, le riverain ne peut pas se plaindre.
45Les perruques sont l'attribut premier de la fête de carnaval.
46Avenue Charles Deliège
47Grand Placeà gauche : l'Hôtel de Ville, et au fond, la collégiale Saint-Ursmer.
48Grand Placeavec la tour : l'Hôtel de Ville.
52Le masque est de toile recouverte de cire, aux lunettes vertes et aux moustaches ainsi qu'une mouche à la Napoléon III.
Jusqu'au début du XXème siècle, le Gille restait masqué pendant la plus grande partie de la journée. De nos jours, le masque est porté durant la matinée jusqu'à la réception à l'Hôtel de Ville.
Le Gille est un grand prêtre qui célèbre le renouveau du printemps; il accomplit un rite mais n'agit pas en son nom personnel. Il convient donc qu'il ne soit pas reconnu.
Binche a toujours eu le monopole d'utilisation de ce type de masque. En son temps, Charles Deliège, Bourgmestre de la Ville, passa une convention entre la firme César de Saumur et la Ville. Mais cette firme passa à la fabrication en série, avec des matières de base peu conformes à l'usage, comme le plastique. Il n'était plus possible de lui confier la fabrication de masques - seule, la cire est autorisée - alors que d'autre part, la réserve de la ville s'épuisait.
Monsieur Jean-Luc Pourbaix, artisan binchois, se préoccupa du problème. Après bien des années de recherches, il trouva la solution.
L'administration communale de Binche en a déposé le modèle, au mois d'octobre 1985, auprès du Bureau Bénélux des Marques à la Haye et en a l'exclusivité. Le modèle est maintenant protégé: il ne peut être copié, commercialisé et porté ailleurs qu'à Binche. Ce dépôt de marque est renouvelable tous les dix ans et indéfiniment.
Le masque de Gille ne peut être vendu qu'aux Gilles de Binche qui le portent le Mardi-Gras matin.

source : www.carnavaldebinche.be
photo Allain le Quéré
53Le masque est de toile recouverte de cire, aux lunettes vertes et aux moustaches ainsi qu'une mouche à la Napoléon III.
Jusqu'au début du XXème siècle, le Gille restait masqué pendant la plus grande partie de la journée. De nos jours, le masque est porté durant la matinée jusqu'à la réception à l'Hôtel de Ville.
Le Gille est un grand prêtre qui célèbre le renouveau du printemps; il accomplit un rite mais n'agit pas en son nom personnel. Il convient donc qu'il ne soit pas reconnu.
Binche a toujours eu le monopole d'utilisation de ce type de masque. En son temps, Charles Deliège, Bourgmestre de la Ville, passa une convention entre la firme César de Saumur et la Ville. Mais cette firme passa à la fabrication en série, avec des matières de base peu conformes à l'usage, comme le plastique. Il n'était plus possible de lui confier la fabrication de masques - seule, la cire est autorisée - alors que d'autre part, la réserve de la ville s'épuisait.
Monsieur Jean-Luc Pourbaix, artisan binchois, se préoccupa du problème. Après bien des années de recherches, il trouva la solution.
L'administration communale de Binche en a déposé le modèle, au mois d'octobre 1985, auprès du Bureau Bénélux des Marques à la Haye et en a l'exclusivité. Le modèle est maintenant protégé: il ne peut être copié, commercialisé et porté ailleurs qu'à Binche. Ce dépôt de marque est renouvelable tous les dix ans et indéfiniment.
Le masque de Gille ne peut être vendu qu'aux Gilles de Binche qui le portent le Mardi-Gras matin.

source : www.carnavaldebinche.be
photo Allain le Quéré
54La plume - d'une hauteur totale de 1m50 - est constituée avec 3 plumes d'autruche de 50 cm. A celle-ci vient s'ajouter une douzaine de petites plumes qui étofferont tout l'ensemble.
Le chapeau se constitue de 8 à 12 grandes plumes réalisées à l'aide de 240 à 290 petites.
Le frisage à la main de chaque grande plume au moyen d'un petit couteau donne le panache et la majesté caractéristiques du chapeau du Gille.
Le poids du chapeau est d'approximativement 3 kg.
Le tout est monté sur l'armature métallique recouverte de biais blanc sortant de la "buse" ou "forme" confectionnée en carton enveloppé de toile collée à la colle forte pour donner la rigueur nécessaire à ce support. Autrefois, cette forme était fabriquée à partir d'un simple chapeau "buse" d'où son nom.
Le chapeau est maintenu par une jugulaire en cuir blanc et posé sur la barrette, elle-même serrée par un mouchoir de cou passant sous le menton.

Source : http://www.carnavaldebinche.be/page.phtml?rub=contenu&div=8&id=34

55La plume - d'une hauteur totale de 1m50 - est constituée avec 3 plumes d'autruche de 50 cm. A celle-ci vient s'ajouter une douzaine de petites plumes qui étofferont tout l'ensemble.
Le chapeau se constitue de 8 à 12 grandes plumes réalisées à l'aide de 240 à 290 petites.
Le frisage à la main de chaque grande plume au moyen d'un petit couteau donne le panache et la majesté caractéristiques du chapeau du Gille.
Le poids du chapeau est d'approximativement 3 kg.
Le tout est monté sur l'armature métallique recouverte de biais blanc sortant de la "buse" ou "forme" confectionnée en carton enveloppé de toile collée à la colle forte pour donner la rigueur nécessaire à ce support. Autrefois, cette forme était fabriquée à partir d'un simple chapeau "buse" d'où son nom.
Le chapeau est maintenu par une jugulaire en cuir blanc et posé sur la barrette, elle-même serrée par un mouchoir de cou passant sous le menton.

Source : http://www.carnavaldebinche.be/page.phtml?rub=contenu&div=8&id=34

57Le Gille tient à la main un panier.

Le panier qui contient les oranges est en osier tressé. Sa forme très particulière a remplacé vers 1880 le vieux panier à salade en fil métallique que le gille garnissait des produits de son jardin.

58Le Gille tient à la main un panier.

Le panier qui contient les oranges est en osier tressé. Sa forme très particulière a remplacé vers 1880 le vieux panier à salade en fil métallique que le gille garnissait des produits de son jardin.

60Les ArlequinsL'arlequin est un personnage de la commedia dell'arte et il est représenté par les enfants de l'école de l'Athénée Royale de Binche. Son habit est constitué d'un justaucorps et d'un pantalon fait de pièces et de tissus bariolés. Le feutre est orné d'une queue de renard. Il tient dans sa main une spatule de bois pour mélanger la polenta. Il porte un demi-masque noir aux traits félins et démoniaques.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
61Les ArlequinsL'arlequin est un personnage de la commedia dell'arte et il est représenté par les enfants de l'école de l'Athénée Royale de Binche. Son habit est constitué d'un justaucorps et d'un pantalon fait de pièces et de tissus bariolés. Le feutre est orné d'une queue de renard. Il tient dans sa main une spatule de bois pour mélanger la polenta. Il porte un demi-masque noir aux traits félins et démoniaques.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
62Les PaysansLes deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
63Les PierrotsLe costume actuel du pierrot est constitué d'un pantalon et d'une ample blouse aux couleurs pastel (bleu, rose, jaune, vert). Il est agrémenté d'une collerette blanche de dentelle.
Le chapeau conique du personnage est terminé par des rubans blancs. Mirliton et loup constituent les attributs du Pierrot. Le premier est brandi le mardi gras au matin et le second est posé sur le visage au moment où la société est reçue à l'hôtel de ville. C'est en 1937 que fut formée la société des Pierrots au sein de l'Institut St Jean-Baptiste de la Salle, tenu par les Frères des Ecoles Chrétiennes.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
photo Allain le Quéré
64Les PierrotsLe costume actuel du pierrot est constitué d'un pantalon et d'une ample blouse aux couleurs pastel (bleu, rose, jaune, vert). Il est agrémenté d'une collerette blanche de dentelle.
Le chapeau conique du personnage est terminé par des rubans blancs. Mirliton et loup constituent les attributs du Pierrot. Le premier est brandi le mardi gras au matin et le second est posé sur le visage au moment où la société est reçue à l'hôtel de ville. C'est en 1937 que fut formée la société des Pierrots au sein de l'Institut St Jean-Baptiste de la Salle, tenu par les Frères des Ecoles Chrétiennes.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
65Les PierrotsLe costume actuel du pierrot est constitué d'un pantalon et d'une ample blouse aux couleurs pastel (bleu, rose, jaune, vert). Il est agrémenté d'une collerette blanche de dentelle.
Le chapeau conique du personnage est terminé par des rubans blancs. Mirliton et loup constituent les attributs du Pierrot. Le premier est brandi le mardi gras au matin et le second est posé sur le visage au moment où la société est reçue à l'hôtel de ville. C'est en 1937 que fut formée la société des Pierrots au sein de l'Institut St Jean-Baptiste de la Salle, tenu par les Frères des Ecoles Chrétiennes.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
69Des oranges sanguines sont lancées dans la foule qui s'efforce de les attrapper. On dit qu'il faut la percer d'un clou de girofle et la laisser sécher, pour répandre une odeur agréable dans le placard à vêtements.
70Des oranges sanguines sont lancées dans la foule qui s'efforce de les attrapper. On dit qu'il faut la percer d'un clou de girofle et la laisser sécher, pour répandre une odeur agréable dans le placard à vêtements.
71Des oranges sanguines sont lancées dans la foule qui s'efforce de les attrapper. On dit qu'il faut la percer d'un clou de girofle et la laisser sécher, pour répandre une odeur agréable dans le placard à vêtements.
82Les PaysansLes deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
83Les PaysansLes deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache.
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84Les PaysansLes deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
85Les PaysansLes deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache.
Source : http://www.carnavaldebinche.be
87Le costume du Gille est en toile de jute sur laquelle on a cousu différents motifs ainsi que des bandes de feutrine noire, rouge et jaune.
Ces motifs représentent les lions couronnés de la Belgique, ceux sans couronne des armoiries du Hainaut, des étoiles, … Au total, plus ou moins deux cents motifs dont certains demandent quatre applications successives. Les extrémités de la blouse et du pantalon sont constituées de plusieurs mètres de ruban qui ont été froncés à la manière de la collerette, sorte de pèlerine reposant sur les épaules du Gille. De 150 à 200 mètres de ruban plissé sont nécessaires pour leur confection. Ce ruban est plissé par une des rares machines qui puissent aider le louageur dans sa tâche difficile. Si le chapeau est de couleur, la collerette peut être légèrement teintée sur le bord du ruban.
Le dos du costume varie également et cela encore de nos jours. Si vous vous promenez le Mardi-Gras à Binche, vous pourrez constater que les dos des costumes de Gille sont différents. Ceci est en fait pour permettre aux louageurs de reconnaître leurs costumes.
Source : www.carnavaldebinche.be
88Le costume du Gille est en toile de jute sur laquelle on a cousu différents motifs ainsi que des bandes de feutrine noire, rouge et jaune.
Ces motifs représentent les lions couronnés de la Belgique, ceux sans couronne des armoiries du Hainaut, des étoiles, … Au total, plus ou moins deux cents motifs dont certains demandent quatre applications successives. Les extrémités de la blouse et du pantalon sont constituées de plusieurs mètres de ruban qui ont été froncés à la manière de la collerette, sorte de pèlerine reposant sur les épaules du Gille. De 150 à 200 mètres de ruban plissé sont nécessaires pour leur confection. Ce ruban est plissé par une des rares machines qui puissent aider le louageur dans sa tâche difficile. Si le chapeau est de couleur, la collerette peut être légèrement teintée sur le bord du ruban.
Le dos du costume varie également et cela encore de nos jours. Si vous vous promenez le Mardi-Gras à Binche, vous pourrez constater que les dos des costumes de Gille sont différents. Ceci est en fait pour permettre aux louageurs de reconnaître leurs costumes.
Source : www.carnavaldebinche.be
89La plume - d'une hauteur totale de 1m50 - est constituée avec 3 plumes d'autruche de 50 cm. A celle-ci vient s'ajouter une douzaine de petites plumes qui étofferont tout l'ensemble.
Le chapeau se constitue de 8 à 12 grandes plumes réalisées à l'aide de 240 à 290 petites.
Le frisage à la main de chaque grande plume au moyen d'un petit couteau donne le panache et la majesté caractéristiques du chapeau du Gille.
Le poids du chapeau est d'approximativement 3 kg.
Le tout est monté sur l'armature métallique recouverte de biais blanc sortant de la "buse" ou "forme" confectionnée en carton enveloppé de toile collée à la colle forte pour donner la rigueur nécessaire à ce support. Autrefois, cette forme était fabriquée à partir d'un simple chapeau "buse" d'où son nom.
Le chapeau est maintenu par une jugulaire en cuir blanc et posé sur la barrette, elle-même serrée par un mouchoir de cou passant sous le menton.

Source : http://www.carnavaldebinche.be/page.phtml?rub=contenu&div=8&id=34

93Le costume comprend le grelot, au cou, et la ceinture ou apertintaille, composée d'une bande de toile de lin renfermant une bourre. A cette "ceinture" sont attachées de 6 à 9 sonnettes ou clochettes en bronze à fort alliage de cuivre.
Le Gille tient le panier d'osier renversé pour indiquer qu'il n'a plus d'orange à lancer dans la foule.
95Le costume comprend le grelot, au cou, et la ceinture ou apertintaille, composée d'une bande de toile de lin renfermant une bourre. A cette "ceinture" sont attachées de 6 à 9 sonnettes ou clochettes en bronze à fort alliage de cuivre.
Le Gille tient le panier d'osier renversé pour indiquer qu'il n'a plus d'orange à lancer dans la foule.
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photo Allain le Quéré


Split, Croatie (15 photos)
1Vue de Trogir27 km au nord de Split
3Croatian airlines
4Aéroport de Split
5Sous le rempart de Split
6Cathédrale de Split
10Mausolée de Dioclétien

Île de Brač, Milna, Croatie (44 photos)
1"goélette"
2La captain
3Dîner à bord
4SplitLa traversée dure à peine 2 h jusqu'à Milna.
6Île de BracčL'île de Bracč (prononcer "bratch") est la troisième île dalmate en superficie. Elle mesure 45 km sur 12. En dialecte local son nom signifie "la Grosse". Les routes serpentent à travers les forêts de pins et de cyprès mêlés ou à travers la garrigue. Les maisons, en pierre blanche marmoréenne, étincellent. Une pierre qui fit, notamment, le palais de Dioclétien et la Maison Blanche.
7MilnaAu fond d'une baie protégée des vents, Milna est un ancien port de pécheurs, doté d'une église baroque.
On peut lire dans " Situation des droits de l'homme dans le territoire de l'ex-Yougoslavie " :
D'après une déclaration du Comité croate d'Helsinki publiée le 3 octobre 1996, un groupe de soldats de l'armée croate accompagnés de membres de l'Association croate des anciens combattants a occupé illégalement, après y avoir pénétré par effraction, plus d'une centaine de maisons de Milna, sur l'île de Bracč, entre le 15 août 1996 et la fin du mois de septembre. Les auteurs de ces actes identifiaient souvent les maisons où ils allaient s'installer illégalement en les marquant par des signes.
27PittosporumÉtymologie : du grec pitta, "résine" et sporos, "semence", allusion à la substance résineuse qui enrobe les graines. "Tobira" est le nom japonais.
Origine :
Le Pittosporum tobira est originaire de Chine, Corée du sud, Japon. D'autres espèces sont originaires de Nouvelle Zélande (Pittosporum crassifolium et Pittosporum eugenioides qui est un arbre pouvant atteindre 13 m de hauteur).
Habitat : soleil, mi-ombre, mais craint les grands froids, sols riches. Bien adapté au climat méditerranéen. Il résiste aux embruns, aux fortes températures, à la sécheresse.
Taille : 2 à 7 m.
Port : en dôme.
Troncs : multiples.
Écorce : lisse, grise.
Feuilles : persistantes, obovales, acuminées, vert-foncé, luisantes. De 5 à 7 cm de long. Elle sont presque sessiles (sans pétiole). La nervure centrale est très marquée. Elles sont groupées en verticille.
Fleurs : blanches ou jaunes citron, à pétales, de 5 mm de diamètre. Elles sont parfumées et s'épanouissent de mai à juin. Leur odeur entêtante évoque celle de l'oranger. D'autres espèces ont des fleurs rouges ou pourpre (Pittosporum crassifolium)
Fruits : capsules globuleuses, grises .
29PittosporumÉtymologie : du grec pitta, "résine" et sporos, "semence", allusion à la substance résineuse qui enrobe les graines. "Tobira" est le nom japonais.
Origine :
Le Pittosporum tobira est originaire de Chine, Corée du sud, Japon. D'autres espèces sont originaires de Nouvelle Zélande (Pittosporum crassifolium et Pittosporum eugenioides qui est un arbre pouvant atteindre 13 m de hauteur).
Habitat : soleil, mi-ombre, mais craint les grands froids, sols riches. Bien adapté au climat méditerranéen. Il résiste aux embruns, aux fortes températures, à la sécheresse.
Taille : 2 à 7 m.
Port : en dôme.
Troncs : multiples.
Écorce : lisse, grise.
Feuilles : persistantes, obovales, acuminées, vert-foncé, luisantes. De 5 à 7 cm de long. Elle sont presque sessiles (sans pétiole). La nervure centrale est très marquée. Elles sont groupées en verticille.
Fleurs : blanches ou jaunes citron, à pétales, de 5 mm de diamètre. Elles sont parfumées et s'épanouissent de mai à juin. Leur odeur entêtante évoque celle de l'oranger. D'autres espèces ont des fleurs rouges ou pourpre (Pittosporum crassifolium)
Fruits : capsules globuleuses, grises .
30PittosporumÉtymologie : du grec pitta, "résine" et sporos, "semence", allusion à la substance résineuse qui enrobe les graines. "Tobira" est le nom japonais.
Origine :
Le Pittosporum tobira est originaire de Chine, Corée du sud, Japon. D'autres espèces sont originaires de Nouvelle Zélande (Pittosporum crassifolium et Pittosporum eugenioides qui est un arbre pouvant atteindre 13 m de hauteur).
Habitat : soleil, mi-ombre, mais craint les grands froids, sols riches. Bien adapté au climat méditerranéen. Il résiste aux embruns, aux fortes températures, à la sécheresse.
Taille : 2 à 7 m.
Port : en dôme.
Troncs : multiples.
Écorce : lisse, grise.
Feuilles : persistantes, obovales, acuminées, vert-foncé, luisantes. De 5 à 7 cm de long. Elle sont presque sessiles (sans pétiole). La nervure centrale est très marquée. Elles sont groupées en verticille.
Fleurs : blanches ou jaunes citron, à pétales, de 5 mm de diamètre. Elles sont parfumées et s'épanouissent de mai à juin. Leur odeur entêtante évoque celle de l'oranger. D'autres espèces ont des fleurs rouges ou pourpre (Pittosporum crassifolium)
Fruits : capsules globuleuses, grises .

Île de Brač, Bol, Croatie (27 photos)
12h 10 de naviagtion de Milna à Bol"L'Île de Bracč est bordée de baies enchanteresses et parsemées de cyprès et de pâturages où paissent les chèvres et où les vignobles sont plantés sur les coteaux. Cette Île est connue pour ses carrières à ciel ouvert qui offrent une pierre de qualité qui perpétue la tradition millénaire des tailleurs.
L'Ile possède également de magnifiques plages de galets fins. Jadis village de pêcheurs et de vignerons, Bol, où vous ferez escale est située au sud de l'Île. Elle est devenue un centre balnéaire cosmopolitain où la jeunesse aime se retrouver pour pratiquer les sports de glisse car les vents y sont propices." (ainsi s'exprime le dépliant touristique !)
6Zlatni RatAu pied du mont Vidova (778 m), Bol est une cité renommée pour sa plage de sable fin qui s'avance dans la mer sur 600 m, Zlatni Rat ou "Corne d'or" et qui se déforme au gré des courants et des vents.
14Monastère Dominicain, BolDans le couvent, une Vierge parmi les saints fut offerte par le peintre vénitien Tintoret, en 1563, pour remercier les moines de leur hospitalité.
16Monastère Dominicain, BolDans le couvent, une Vierge parmi les saints fut offerte par le peintre vénitien Tintoret, en 1563, pour remercier les moines de leur hospitalité.
18Monastère Dominicain, BolDans le couvent, une Vierge parmi les saints fut offerte par le peintre vénitien Tintoret, en 1563, pour remercier les moines de leur hospitalité.
25Chapelle Sainte-Anne

Île de Hvar, Hvar, Croatie (58 photos)
2L'Île de HVAR (prononcer "khvar") est surnommée la “ Madère Croate ” car elle détient le record d'ensoleillement du pays. Cette Île collectionne les criques solitaires, ports et collines sauvages. Sa campagne est parfumée d'herbes du maquis et de lavande et couverte de pin. Le bourg médiéval de Hvar est située sur la côte sud-ouest de l´île au fond d'une baie magnifique protégée par les Îles Infernales.
Elle est fière de ses deux forteresses - celle de la République de Venise et celle de Napoléon -, de sa cathédrale, sa grand-place et de son délicieux petit théâtre de 1612. On y donne des représentations, devant un public réduit, car sa structure fragile a grand besoin d'être restaurée.
Le charme des rues médiévales et Renaissance opère. Pour s'y retrouver, on vous dira de repérer les fenêtres ogivales XVe, les maisons à blason XVIe et les ornements baroques XVIIe. Sans parler de l'admirable cavalcade de toits tuilés et de maisons en pierre, non jointoyées pour les plus anciennes.
3L'Île de HVAR (prononcer "khvar") est surnommée la “ Madère Croate ” car elle détient le record d'ensoleillement du pays. Cette Île collectionne les criques solitaires, ports et collines sauvages. Sa campagne est parfumée d'herbes du maquis et de lavande et couverte de pin. Le bourg médiéval de Hvar est située sur la côte sud-ouest de l´île au fond d'une baie magnifique protégée par les Îles Infernales.
Elle est fière de ses deux forteresses - celle de la République de Venise et celle de Napoléon -, de sa cathédrale, sa grand-place et de son délicieux petit théâtre de 1612. On y donne des représentations, devant un public réduit, car sa structure fragile a grand besoin d'être restaurée.
Le charme des rues médiévales et Renaissance opère. Pour s'y retrouver, on vous dira de repérer les fenêtres ogivales XVe, les maisons à blason XVIe et les ornements baroques XVIIe. Sans parler de l'admirable cavalcade de toits tuilés et de maisons en pierre, non jointoyées pour les plus anciennes.
4Cathédrale Saint-Etienne
5Cathédrale Saint-Etienne
8Clocher de la cathédrale Saint-Etienne
9Un des premiers hôtels croates
10L'Arsenal
13Palais gothique inachevé
17Cathédrale Saint-Etienne
18Clocher de la cathédrale Saint-Etienne
21Ruelles étroites
30Porte Est
32Citadelle
36Citadelle
38Vue sur la ville
44L'Arsenal
49Monastère franciscaindans l'anse Kriza
50Monastère franciscain
51Monastère franciscain
52Monastère franciscain
53Cathédrale Saint-Etienne

Korčula (101 photos)
1Nouveau départDirection l'île de Korcčula, et une première escale à Vela Lluka ; 2h20 de mer.
3Arrivée à Vela Luka
11Vela LukaDirection la ville de Korcčula ; 3h de mer.
13Arrivée à Korcčula
19Rempart de Korcčula
23Rempart du 14è siècle
24Tour Kanuvelic
27Porte de terre (Kopnena Vrata) et tour Revelin (1493-1496)
28Tour Revelin, côté villeL'arc de triomphe a été construit en 1650, au dos de la Tour Revelin, qui, elle, date du 14è siècle.
34Maison de la famille PoloC'est la maison où Marco Polo serait né en 1254... Ce qui est certain, c'est qu'il y fut capturé, le 7 septembre 1298.
35Maison de la famille PoloC'est la maison où Marco Polo serait né en 1254... Ce qui est certain, c'est qu'il y fut capturé, le 7 septembre 1298.
37Cathédrale Saint-MarcElle est dédiée principalement à Saint-Marc, mais aussi à Saint-Jacques et à Saint-Roch (en 1525 après la peste, fête 16/8). Elle fut construite en un siècle, le XVe. L'architecte Marko Andrijic la dota d'une coupole octogonale avec loggia coiffant le campanile, d'un ciborium et d'une rosace en façade.
40Le lion de Saint-Marc et Eve (!)
41Le ciboriumUn tableau du Tintoret de 1557 est en dessous.
44Le campanile
48Autel de la chapelle Saint-Michel
50Musée du trésor abbatialIl occupe l'ancien évêché, construit au XVIIè siècle. On y voit une Madonne de 1438, chef-d'oeuvre de Blaz Trogiranin, des dessins de Raphaël, Léonard de Vinci, Tiepolo. La ville fut érigée en diocèse en 1300 et le resta jusqu'en 1828.
55Chapelle Saint-PierreElle est à gauche de la cathédrale. Elle date du XIVè siècle. Sur la façade, un bas relief de Saint Pierre a été réalisé par Bonino de Milan.
56Saint-RochIl montre son genou atteint par la peste.
À la fin de sa vie, touché par la peste et par la faim, il fut nourri dans une forêt près de Plaisance par un bon chien qui lui apportait chaque jour un pain dérobé à la table de son maître. Ce-dernier, intrigué par le manège de l'animal, le suivit en forêt et découvrit notre saint blessé qu'il put ainsi secourir. Voilà pourquoi, pour parler de deux personnes inséparables, le proverbe dit : "c'est saint Roch et son chien".
Le sculpteur est Franz Cučik, de Korčula (1575).
65Le lion de Saint-Marc
77Au chevet de la cathédrale
79Hôtel de VilleIl est situé place Trg Antuna i Stjepana Radica, à côté de la Tour Revelin et de la Porte de terre. Les arcades datent de 1525 tandis que l'étage a été rajouté en 1866. En face, un pilier a été érigé en 1569.
81Palais GabrielisIl a été construit en style renaissance (fenêtres à meneaux) au XVIè siècle. Il abrite le Musée municipal.
84Tour Zakerjan
99Les couleurs de la Croatie

Parc de Mljet, Croatie (36 photos)
1Nouveau départDirection Miljet (prononcer 'Millet') ; 2h20 de mer.
2Le port de Mljet
4Monastère bénédictin Sainte-Marie-au-Milieu-du-Grand-LacTransformé en hôtel sous l'ère communiste, il revient à sa vocation première et attend l'arrivée de deux nouveaux moines.
14Monastère bénédictin Sainte-Marie-au-Milieu-du-Grand-Lac
15Décor baroque
18Décor baroque
19CoupoleL'église est de style roman et date du 12è siècle.
Transformé en hôtel sous l'ère communiste, il revient à sa vocation première et attend l'arrivée de deux nouveaux moines.
20Le cloître

Île de Šipan (124 photos)
1Nouveau départDestination : Sipan, 3 h de route.
28SipanLe village de Sipanska Luka est situé au fond d'une baie, à une extrémité de l'île, tout comme l'autre village, de Sudjurad, lui aussi au fond d'une baie, à l'aitre extrémité de l'île. Quelques hameaux parsèment la plaine intérieure fertile.
Comme Kolocep et Lopud, l'île servit de lieu de séjour estival à l'aristocratie de Raguse qui y fit construire de nombreuses palais en bord de mer, par exemple celui de la famille Sorkocevic à Sipanska Luka ou le Palais Ducal de style gothique.
60Platane d'Orient millénaire
66Feuille de Platane d'Orient
86Fleurs d'olivier
89Caroubier>>>> pour en savoir plus : http://www.lesarbres.fr/caroubier.html
98Sudjurad
99Sudjurad
100Sudjurad
101Sudjurad
102Sudjurad
103Château de SudjuradSudjurad est édifiés au fond d'une baie comme Sipanska Luka, à l'extrémité de l'île.
119Coucher de soleil sur Sipanska Luka

Lopud (24 photos)
1DépartNous quittons l'île de Šipan. Direction : l'île de Lopud.
6Vue sur Sudjurad
7LopudLopud fait partie de l'archipel des Élaphites, située entre Kolocep et Šipan, longue de 4,5 km de long et large de 2 km. L'île est couverte d'oliveraies, de vignobles et de champs d'agrumes. Le seul village de l'île, Lopud, est situé le long d'une grande baie ouverte vers le nord-ouest.
Autrefois connu sous nom grec "Delaphodia", l'île attira de nombreux aristocrates et bourgeois de Dubrovnik qui édifièrent de luxueuses palais et demeures et que l'on peut encore voir de nos jours (particulièrement ceux de la famille Dordic).
La baie de Lopud, dominée par deux forteresses, possède de nombreuses édifices religieux. L'église de la Sainte Trinité (16-17ème siècle) et non loin le monastère Franciscain avec son cloître de 1483 abandonné en 1808 forment un bel ensemble sur le flanc sud de la baie. Au-dessus se distinguent les ruines gothiques du Palais des Ducs. Un petit chemin à travers la végétation luxuriante vous emmène de l'autre côté de l'île à la plage de Sunj, l'une des plus belles plages de sable de l'Adriatique.
8LopudLopud fait partie de l'archipel des Élaphites, située entre Kolocep et Šipan, longue de 4,5 km de long et large de 2 km. L'île est couverte d'oliveraies, de vignobles et de champs d'agrumes. Le seul village de l'île, Lopud, est situé le long d'une grande baie ouverte vers le nord-ouest.
Autrefois connu sous nom grec "Delaphodia", l'île attira de nombreux aristocrates et bourgeois de Dubrovnik qui édifièrent de luxueuses palais et demeures et que l'on peut encore voir de nos jours (particulièrement ceux de la famille Dordic).
La baie de Lopud, dominée par deux forteresses, possède de nombreuses édifices religieux. L'église de la Sainte Trinité (16-17ème siècle) et non loin le monastère Franciscain avec son cloître de 1483 abandonné en 1808 forment un bel ensemble sur le flanc sud de la baie. Au-dessus se distinguent les ruines gothiques du Palais des Ducs. Un petit chemin à travers la végétation luxuriante vous emmène de l'autre côté de l'île à la plage de Sunj, l'une des plus belles plages de sable de l'Adriatique.
9LopudLopud fait partie de l'archipel des Élaphites, située entre Kolocep et Šipan, longue de 4,5 km de long et large de 2 km. L'île est couverte d'oliveraies, de vignobles et de champs d'agrumes. Le seul village de l'île, Lopud, est situé le long d'une grande baie ouverte vers le nord-ouest.
Autrefois connu sous nom grec "Delaphodia", l'île attira de nombreux aristocrates et bourgeois de Dubrovnik qui édifièrent de luxueuses palais et demeures et que l'on peut encore voir de nos jours (particulièrement ceux de la famille Dordic).
La baie de Lopud, dominée par deux forteresses, possède de nombreuses édifices religieux. L'église de la Sainte Trinité (16-17ème siècle) et non loin le monastère Franciscain avec son cloître de 1483 abandonné en 1808 forment un bel ensemble sur le flanc sud de la baie. Au-dessus se distinguent les ruines gothiques du Palais des Ducs. Un petit chemin à travers la végétation luxuriante vous emmène de l'autre côté de l'île à la plage de Sunj, l'une des plus belles plages de sable de l'Adriatique.
15Dracena
16LatanierOrigine : îles Mascareignes (île de la Réunion)
Habitat : sol très drainé, frais, fertile ou riche, acide ; exposition ensoleillée.
Taille maximale : 10 m.
Port : érigé, stipe unique
Tronc droit.
Feuillage persistant, grandes feuilles gris-vert, palmées en éventail, profondément lobées aux pétioles teintés de rouge.
Fleurs : longs panicules en été.
Fruits en grappes.
17Oranger>>> pour en savoir plus : oranger
18Néflier du Japon>>> pour en savoir plus : neflierjapon
23Chapelle Sainte-CroixElle a été offerte par Miho Pracat (Michaeli Prazzato), riche armateur et mécène de Dubrovnik.
24Église de la Sainte-TrinitéL'église date du XVI-XVIIème siècle, le monastère Franciscain de 1483. Il a été abandonné en 1808.

Dubrovnik, Croatie (175 photos)
1Arrivée à Dubrovnik
6À droite : le fort LovrijenacJuché à 36 mètres de haut sur son piton rocheux à l'ouest de la ville, près de la porte Pile, le fort Lovrijenac surveillait la mer mais aussi la route de l'ouest, bouclant la ceinture de protection de la cité fortifiée. Construit en quelques mois, la forteresse possède surtout aujourd'hui une scène réputée, régulièrement utilisée pour des représentations du Hamiet de Shakespeare.
9Fort MinčetaCette forteresse incrustée dans les remparts est située à l'extrême nord de la vieille ville. C'est de loin la tour la plus massive de Dubrovnik, d'où vous pourrez admirer l'étendue de la cité médiévale, les couleurs de la ville avec l'Adriatique en toile de fond. C'est historiquement le point central de protection de la ville entre les deux portes Pile et Ploce. Commencée en 1455 par Michelozzo Michelozzi, sa construction fut finalement achevée par l'architecte Juraj Dalmatinac en 1464.
10Les remparts de la citéConstruits entre le VIIIe et le XVIesiècle, les murs d'enceinte ont protégé la ville pendant des centaines d'année, même si celle-ci a toujours privilégié la solution diplomatique au conflit armé avec ses rivaux. Remparts parmi les plus aboutis en Europe, ils ceinturent la totalité de la vieille ville avec leurs 1 940 mètres de long. L'ouvrage est impressionnant : les murs, incroyablement conservés, peuvent atteindre 25 mètres de haut et jusqu'à six mètres d'épaisseur. Les murs de ta ville sont composés d'une partie intérieure et d'une partie extérieure, la partie extérieure sous la forme d'une enceinte plus petite et de dix bastions semi-circulaires construits par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi. La partie extérieure possède cinq bastions, trois tours circulaires et douze tours carrées ou rectangulaires, ainsi qu'une énorme forteresse, le Fort Sveti Ivan (Saint-Jean) sur le port. La ville est en outre défendue par deux grandes forteresses extérieures, l'une à Revelin du côté est, l'autre à Lovrijenac du côte sud-ouest. Du haut des remparts, vous aurez une vue imprenable sur la vieille ville, ses ruelles, le Stradun, les différentes églises et monastères, le port, les petits jardins privatifs, les toits de la ville, les collines, la côte, la mer. Une balade très marquante à faire absolument. Compter entre deux et trois heures pour faire le tour complet de la cité, à votre rythme, en prenant le temps de contempler ce qui mérite de l'être. Trois accès : depuis la porte Pile à l'église du Saint Sauveur, depuis le fort Saint-Jean (Sv. Ivan) et depuis le palais du Recteur.
11La porte Pile et le fort BokarA l'extrémité ouest de la ville sur les remparts, la tour Bokar protégeait surtout l'accès à la porte Pile et son pont. Surplombant la mer, cette forteresse ronde a été construite par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi entre 1461 et 1570. Des canons d'époque y sont conservés.
13La porte Pile
15Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà
16Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà
17Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà
18Fontaine Onofrio :Elle porte le nom de son architecte. L'eau est acheminée par un aqueduc de 12 km de long, datant du XVe siècle.
19Église Saint-Sauveur et monastère franciscain
20Le StradunPrincipale artère de la vieille cité médiévale de Dubrovnik. Appelé aussi Plaça, cette rue part de la Porte Pile et aboutit à la Porte Ploce, s'étirant sur près de 300 mètres de long. Le Stradun a été construit au XIIe siècle sur le petit ruisseau et le terrain boueux qui séparaient les deux anciennes colonies, la slave Dubrava et la romaine Ragusa. La rue fut ensuite pavée en 1468, et reconstruite après le grand tremblement de terre de 1667. Vous admirerez le pavé poli par les âges et les deux rangées de maison, qui, si elles datent quasiment toutes du XVIIe siècle, respectent le plan urbain tel qu'il avait été conçu précédemment. Une grande unité se dégage de cet axe historique. Tous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre.
21Le StradunPrincipale artère de la vieille cité médiévale de Dubrovnik. Appelé aussi Plaça, cette rue part de la Porte Pile et aboutit à la Porte Ploce, s'étirant sur près de 300 mètres de long. Le Stradun a été construit au XIIe siècle sur le petit ruisseau et le terrain boueux qui séparaient les deux anciennes colonies, la slave Dubrava et la romaine Ragusa. La rue fut ensuite pavée en 1468, et reconstruite après le grand tremblement de terre de 1667. Vous admirerez le pavé poli par les âges et les deux rangées de maison, qui, si elles datent quasiment toutes du XVIIe siècle, respectent le plan urbain tel qu'il avait été conçu précédemment. Une grande unité se dégage de cet axe historique. Tous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre.
22Palais du Recteur à droite
29Place du marché, Gunduliceva poijana
30Cathédrale (Velika Gospa)Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron.
31Cathédrale (Velika Gospa)Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron.
32Cathédrale (Velika Gospa)Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron.
33Cathédrale (Velika Gospa)
34Cathédrale (Velika Gospa)
36Cathédrale (Velika Gospa)Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron.
37Cathédrale (Velika Gospa)Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron.
38Cathédrale (Velika Gospa)Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron.
42Palais du RecteurLes deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville.
43Palais du RecteurLes deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville.
44Palais du RecteurLes deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville.
45Palais du RecteurLes deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville.
46Buste de Miho PracatLe buste de Miho Pracat (Michaeli Prazzato) a été réalisé par le maître Pietro Giacometti da Recanati en 1638, en l'honneur du riche citoyen et mécène. C'est le seul monument à la gloire d'un simple citoyen qui ait jamais été toléré par la République de Dubrovnik, celui-ci ayant légué la totalité de sa fortune à la ville-Etat.
47Palais du RecteurA l'intérieur, l'atrium est l'un des chefs-d'œuvre d'Onofrio. Les arcades Renaissance présentes sur trois des quatre côtés donnent une certaine majesté à l'endroit, tandis que sur le quatrième côté un escalier mène à une superbe balustrade baroque. Sous les arches de l'escalier se trouve une fontaine gothique.
48Palais du RecteurSur le quatrième côté un escalier mène à une superbe balustrade baroque.
49Rampe d'escalierSur le quatrième côté un escalier mène à une superbe balustrade baroque.
50Palais du RecteurAu premier étage du palais se trouvent les appartements et les bureaux du recteur. Celui-ci, qui faisait systématiquement partie d'une famille noble de la ville, était élu pour seulement un mois et restait confiné dans le palais pendant toute la durée de sa mandature, pour ne pas être distrait de sa tâche. Le musée d'Histoire de la ville, Historijski muzej, possède aujourd'hui l'essentiel de ces appartements, et présente une pinacothèque contenant des tableaux des XV et du XVIe siècles, notamment du peintre Blaz Jurjev Trogiranin, artiste éminent de Dubrovnik. Vous y trouverez aussi de nombreux costumes et meubles d'époque, ainsi qu'une importante collection de pièces de monnaie.
51Palais du RecteurAu premier étage du palais se trouvent les appartements et les bureaux du recteur. Celui-ci, qui faisait systématiquement partie d'une famille noble de la ville, était élu pour seulement un mois et restait confiné dans le palais pendant toute la durée de sa mandature, pour ne pas être distrait de sa tâche. Le musée d'Histoire de la ville, Historijski muzej, possède aujourd'hui l'essentiel de ces appartements, et présente une pinacothèque contenant des tableaux des XV et du XVIe siècles, notamment du peintre Blaz Jurjev Trogiranin, artiste éminent de Dubrovnik. Vous y trouverez aussi de nombreux costumes et meubles d'époque, ainsi qu'une importante collection de pièces de monnaie.
52Palais du RecteurAu premier étage du palais se trouvent les appartements et les bureaux du recteur. Celui-ci, qui faisait systématiquement partie d'une famille noble de la ville, était élu pour seulement un mois et restait confiné dans le palais pendant toute la durée de sa mandature, pour ne pas être distrait de sa tâche. Le musée d'Histoire de la ville, Historijski muzej, possède aujourd'hui l'essentiel de ces appartements, et présente une pinacothèque contenant des tableaux des XV et du XVIe siècles, notamment du peintre Blaz Jurjev Trogiranin, artiste éminent de Dubrovnik. Vous y trouverez aussi de nombreux costumes et meubles d'époque, ainsi qu'une importante collection de pièces de monnaie.
53Palais Sponza (Palaca Sponza)Situé sur la place Luza, place centrale de la cité au bout du Stradun, le palais Sponza a été construit entre 1516 et 1522. Originellement dessiné par l'architecte Paskoje Milicevic, il fut en fait réalisé par Petrovic, Radivojevié, et les frères Andrijicl. Son premier rôle historique fut d'être le siège des douanes de Dubrovnik. Mais son usage a varié au fil des siècles, le palais devenant rapidement un gigantesque entrepôt, ou abritant aussi l'hôtel des monnaies. Le palais n'a plus d'utilité commerciale ou administrative depuis la fin du XIXè siècle, et est aujourd'hui le siège d'un musée des bateaux mais surtout la scène de nombreux concerts et le théâtre du célèbre festival Libertas de Dubrovnik. Sur le plan architectural, le palais est typique de l'époque gothique Renaissance, style visible non seulement dans les arcades, mais aussi dans les fenêtres. Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades. C'est au palais Sponza que l'on trouve non seulement le mécanisme originel de la tour de l'horloge, mais aussi les statues de bronze de celle-ci, les statues qui ornent la tour n'étant que des copies.
54Palais Sponza (Palaca Sponza)Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades.
55Palais Sponza (Palaca Sponza)Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades.
57Petite Fontaine d'0nofrioElle a été construite en 1441 par le Milanais Pietro di Martina, contemporain d'Onofrio. De forme octogonale, elle présente sur chaque face un panneau sculpté, et est ornée d'une colonne de style baroque.
58Petite Fontaine d'0nofrioElle a été construite en 1441 par le Milanais Pietro di Martina, contemporain d'Onofrio. De forme octogonale, elle présente sur chaque face un panneau sculpté, et est ornée d'une colonne de style baroque.
60Statue du poète Ivan GundulicElle est située place du marché, Gunduliceva poijana, et date de 1893.
61Magasin sur StradunTous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre.
62Tous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre.
64Place du marché, Gunduliceva poijana
65Place du marché, Gunduliceva poijana
66Place du marché, Gunduliceva poijana
67Immeuble de la mosquée
69Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies.
70Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies.
71Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies.
72Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies.
73Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies.
79Église dominicaineOriginellement édifiée en 1315, de l'autre côté du port près de la porte Ploce, l'église dominicaine fut reconstruite après le tremblement de terre. Son style roman initial a été partiellement conservé, et l'on retrouve, comme dans la plupart des principaux monuments, ce mélange gothique et Renaissance caractéristique de Dubrovnik. Composée d'une nef principale et de deux chapelles sur les côtés (vestiges du premier édifice), ce sanctuaire recèle de nombreuses œuvres d'art du XVe siècle, de Paolo Veneziano et Lorenzo di Marino Dobricevic.
80Monastère dominicain (Bijeli fratri)Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée.
81Monastère dominicain (Bijeli fratri)Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée.
82Monastère dominicain (Bijeli fratri)Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée.
83Monastère dominicain (Bijeli fratri)Situé dans l'aile est du monastère, le musée expose essentiellement l'art des XVe et XVIe siècles : des tableaux de Bozidarevic, Hamzic et Dobricevic, des sculptures, de l'orfèvrerie ou encore de nombreux manuscrits recueillis par les dominicains à travers les siècles.
84Monastère dominicain (Bijeli fratri)Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée.
85Monastère dominicain (Bijeli fratri)Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée.
87Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
88Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
89Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
90Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
91Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
92Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
93Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
94Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
95Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
96Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
97Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
98Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
99Monastère franciscainLe monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers.
100Ancienne pharmacieSituée à l'intérieur du couvent franciscain, elle ouvrit dès 1317. Elle est la troisième plus ancienne pharmacie d'Europe, et la seule qui fonctionne toujours aujourd'hui. De très nombreux ustensiles d'époque sont conservés au musée du monastère.
101Monastère franciscain
102Ce tableau représente la ville avant le tremblement de terre, rare vestige de cette période, qui permit d'ailleurs de reconstruire la cité en respectant au mieux les anciens plans.
104Monastère franciscain
107En face, le fort Saint-JeanIl abrite le Musée maritime.
110Le fort Saint-JeanIl abrite le Musée maritime.
111Musée maritimeSitué aux premier et second étages du fort, le Musée maritime présente les reliquats de la forte activité maritime de Dubrovnik, durant l'antiquité et le Moyen Age, jusqu'à l'apogée de la ville au XVIe siècle.
124Forteresse MinčetaCette forteresse incrustée dans les remparts est située à l'extrême nord de la vieille ville. C'est de loin la tour la plus massive de Dubrovnik, d'où vous pourrez admirer l'étendue de la cité médiévale, les couleurs de la ville avec l'Adriatique en toile de fond. C'est historiquement le point central de protection de la ville entre les deux portes Pile et Ploce. Commencée en 1455 par Michelozzo Michelozzi, sa construction fut finalement achevée par
127Monastère dominicain (Bijeli fratri)
128Monastère franciscain
140Dôme de la cathédrale et clocher du monastère dominicain
148Monastère franciscain
160Fort BokarA l'extrémité ouest de la ville sur les remparts, le fort Bokar protégeait surtout l'accès à la porte Pile et son pont. Surplombant la mer, cette forteresse ronde a été construite par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi entre 1461 et 1570. Des canons d'époque y sont conservés.
162Fort BokarA l'extrémité ouest de la ville sur les remparts, le fort Bokar protégeait surtout l'accès à la porte Pile et son pont. Surplombant la mer, cette forteresse ronde a été construite par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi entre 1461 et 1570. Des canons d'époque y sont conservés.
165Clocher du monastère franciscain
169Palais Sponza (Palaca Sponza)Situé sur la place Luza, place centrale de la cité au bout du Stradun, le palais Sponza a été construit entre 1516 et 1522. Originellement dessiné par l'architecte Paskoje Milicevic, il fut en fait réalisé par Petrovic, Radivojevié, et les frères Andrijicl. Son premier rôle historique fut d'être le siège des douanes de Dubrovnik. Mais son usage a varié au fil des siècles, le palais devenant rapidement un gigantesque entrepôt, ou abritant aussi l'hôtel des monnaies. Le palais n'a plus d'utilité commerciale ou administrative depuis la fin du XIXè siècle, et est aujourd'hui le siège d'un musée des bateaux mais surtout la scène de nombreux concerts et le théâtre du célèbre festival Libertas de Dubrovnik. Sur le plan architectural, le palais est typique de l'époque gothique Renaissance, style visible non seulement dans les arcades, mais aussi dans les fenêtres. Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades. C'est au palais Sponza que l'on trouve non seulement le mécanisme originel de la tour de l'horloge, mais aussi les statues de bronze de celle-ci, les statues qui ornent la tour n'étant que des copies.
170Cathédrale au fond et Palais du Recteur à gauche
171Église Saint-Blaise à gauche et Palais Sponza
172Chapelle Saint Joseph

Pau, Jaca (13 photos)
1Grand Prix de Pauà notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ...
2Grand Prix de Pauà notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ...
3Porsche 356 SC (1964)à notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ...
4Grand Prix de Pauà notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ...
5Jaca, forteresseLa forteresse est une construction pentagonale, munie d'un épais rempart. Le roi Felipe II ordonna sa construction dans un faubourg de Jaca parce qu'il craignait une invasion des hérétiques français. Sa construction commença en 1595, sur le plan réalisé par Tiburcio Spanoqui et se termina au XVIIIème siècle. On accède à l'intérieur par une porte de style maniériste sur laquelle apparaît l'écu des autrichiens.
Elle est occupée par l'armée, qui est très présente à Jaca.
Des cerfs et biches ont été acclimatés dans les fossés.

>>> situation de Jaca
6Jaca, forteresseLa forteresse est une construction pentagonale, munie d'un épais rempart. Le roi Felipe II ordonna sa construction dans un faubourg de Jaca parce qu'il craignait une invasion des hérétiques français. Sa construction commença en 1595, sur le plan réalisé par Tiburcio Spanoqui et se termina au XVIIIème siècle. On accède à l'intérieur par une porte de style maniériste sur laquelle apparaît l'écu des autrichiens.
Elle est occupée par l'armée, qui est très présente à Jaca.
Des cerfs et biches ont été acclimatés dans les fossés.

>>> situation de Jaca
7JacaCet hôtel fait "montagnard". En hiver, la neige est abondante et les pistes proches. Les ruelles de la ville ancienne sont étroites pour s'abriter du soleil et du vent.

>>> situation de Jaca
8Jaca, CathédraleSes origines remontent au XIème siècle, sous le règne de Sancho Ramirez, phase durant laquelle se définit son plan rectangulaire avec trois absides alignés et trois nefs.
Avec l'arrivée du trône d'Alfonse I "El batallador" commence une seconde étape de construction qui se termine au milieu du XIIème siècle.
La troisième étape se situe au milieu du XVème siècle, et concerne la construction de nouvelles chapelles et des stalles du chœur, et la réparation du toit.

Au XVIème siècle, dans un contexte d'expansion commerciale et d'essor de la bourgeoisie locale, la cathédral de Jaca acquiert une nouvelle splendeur dans laquelle la vieille cathédrale romane se transforme en un magnifique espace dans lequel triomphe l'ornement de la renaissance. Cette période termine au XVIIème siècle, avec l'agrandissement qui occupe l'ancien cimetière capitulaire.

9Jaca, CathédraleSes origines remontent au XIème siècle, sous le règne de Sancho Ramirez, phase durant laquelle se définit son plan rectangulaire avec trois absides alignés et trois nefs.
Avec l'arrivée du trône d'Alfonse I "El batallador" commence une seconde étape de construction qui se termine au milieu du XIIème siècle.
La troisième étape se situe au milieu du XVème siècle, et concerne la construction de nouvelles chapelles et des stalles du chœur, et la réparation du toit.

Au XVIème siècle, dans un contexte d'expansion commerciale et d'essor de la bourgeoisie locale, la cathédral de Jaca acquiert une nouvelle splendeur dans laquelle la vieille cathédrale romane se transforme en un magnifique espace dans lequel triomphe l'ornement de la renaissance. Cette période termine au XVIIème siècle, avec l'agrandissement qui occupe l'ancien cimetière capitulaire.

10Mise au tombeauJaca, musée diocésain
Origine : église Saint Vincent, Larues, XVème siècle
11Vierge et enfantJaca, musée diocésain
12ChristJaca, musée diocésain
Origine : Arista.
13Saint-AndréJaca, musée diocésain

Yebra de Basa (47 photos)
1Yebra de Basa (884m)Les toits anciens sont de lauze (détrônée par la tuile) et l'on remarque les pittoresques cheminées surmontées de leur pierre destinée à chasser sorcières et mauvais esprits, les "espantabrujas".

Randonnée au départ de Yebra par les chemins en belvédère, par les ermitages de Serrablo et Santa Orosia.
Temps de marche : 4 à 5 heures. Dénivelé : 700 m.

>>> situation.
2Yebra de Basa (884m)Randonnée au départ de Yebra par les chemins en belvédère, par les ermitages de Serrablo et Santa Orosia.
Temps de marche : 4 à 5 heures. Dénivelé : 700 m.

>>> situation.
3Coquelicots
4Hepatica nobilisFamille : Ranunculaceae
Taille : 10-20 cm.
Tige : courte, fibreuse, nue, velue.
Feuilles coriaces, persistantes, en coeur à la base, à 3 lobes entiers, égaux, divergents, souvent rougeâtres en dessous.
Fleurs bleues, roses ou blanches, solitaires, d'avril à juin ; involucre à 3 folioles ovales, entières, sessiles, rapprochées de la fleur et simulant un calice ; sépales 6-9, glabres
Fruits : akènes.
Habitat : bois, broussailles, lieux herbeux et rocheux.
Altitude maxi : 2200 m.
5RavineLa terre est ravinée, sans plante pour la retenir. La couleur grise est celle de l'argile. Ce type de paysage rappelle les Bardenas (vers Tudela, en Navarre) où des films de western sont tournés.
7Genêt très épineuxEchinospartum horridum (Vahl.) Rothm, Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl.
Genêt très épineux ou Hérisson
Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm).
Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées.
Feuilles opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses.
Fleurs en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm).
Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm.
Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers.
Sol : calcaire.
8Genêt très épineuxEchinospartum horridum (Vahl.) Rothm, Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl.
Genêt très épineux ou Hérisson
Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm).
Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées.
Feuilles opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses.
Fleurs en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm).
Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm.
Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers.
Sol : calcaire.
9Santolina chamaecyparissusSantoline petit-cyprès ou Lavande coton
Famille : Asteraceae
Feuilles blanchâtres, pennatifides, lobes courts subcylindriques disposés sur 4 rangs. L'odeur de son feuillage ressemble à celle de la lavande d'où son nom.
Fleur jaune, en boule.
Fruit : akène anguleux.
Elle a longtemps été utilisée par les Grecs comme vermifuge et pour éloigner les mites.
10RavineLa terre est ravinée, sans plante pour la retenir. La couleur grise est celle de l'argile. Ce type de paysage rappelle les Bardenas (vers Tudela, en Navarre) où des films de western sont tournés.
11RavineLa terre est ravinée, sans plante pour la retenir. La couleur grise est celle de l'argile. Ce type de paysage rappelle les Bardenas (vers Tudela, en Navarre) où des films de western sont tournés.
12Halte du chemin de croixLégende de Santa Orosia :
Santa Orosia était une princesse de la Bohême, fille de Mojslav, née en 855, qui arriva en Aragon pour se marier avec un prince de ces montagnes, Fortún Garcés. En chemin, elle fut enlevée par un chef maure qui voulut l'épouser. Le prince et l'évêque qui accompagnaient la princesse furent assassinés. Après avoir refusé, elle se réfugia dans les montagnes de Yebra, se cachant dans les cavernes. Mais le chef maure la retrouva et la fit exécuter : elle eut les mains et les pieds coupés, puis la tête tranchée. Un berger à l'inspiration divine a retrouvé le corps, le 25 juin 1072. La tête fut enterrée à Yebra et le reste à Jaca. Santa Orosia est patronne de Jaca et de Yebra et sa fête, le 25 juin, donne lieu à des processions.

13Primevère
16MyosotisNom scientifique : Myosotis sylvatica
Famille : Borraginacées Borraginaceae
Floraison : Mais-septembre
Hauteur : 5-25 cm
17Poudingueamas de pierre roulées, cimentées entre elles.
18Genêt très épineuxEchinospartum horridum (Vahl.) Rothm, Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl.
Genêt très épineux ou Hérisson
Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm).
Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées.
Feuilles opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses.
Fleurs en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm).
Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm.
Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers.
Sol : calcaire.
19Gymnadenia conopseaOrchis moucheron
Famille : Orchidacées
Classe : Monocotylédones
Taille : 20 à 50 cm.
Tige : cylindrique, assez fine, glabre, parfois rougeâtre au sommet.
Feuilles : linéaires, lancéolées, groupées par 4 à 8, de couleur vert uni, de plus en plus petites en remontant la tige.
Fleurs : Longue inflorescence (environ 50 fleurs), couleur rose. Sépales latéraux horizontaux, le médian formant un casque avec les pétales.
Habitat : côteaux secs, prés, broussailles, marécages, alpages,
Sols calcaires.
Altitude maxi : 2 700 m.
21TorrentLes torrents dévalent en direction de la rivière Basa.
22TorrentLes torrents dévalent en direction de la rivière Basa.
23Église de la grotte7 ermitages jalonnent le chemin jusqu'au Port (col) de Santa Orosia.
24Église de la grotteLégende de Santa Orosia :
Santa Orosia était une princesse de la Bohême, fille de Mojslav, née en 855, qui arriva en Aragon pour se marier avec un prince de ces montagnes, Fortún Garcés. En chemin, elle fut enlevée par un chef maure qui voulut l'épouser. Le prince et l'évêque qui accompagnaient la princesse furent assassinés. Après avoir refusé, elle se réfugia dans les montagnes de Yebra, se cachant dans les cavernes. Mais le chef maure la retrouva et la fit exécuter : elle eut les mains et les pieds coupés, puis la tête tranchée. Un berger à l'inspiration divine a retrouvé le corps, le 25 juin 1072. La tête fut enterrée à Yebra et le reste à Jaca. Santa Orosia est patronne de Jaca et de Yebra et sa fête, le 25 juin, donne lieu à des processions.
25Église de la grotte

>>> situation.
26Église de la grotte
27Église de la grotte
28Saxifrages

Nom latin : Saxifragia longifolia.
Famille : saxifragacées.
Taille : inflorescence 80 cm de longueur.
Feuille de 4 à 9 cm de long, disposées en rosette, bordées de pores incrustés de calcaire.
Floraison : juin à août. Fleurs portées sur une longue tige constituée de rameaux portant cinq à quinze fleurs blanches formant un ensemble allongé pouvant atteindre 80 cm de long. Le pied ne fleurit qu'une seule fois puis meurt.
Habitat : fissures des rochers calcaires.
Altitude : de 1700 à 2400 m.
En Aragon, elle est utilisée comme abortive mais elle est toxique voire mortelle.

29Cascade
30Saxifrages

Nom latin : Saxifragia longifolia.
Famille : saxifragacées.
Taille : inflorescence 80 cm de longueur.
Feuille de 4 à 9 cm de long, disposées en rosette, bordées de pores incrustés de calcaire.
Floraison : juin à août. Fleurs portées sur une longue tige constituée de rameaux portant cinq à quinze fleurs blanches formant un ensemble allongé pouvant atteindre 80 cm de long. Le pied ne fleurit qu'une seule fois puis meurt.
Habitat : fissures des rochers calcaires.
Altitude : de 1700 à 2400 m.
En Aragon, elle est utilisée comme abortive mais elle est toxique voire mortelle.

31Ermitageun des 7 ermitages du chemin de croix.
Légende de Santa Orosia :
Santa Orosia était une princesse de la Bohême, fille de Mojslav, née en 855, qui arriva en Aragon pour se marier avec un prince de ces montagnes, Fortún Garcés. En chemin, elle fut enlevée par un chef maure qui voulut l'épouser. Le prince et l'évêque qui accompagnaient la princesse furent assassinés. Après avoir refusé, elle se réfugia dans les montagnes de Yebra, se cachant dans les cavernes. Mais le chef maure la retrouva et la fit exécuter : elle eut les mains et les pieds coupés, puis la tête tranchée. Un berger à l'inspiration divine a retrouvé le corps, le 25 juin 1072. La tête fut enterrée à Yebra et le reste à Jaca. Santa Orosia est patronne de Jaca et de Yebra et sa fête, le 25 juin, donne lieu à des processions.

32SpiréesLa croix marque le point culminant de la falaise.
33Ermita d'o Zoque
35Église Santa OrosiaAltitude : 1575 m.
Le plateau est dominé par le Mont Oturia, 1921 m.
36Église Santa OrosiaÀ côté du sanctuaire, une source jaillit de la bouche de trois têtes taillées dans le roc.
37SabiñánigoLa descente se fait par une zone découverte, vertigineuse, au pied de la falaise, pour atteindre le village abandonné (ou presque) de San Roman.
Au loin, Sabiñánigo et le Belvédère de la Peña Oroel.

>>> situation.
39La forêt comprend des chênes à petites feuilles coriaces, Quercus faginea, des genévriers, du houx, des bouleaux dans les parties basses.
40Village abandonné de San Roman
41Village abandonné de San Roman
44Un petit air de Colorado
45Champs de bléde retour à notre hotel, à 10 km à l'ouest de Jaca.

Belvédère de la Peña Oroel (39 photos)
1Belvédère de la Peña OroelRandonnée 2 : Belvédère de la Peña Oroel et ermitage de la Virgen de la Cueva.
Temps de marche : 4 à 5 heures. Dénivelé à la montée de 500 m., dénivelé à la descente de 500 m.
Il va falloir monter tout là haut !

>>> situation de Jaca
2Les Pyrénéesle pic à gauche est le Pico de la Garganta
3Forêt de pinsLe chemin attaque un fort dénivelé en direction sud, à travers un bois de pins.
5Primevère
7Vers le Nord40 mn de marche : le bois de pins laisse place à un bois de sapins qui surveillent alors le sentier.
8Halte
91h25 : le col qui donne accés au dos de la Peña. 1.727m.
Une fois atteint cette zone, connue comme les Neveras, nous suivons la marche par la crête jusqu'au sommet occidental.
10Arrivée1h45 : aprés avoir dépassé les douces pentes finales on atteint la croix de Oroel, 1.769m. Devant nos yeux apparaissent d'importants sommets pyrénéens, Peña Forca, Bisaurín, Aspe, Collarada, Telera, Tendenera...et la ville de Jaca au pied de ces montagnes, alors qu'au sud nous pouvons découvrir des chaînes comme celle de San Juan de la Peña, Oturia et Guara.
11GentianeNom scientifique : Gentiana lutea L.
Origine du nom :le premier usage de la plante reviendrait à Gentius, roi d'Illyrie, au IIe siècle av J.-C.
Tige unique, robuste, entièrement glabre.
Taille : 1 m et plus.
Feuilles : en rosette à la base, puis opposées et embrassantes, longues de 30 cm, larges de 15 cm.
Fleurs de 5 à 6 pétales jaune d'or, étalés en étoile, groupées par 5 à 10 à l'aisselle des feuilles formant cuvette. La plante ne fleurit pour la première fois qu'après 10 ans de végétation, de juin à août. Elle vit plus de 50 ans.
Fruits : graines de 1 milligramme disséminées par le vent.
Habitat : au-dessus de 800 m et jusqu'à 1800 m dans les prés maigres, les pâturages.
Utilisation : en médecine ("teinture de gentiane" : faire macérer 15 j, 30 à 50 g de racines, dans un litre d'alcool à 45¡, filtrer). En cas d'indigestion prendre 10 gouttes sur un morceau de sucre.
Vin de gentiane : Mettre à macérer 10 jours 30 g de racine sèche de gentiane dans un litre de vin blanc. Reconstituant, lorsqu'on a eu la grippe, ou en cas d'anémie, prendre un verre avant les repas car il augmente les défenses. Contre la goutte, prendre un verre avant les repas.
12Vers le Sud2h00 : commence la déviation de l'ermitage. Suivre le petit sentier qui descend par le versant sud de la Peña. L'itinéraire passe par des prairies et on s'introduit dans une pinéde dense.
13Église de l'ermite
14Chemin de l'ermitagealtitude : 1460 m.
24Rose sauvage
27Entretien de la forêt
29Parvino de Ordoles
30Parvino de Ordoles
31Parvino de Ordoles
32Parvino de Ordoles
33Parvino de Ordoles
34Parvino de Ordoles
35Parvino de Ordoles
36Parvino de Ordoles
37Parvino de Ordoles
38Parvino de Ordoles
39Fin de randonnéeLa chaîne vue du Sud (versant Sud). La dénivelée au retour est de 760 m.

Monasterio de San Juan de la Peña (34 photos)
1Monasterio Nuevo de San Juan de la PeñaEn 1675, un incendie ravage le monastère d'en bas : l'hôtellerie, le réfectoire et les riches archives du monastère brûlèrent. On reconstruit le monastère sur le plateau : c'est le "nouveau" monastère (1693-1705), qui adopte le style en vogue, le baroque.
En 1835, la séparation de l'église et de l'État appauvrit le monastère qui se vide de ses moines.
2Le monastère Nuevo est sur ce plateau. La randonnée nous conduit vers l'ancien monastère, à flanc de falaise.
3Monastère de San Juan de la PeñaAu début de l'invasion musulmane, un groupe d'ermites se réfugient dans les Sierras, contreforts des Pyrénées. En l'an 920, le comte d'Aragón Galindo Aznarez II conquiert les terres du Sud du fleuve Aragón, arrivant depuis la Sierra de San Juan de la Peña. Il fonde un premier monastère, dédié aux saints Julian et Basilisa. La légende raconte qu'un chevalier, égaré, trouve par hasard la grotte où vécut un ermite. À cet emplacement, il décide d'élever l'église, la plus ancienne, en partie dans la grotte, de style roman "mosarabe" (chrétien en teritoire musulman, dénotant une influence arabe).
En 1084, les reliques de San Indalecio, premier évêque d'Alméria,sont translatées.
En 1101, Sancho Ramírez, second roi d'Aragón, reconstruit le monastère au-dessus de l'ancien et en fait le panthéon des rois d'Aragón. Il le dote d'immenses domaines territoriaux et commence la construction de la seconde église, de style roman pur (voûte en berceau plein cintre). Les nobles enterrés font des dons au monastère.
Au XIIème siècle, le monastère perd la parrainage papal et des rois aragonais qui déplacent leur capitale à Huesca.
Mais en 1157, menacé par la ruine, le monastère est sauvé grâce à l'intervention du Pape Adriano VI et du comte Ramón Berenger IV, prince d'Aragón. En 1245, l'abbé Iñigo conclut un accord qui permet au monastère d'inaugurer une autre période de paix et de devenir un des principaux centres bénédictins d'Aragón.

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4Monastère de San Juan de la Peñachapelle romane de l'église haute.
5Chapiteau : annonciation
6Chapiteau : Adam et Ève
7Chapiteau : Caïn tue Abelil utilise un marteau pour son forfait.
9Chapiteau : Marthe demande la résurrection de Lazare
10Chapiteau : Jésus choisit ses apôtres
11Chapiteau : la cène
12Plaque tombale
13CloîtreLe cloître date du XIIème siècle. Il est sous la roche.
Cette situation est peu commode pour les moines, à cause des éboulements de roches, de l'excès d'humidité et de l'absence de lumière du soleil.
14Saxifrage

Nom latin : Saxifragia longifolia.
Famille : saxifragacées.
Taille : inflorescence 80 cm de longueur.
Feuille de 4 à 9 cm de long, disposées en rosette, bordées de pores incrustés de calcaire.
Floraison : juin à août. Fleurs portées sur une longue tige constituée de rameaux portant cinq à quinze fleurs blanches formant un ensemble allongé pouvant atteindre 80 cm de long. Le pied ne fleurit qu'une seule fois puis meurt.
Habitat : fissures des rochers calcaires.
Altitude : de 1700 à 2400 m.
En Aragon, elle est utilisée comme abortive mais elle est toxique voire mortelle.

15Saxifrage

Nom latin : Saxifragia longifolia.
Famille : saxifragacées.
Taille : inflorescence 80 cm de longueur.
Feuille de 4 à 9 cm de long, disposées en rosette, bordées de pores incrustés de calcaire.
Floraison : juin à août. Fleurs portées sur une longue tige constituée de rameaux portant cinq à quinze fleurs blanches formant un ensemble allongé pouvant atteindre 80 cm de long. Le pied ne fleurit qu'une seule fois puis meurt.
Habitat : fissures des rochers calcaires.
Altitude : de 1700 à 2400 m.
En Aragon, elle est utilisée comme abortive mais elle est toxique voire mortelle.

16Genêt très épineux et saxifrageGenêt très épineux
Echinospartum horridum (Vahl.) Rothm., Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl.
Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm).
Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées.
Feuilles : opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses.
Fleurs : en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm).
Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm.
Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers.
Sol : calcaire.
18Santa Cruz de la Serós"de la Serós" vient de "de los sorores", allusion aux sœurs bénédictines du monastère.
Le village est sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
19Santa Cruz de las Seros
20Église Santa Maria de Santa Cruz de las SerosRamiro Ier fonda un monastère pour femmes, et notamment pour sa cadette, Urraca. Doña Sancha, veuve du Comte Ermengol III de Urgel la rejoint en 1070. Elles habitaient dans une tour accolée à l'église. Cette tour est décorée de fenêtres géminées. Une chambre est construite au-dessus de la nef, d'où l'allure inhabituelle de l'église vue de l'extérieur.
21Église Santa MariaRamiro Ier fonda un monastère pour femmes, et notamment pour sa cadette, Urraca. Doña Sancha, veuve du Comte Ermengol III de Urgel la rejoint en 1070. Elles habitaient dans une tour accolée à l'église. Cette tour est décorée de fenêtres géminées. Une chambre est construite au-dessus de la nef, d'où l'allure inhabituelle de l'église vue de l'extérieur.
26Portail de l'égliseC'est une réplique de celui de la Cathédrale de Jaca.
Deux lions encadrent le monogramme du Christ pour interdire l'accès aux impurs.
Le Chrisme ou Chrismon est le monogramme du Christ. Il est formé par l'association des deux premières lettres du mot "XPIS", ou "Christ" en grec : X (khi) et P (rhô). Il est inscrit dans un cercle, symbole de Dieu et de l'éternité, ou dans une couronne, symbole de la victoire obtenue par la résurrection du Christ. Le chrisme est accompagné de l'Alpha et de l'Oméga, première et dernière lettre de l'alphabet grec. Signification : Le Christ est le Commencement et le terme de toute la création.
Il apparaît au début du IVème siècle avec l'empereur Constantin qui le fait figurer sur son étendard.
Le terme "pax" est aussi doté de signification symbolique : le "P" fait allusion au "padre", "A" au fils et "X" à l'Esprit saint. Le nombre de lettres, 3, est aussi le nombre de la trinité.
27Le plan de l'église est en croix latine. La nef est couverte en voûte plein cintre.
.
28Fenêtre géminéeDans la chambre haute, au-dessus de la nef.
29Retable Santo Entierro
30VitrailLa lumière est tamisée par le vitrail en pierre translucide.
32Cheminée typiqueCes cheminées sont dites sarrasines.
34Toit de lauze

Villalongua à Agüero (86 photos)
1Lac articiel de la Peña

>>> situation de Jaca
10Retenue de la Peña
11Retenue de la Peña
12Champ d'avoine
13Champ d'avoine
14Champ d'avoine
15Champ de blé
18Magasin de campagne
21Coquelicots
22Coquelicots
23Coquelicots
24Coquelicots
25Coquelicots
26Coquelicots
27Coquelicots
28Coquelicots
29Coquelicots
30Coquelicots
31Villalongua
32Randonnée de Villalongua à Agüero
33Randonnée de Villalongua à AgüeroDurée : 6 h. On part de 700 m, gravit doucement le versant nord de pour atteindre un col à 1100m. Entre temps, on a atteint le village abandonné de Salinas Vieja - les anciennes salines. Il ne reste que des murs de grés rouges, que l'on découvre tels des des donjons en ruine.
La montée s'effectue sur des terres boisées et ombragées.
Le passage du col débouche sur une plaine aride, en pente douce. La route est encore longue vers Agüero, mais des fontaines que notre guide sait trouver vont nous apporter la joie d'une eau fraîche. Je prends la tête et m'arrête une demi-heure attendre le groupe, à l'abri des seuls arbres, des pins. Bien m'en a pris, car notre chemin bifurque là et je n'avais pas rien remarqué. Si j'avais continué sur ma lancée, sur le chemin principal, je serais arrivé à une dizaine de kilomètres de notre destination, sans éléphone où appeler, sans connaître écisément notre rendez-vous, ni même l'hôtel pour le soir !
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34VillalonguaLe village a été construit en remplacement de Salinas Vieja, qui était trop isolée et inaccessible en voiture.
41Doigts de féesLe chemin passe au pied de doigts de fées qui se dressent fièrement, telles des sentinelles, qui n'admettent de converser qu'avec les vautours. Un moment je reconnais une forme, que je prends pour une personne, tout en haut. J'en déduis que le sommet est accessible. Avec les jumelles, je réalise qu'il s'agit d'un grand oiseau, un vautour sans doute.
42Le chemin passe au pied de doigts de fées qui se dressent fièrement, telles des sentinelles, qui n'admettent de converser qu'avec les vautours. Un moment je reconnais une forme, que je prends pour une personne, tout en haut. J'en déduis que le sommet est accessible. Avec les jumelles, je réalise qu'il s'agit d'un grand oiseau, un vautour sans doute.
47Salinas Vieja en ruineVoilà ce qui reste d'un antique village dédié à la collecte du sel : des murs muets, aussi fiers que des ruines de quelques donjons.
48Salinas Vieja en ruineVoilà ce qui reste d'un antique village dédié à la collecte du sel : des murs muets, aussi fiers que des ruines de quelques donjons.
Le chemin passe en contre-bas.
49Vous voyez le "W" formé par la falaise : le col est là.
51Vue depuis le col, à 1100 mvue vers le Nord
53le col et son W est en haut.
54Le passage du col a débouché sur une plaine aride, en pente douce.
55Assoiffés, des arbres sont morts.
56Papillon butinant une Centaurée jacéeLe nom d'espèce "Centaurée" proviendrait du grec ladzô en liaison avec la couleur violette de la fleur. Dans la forêt de Pélion, Héraklès extermina les centaures sauvages, mais il blessa le sage Chiron qui dut se guérir avec l'herbe appelée aujourd'hui Centaurée.
57Papillon
58Papillon
59Papillon
60Papillon
62Les Mallos d'AgüeroLes mallos sont des formations constituées de galets noyés dans une sorte de ciment naturel.
72Agüero et ses MallosLe village se blottit autour de son église romane Santiago du XIIe siècle.
73Agüero et ses MallosLe village se blottit autour de son église romane Santiago du XIIe siècle.
80Verger d'amandiers
81Verger d'amandiers
83Murillo de GállegoIl a fait très chaud toute la journée et vers 19h, l'orage a éclaté. Des trombes d'eau se sont abattues sur la chaussée et les champs desséchés. Laissant mes bagages à l'hôtel où nous venions d'arriver, j'ai couru "couvrir" l'événement, escaladant des murets et des pentes pour profiter du spectacle malgré la pluie qui m'a trempé complètement.
84Mallos de Riglosvu de Murillo de Gállego.
85Murillo de Gállego et Mallos de Riglos
86Murillo de Gállego et Mallos de Riglos

Mallos de Riglos (25 photos)
1Mallos de Riglosvu de Murillo de Gállego.
Ce jour, il n'a pas plu. Le soleil couchant libère les couleurs ocres les plus chaudes de la paroi.
2Mallos de Riglosvu de Murillo de Gállego.
Ce jour, il n'a pas plu. Le soleil couchant libère les couleurs ocres les plus chaudes de la paroi.
3Murillo de Gállego et Mallos de Riglosl'église
4Entre Murillo de Gállego et Mallos de Riglos
5Entre Murillo de Gállego et Mallos de Riglos
6Mallos de RiglosAltitude : 678 m.
Situation : à 56 km de Jaca, 42 km de Huesca, 129 km de Pamplona, 89 km du col du Somport, 108 km du col du Portalet et 122 Km de Saragosse.
Au pied des falaises de pudding est blotti le petit village de Riglos avec ses maisons blanches.
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7église Nuestra Señora del MalloMallos de Riglos
Altitude : 678 m.
Situation : à 56 km de Jaca, 42 km de Huesca, 129 km de Pamplona, 89 km du col du Somport, 108 km du col du Portalet et 122 Km de Saragosse.
>>>> situation
8Mallos de RiglosAltitude : 678 m.
Situation : à 56 km de Jaca, 42 km de Huesca, 129 km de Pamplona, 89 km du col du Somport, 108 km du col du Portalet et 122 Km de Saragosse.
Monuments naturels formés par l'érosion, ces doigts de pudding ocres sont constitués de galets noyés dans une sorte de ciment naturel. Au pied de ces falaises est blotti le petit village de Riglos avec ses maisons blanches. Une des parois abrite une des plus importantes colonies de vautours fauves d'Europe.
>>>> situation
9Mallos de Riglos
10Mallos de Riglos
11Mallos de Riglos
12Mallos de Riglos
13Mallos de Riglos
14Sierra de Loarre
15Mallos de RiglosMonuments naturels formés par l'érosion, ces doigts de pudding ocres sont constitués de galets noyés dans une sorte de ciment naturel.
16Mallos de RiglosMonuments naturels formés par l'érosion, les parois de pudding ocres sont constitués de galets noyés dans une sorte de ciment naturel. Une des parois abrite une des plus importantes colonies de vautours fauves d'Europe. Elles attirent les varapeurs chevronnés.
17Mallos de RiglosAu pied des falaises de pudding est blotti le petit village de Riglos avec ses maisons blanches.
18Mallos de Riglos
19Mallos de Riglos
21au loin Mallos de Riglos.
à droite, le rio Gállego, étymologiquement "celui qui vient des Gaules", est le paradis des rafteurs. L'eau est abondante à la fonte des neiges, et encore en début d'été. J'ai pu me baigner, en prenant garde au fort courant.
22Berger
23Verger d'amandiers
24au loin, Mallos de Riglos
25Verger d'amandiersau loin, Mallos de Riglos

Palma, Espagne, Majorque (24 photos)
1Rue Monti-Sion
2Cloître Saint-FrançoisCommencé en 1286, il a été terminé au 14è siècle.
Les arcades sont découpées en plusieurs lobes et reposent sur de fragiles colonnettes.
3Basilique Saint-FrançoisElle date du 13è-14è siècle et elle est de style gotrhique.
4Can Vivotcour intérieure d'un hôtel particulier.
5Plaza Mayor
6Art nouveauRue Constitucio, à côté du Passeig des Born.
7Art nouveauPlace Pescateria
8Olivier centenaireplace Cort, face à la Mairie.
9Olivier centenaire
10Petit commerce
11Marché centralLa capitale Palma a une population de 360.000 habitants sur les 720.000 habitants que compte Majorque
12Marché central
13Marché central
14Vu de l'AlmudainaL'Almudaina est ancien palais des princes maures Walis qui a été remanié par les rois de Majorque au 14è et 15è siècle.
15CathédraleConstruite sur des murailles plus anciennes, la Cathédrale se reflétait dans les eaux de la baie, jusqu'à la construction d'une voie rapide. Le principe du bassin a été préservé.
16Cathédrale"La Seu" (14è-16è siècle).
Sa construction débuta sous le règle de Jaime II sur une superficie de 7 000 m2. Elle comprend trois nefs. De magnifique vitraux polychrome et une rosace de 12,5 m de diamètre illuminent l'intérieur de la Cathédrale. La tour de la Campana, contient 9 cloches. La plus grande, nommée "N'Eloi", mesure 2 mètres de diamètre et pèse 4 tonnes et demi.
17Cathédrale"La Seu" (14è-16è siècle).
Sa construction débuta sous le règle de Jaime II sur une superficie de 7 000 m2. Elle comprend trois nefs. De magnifique vitraux polychrome et une rosace de 12,5 m de diamètre illuminent l'intérieur de la Cathédrale. La tour de la Campana, contient 9 cloches. La plus grande, nommée "N'Eloi", mesure 2 mètres de diamètre et pèse 4 tonnes et demi.
18CathédraleConstruite sur des murailles plus anciennes, la Cathédrale se reflétait dans les eaux de la baie, jusqu'à la construction d'une voie rapide. Le principe du bassin a été préservé.
20régate internationale de vieux gréments
21régate internationale de vieux gréments

Pollença, Espagne, Majorque (6 photos)
1PollençaUne vedette vous emmène jusqu'aux plages de Formentor.
2chemin de Pollença à Cala San Vincente (1h15 de marche)
3Cala San VincenteSes eaux turqoises et limpides sont riches en poissons colorés.
4Vallée de BóquerÀ gauche, l'arête calcaire de Cavall Bernat culmine à 360 m. La végéattion comprend des palmiers nains, les garballos, typiques de Majorque.
5Cala de BóquerCette crique est accessible par mer ou par un chemin pédestre (1h30 de Pollença). La plage est en graviers et entourée de rochers.
6Peu d'herbe pour cette chèvre qui cherche de l'ombre, par 35° C.

Sóller, Espagne, Majorque (19 photos)
1SóllerVue depuis la halte du train touristique. Ce train part de Palma et franchit la Serra Tramuntane pour atteindre Sóller en 1h30.
Sóller est au fond d'un vallon, entouré de hautes montagnes, à 3 km de la côte et du port de Sóller. La ville s'est enrichie à la fin du 19è siècle de constructions d'Art nouveau, construites par des habitants ayant émigré en France.
La façade de la cathédrale fut reconstruite à cette époque.
2Biniaraix
3BiniaraixLe village est niché parmi les vergers d'orangers (oranges légèrement amères).
4Oliviers en terrasse
5Pin, caroubier (vert foncé) et olivier
6Cactus au jardin botanique
7Oranger
8Olivier, pin et oranger
11Banque de Sóllergrille de fenêtre en fer forgé
La Banque de Sóller a été fondée en 1889 avec les dépôts des émigrants enrichis en France.
L'immeuble moderniste a été construit par Joan Rubió en 1912.
13Oliviers en terrasse
14Puerto de SóllerOn atteint Puerto de Sóller avec un petit tram électrique, racheté à la société des Tram de Bilbao.
15Puerto de Sóllerpointus de la Méditerranée
16Puerto de Sóller
17Puerto de Sóller
18Puerto de Sóller
19Orage en mer

Héraklion (38 photos)
1Palais de Cnossos

Hania [Rania] - La Canée, Crète (36 photos)
4Mosquée des Janissaires
22Saint-Nicolas
23Cathédrale orthodoxe

Gorge Haghia Irini (Sainte-Irène), Crète (19 photos)
2Oliviers
6Oliviers
10Pins (Pinus brutia)
19Sougia [Souia]

Plateau d'Omalos, Crète (22 photos)
1Le plateau est situé à 1130 m d'altitude, entouré de montages. C'est le point de départ des excursions et randonnées vers la gorge Sainet-Irène (vers le Sud-ouest), vers le Mont Giglios (au Sud) et les Gorges de Samaria, au Sud-ouest.
7Aubépines
15Aubépines

Mont Giglios, Crète (47 photos)
1Xiloskalo : départ des randonnées (1200 m)
2Cyprès (Cypressus sempervirens)
4Cyprès (Cypressus sempervirens)
5Cyprès (Cypressus sempervirens)
39Chêne vert (Quercus coccifera)
40Érable persistant (Acer sempervirens)

Gorges de Samaria, Crète (68 photos)
1Le Mont GigliosCelui que nous avons gravi la veille.
5Pins (Pinus brutia)
6La descente vers la gorge de Samaria600 m de dénivellée, tout en escaliers de pierre.
13Agrimi (chèvre sauvage)
14Chapelle Saint-Jean
16Halte à la fontaineInutile de se charger d'eau : les fontaines d'eau de source sont tous les 2 km. Ce monsieur, ici, terminera à dos de mulet, ayant sans doute surestimé sa capacité de marcheur.
21Grenadier
22Troncs enlacés de figuier
23Tronc de vieil olivier
27Village abandonné de Samaria
49Partie la plus étroiteElle fait 3 m de largeur.
54Village abandonné, à la sortie de la gorge
63Ancien fort vénitien
68Aghia Roumeli

de Haghia Roumeli à Marmara et Loutro, Crète (60 photos)
1Aghia Roumeli
14Église Saint-PaulConstruite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin.
15Église Saint-PaulConstruite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin.
16Église Saint-PaulConstruite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin.
17Église Saint-PaulConstruite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin.
27Marmara
28Gorge de Marmara
34Caroubier
36Tamaris
39Ancien fort vénitien Pikilassos
44Loutro
45Loutro
46Loutro
47Loutro
48Loutro
53Loutro
59Retour sur Héraklion

Moulins de Kinderdijk (35 photos)
1Moulin de NederwaardIls ont été construits en 1738. Ils sont circulaires en pierre.
9Moulin n°2
10Moulin n°2
11Moulin n°2
15Moulin de l'OverwaardIls ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume.
16Moulin n°2
19Moulin n°2
20Moulin n°2
31Moulin de l'OverwaardIls ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume.
32Moulin de l'OverwaardIls ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume.
33Moulin de l'OverwaardIls ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume.
34Moulin de l'OverwaardIls ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume.
35Moulin de l'OverwaardIls ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume.

Jardin de Keukenhof (83 photos)
1Entre Alphen et Lisse
9Fancy frills (rose, frangée)
16White emperor (blanc), Sparkling fire (rouge)
18Hearts Delight
24Double HâtiveFleurs doubles, légèrement frangées jaune vif. Elle ressemble à une pivoine.
Variété obtenue en 1955
Hauteur : 30 cm
37Tulipa Desert Sun
38Tulipa Desert Sun
40Tulipe AbbaC'est une tulipe à fleur double (beaucoup de pétales), de couleur rouge et jaune au centre.
41Tulipe AbbaC'est une tulipe à fleur double (beaucoup de pétales), de couleur rouge et jaune au centre.
50Tulipe 'Pieter De Leur'
51Muscari armeniacum 'Blue spike'Famille : Liliacées
Origine : Arménie. "Muscari" signifie "bulbe" en turc.
Habitat : sol assez fertile, bien drainé, en sous-bois ou au soleil.
Taille : 20 cm.
Feuilles : d'août à mai (donc en hiver). Les feuilles résistent à -18°C. Elles se dessèchent en été. Il faut les couper à ce moment-là..
Fleurs : en avril, mai ; bleues odorantes en forme de grappe. Pour obtenir un bel effet dès la première année, les muscaris doivent être plantés en groupes. L'association avec d'autres bulbes, comme des tulipes jaunes ou rouges, est idéale pour mettre en valeur le bleu intense de leurs fleurs.
Reproduction : bulbe, semis. Se plante à l'automne. Divisez les touffes devenues trop denses tous les trois ans après le jaunissement des feuilles en été.
75Noordwijk aan ZeeBloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
76Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
77Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
78Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
79Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
80Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
81Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
82Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.
83Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004.

Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris.

Budapest (100 photos)
1Hôtel GellertLe bâtiment est de style Art Nouveau. Les bains furent ouverts en 1918.
2Bains GellertLe bâtiment est de style Art Nouveau. Les bains furent ouverts en 1918.
3Bains GellertLe bâtiment est de style Art Nouveau. Les bains furent ouverts en 1918.
4Bains Gellert
5Bains Gellert
6Bains Gellert
7Bains Gellert
8Bains Gellert
9Bains Gellert
10Bains Gellert
11Bains Gellert
12Bains Gellert
13Bains Gellert
14Hôtel Gellert
15Hôtel Gellert
16Hôtel Gellert
17Au pied du Mont Gellért
18Pont Élisabeth
19Le Parlement et le Pont de Chaînes
20Le Pont de Chaînes
21Place Saint Georges (Szent György tér)
22Place Saint Georges (Szent György tér)
23Vu du Palais Royal
24Vu du Palais Royal
25Vu du Palais Royal
26Le Parlement
27Palais RoyalLa bâtisse du Moyen Age vit le jour sous le règne des princes angevins, puis fut agrandi successivement par les rois Louis Le Blanc, Sigismond de Luxembourg qui donna au château sa renommée européenne. Puis Mathias Corvin en modifia l'aspect en ajoutant une aile mais les Turcs détruisirent totalement l'édifice. Le nouvel édifice fut terminé à la fin du XVIIIe siècle dans un style néo-baroque. L'intérieur de ses ailes renferment la galerie Nationale hongroise, le musée d'Art Contemporain et le musée d'Histoire de Budapest.
28Palais RoyalLa bâtisse du Moyen Age vit le jour sous le règne des princes angevins, puis fut agrandi successivement par les rois Louis Le Blanc, Sigismond de Luxembourg qui donna au château sa renommée européenne. Puis Mathias Corvin en modifia l'aspect en ajoutant une aile mais les Turcs détruisirent totalement l'édifice. Le nouvel édifice fut terminé à la fin du XVIIIe siècle dans un style néo-baroque. L'intérieur de ses ailes renferment la galerie Nationale hongroise, le musée d'Art Contemporain et le musée d'Histoire de Budapest.
34Église Mátyás et la colonne de la peste
37Bastion des pêcheurs
38Façades baroques
41Palais GreshamConstruit en 1907, dans un style Art nouveau en rupture avec le style art nouveau classique, le Palais Gresham a intégré dans sa façade des motifs et des formes diverses. Il a été transformé en hôtel de luxe.
42Le Pont de Chaînes
43Le Pont de Chaînes
44Palais Royal
45Palais GreshamConstruit en 1907, dans un style Art nouveau en rupture avec le style art nouveau classique, le Palais Gresham a intégré dans sa façade des motifs et des formes diverses. Il a été transformé en hôtel de luxe.
46Le Pont de Chaînes
47Le Parlement
50Hôtel Gellert
52Hôtel Gellert
53Les Halles centralesSitué place Vámház, les Halles Centrales ont été construites par le bureau Eiffel.
60En face des HallesFaçades baroques jaunes, vert pistaches, ...
64Alagút (tunnel face au Pont de Chaînes)Il mesure 350 mètres de long.
Le kilomètre 0 de Budapest se trouve à gauche de l'Alagút (le tunnel) face au Pont de Chaînes (Lánchíd ou Széchenyi Lánchíd du nom de son concepteur) et de la place Clark Ádám.
Le tunnel a été construit en 1856.
65Galerie Nationale hongroise
66Église Sainte-Élisabeth (Erzsébet)
69Place Ferenciek tereElle tire son nom de l'empereur François II.
70Place Ferenciek tereElle tire son nom de l'empereur François II.
71Deák F. terLes trois lignes de métro s'y croisent.
Au sud de place Deák, « l'Evangélikus templom », construit dans un style classique ne reçoit de visiteur que lors des offices religieux. La plus grande Synagogue d'Europe est au coin de l'ancien ghetto juif dans Dohány utca.
72Deák F. terLes trois lignes de métro s'y croisent.
Au sud de place Deák, « l'Evangélikus templom », construit dans un style classique ne reçoit de visiteur que lors des offices religieux. La plus grande Synagogue d'Europe est au coin de l'ancien ghetto juif dans Dohány utca.
73Place Élisabeth (Erzsébet ter)Belváros est le cœur, le centre nerveux de la ville. Le quartier de « la ville intérieure » forme un arc de cercle allant du Lánchíd (pont de Chaînes ou pont Széchenyi) au Szabadság híd (pont de la Liberté). Les murs d'enceintes qui s'élevaient au XVe siècle longeaient Deák Ferenc utca au nord, Károly et Múzeum körút à l'est et Vámház körút au sud. Cette frontière fut rasée au XVIIIe siècle pour permettre l'expansion de la ville.
74Basilique Saint-Étienne (Szent István)L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques.
75Basilique Saint-Étienne (Szent István)L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques.
76Basilique Saint-Étienne (Szent István)L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques.
77Basilique Saint-Étienne (Szent István)L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques.
78Église rue VáciBelváros est le cœur, le centre nerveux de la ville. Le quartier de « la ville intérieure » forme un arc de cercle allant du Lánchíd (pont de Chaînes ou pont Széchenyi) au Szabadság híd (pont de la Liberté). Les murs d'enceintes qui s'élevaient au XVe siècle longeaient Deák Ferenc utca au nord, Károly et Múzeum körút à l'est et Vámház körút au sud. Cette frontière fut rasée au XVIIIe siècle pour permettre l'expansion de la ville.
80Rue Varosn. (Belvaros)Belváros est le cœur, le centre nerveux de la ville. Le quartier de « la ville intérieure » forme un arc de cercle allant du Lánchíd (pont de Chaînes ou pont Széchenyi) au Szabadság híd (pont de la Liberté). Les murs d'enceintes qui s'élevaient au XVe siècle longeaient Deák Ferenc utca au nord, Károly et Múzeum körút à l'est et Vámház körút au sud. Cette frontière fut rasée au XVIIIe siècle pour permettre l'expansion de la ville.
81Rue Eötvös, entre avenue Andrássy et la gare de l'Ouest
82Rue Eötvös
83Gare de l'Ouest, Place NyugatiCe fut la première gare de Pest et les plans furent réalisés par un architecte de l'entreprise de Gustave Eiffel. La Place Nyugati fut appelée Place Karl Marx pendant la période soviétique.
8560, avenue AndrássyCet immeuble abrita les services secrets hongrois, pendant la période communiste. Rénové en 2001, il a été ransformé en musée de la terreur « Terror háza ».
87Place des Héros
88Place des Héros
89Place des Héros
90Place des Héros
92Musée des Beaux-Arts
93Musée des Beaux-Arts
94Musée des Beaux-Arts
95Musée des Beaux-Arts
97Rue Király
98Bois-de-Ville (Városliget)
99Mûrier
100Cèdre, de Csontvary Kosztka

Slovénie : Ljubjlana (56 photos)
1Angle Dalmatinova et Miklosičeva
2Angle Dalmatinova et Miklosičeva
3Angle Dalmatinova et Miklosičeva
4Angle Dalmatinova et Miklosičeva
51, rue Cigaletova
6Angle Tavcarjeva et Miklosičeva
7Angle Dalmatinova et Miklosičeva
9Rue Miklosičeva
12Place Presernov
13Magasin Centromerkur (1902-03 )
14Magasin Centromerkur
15Magasin Centromerkur
16Église Franciscaine de l'Annonciation (1646-1660 )
17Place Presernov
18Rue Wolfova
19Rue Tomsičeva
20Parlement
2216 rue Slovenska
23Bibliothèque nationale et universitaire Narodna in Univerzitetna Knijžnica (1936-40)

Elle est considéré comme étant le chef d'oeuvre de Jozé Plecnik [ Jožé Plečnik ], le plus grand architecte slovène.

24Bibliothèque nationale et universitaire Narodna in Univerzitetna Knijžnica (1936-40)

Elle est considéré comme étant le chef d'oeuvre de Jozé Plecnik [ Jožé Plečnik ], le plus grand architecte slovène.

25Srednja sola (université)
26Slovene National Theatre, 1 Erjavceva
29Le pont des CordonniersLe pont enjambe la Ljubljanica.
30Le Triple Pont ou Tromostovje de Jozé Plečnik et l'église Franciscaine de l'Annonciation
31Cathédrale Saint Nicolas
32Hôtel de villeConstruit en 1484
34Slovene National Theatre, 1 Erjavceva
36Slovene National Opera and Ballet Theatre, 11 Cankarjeva
37Le pont du dragonLe pont du dragon a été construit en 1901 et c'est un des premiers en béton armé en Europe.
39Église Franciscaine de l'Annonciation (1646-1660 )

Slovénie, Sud : Chevaux Lipizzan, Piran, grotte de Skocjanske (72 photos)
2Chevaux Lipizzanvoir ce lien
3Chevaux Lipizzanvoir ce lien
13Koper
14Piran
15Église Saint-GeorgesL'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637.
La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise.
17Église Saint-GeorgesL'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637.
La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise.
26à droite, la maison Beneske HisaLa maison rouge (Beneske Hisa) date du XVème siècle. Elle a été construite par un riche marchand vénétien pour une jeune fille de la localité dont il était tombé amoureux.
30Église Saint-Georges
32Mairie
37Église Saint-GeorgesL'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637.
La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise.
39Église Saint-GeorgesL'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637.
La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise.
54Grotte de Skocjanske
55Grotte de Skocjanske

Slovénie, Nord : Bled (32 photos)

 Prague : Vieille ville (60 photos)
1Saint François SéraphinL'église appartenait au monastère des Croisés à l'Étoile rouge, seul ordre de chevalerie en Bohême à l'époque des croisades.
2Sainte-Madeleine
3Église Saint SauveurElle appartient au collège jésuite Clementinum.
13ClementinumLe collège jésuite fut fondé en 1556. Les Jésuites ont été envoyés pour ramener le pays dans le giron catholique après la réforme de Jan Hus.
14Bibliothèque
16Mairie
21Hôtel de ville de la vieille villeL'aspect actuel de l'Hôtel de Ville est né de l'achat successif de maisons bourgeoises, de la construction de nouveaux bâtiments et grâce aux nombreuses reconstructions. Parmi les parties les plus importantes au point de vue architecture, il faut compter le sous-sol roman de la maison U kohouta (Au coq), du début du XIIIème siècle, la tour gothique renfermant la Chapelle des Archers de la deuxième moitié du XIVème siècle, l'ancienne salle du Conseil au plafond d'époque de la deuxième moitié du XVème siècle et la fenêtre Renaissance de la deuxième maison datant d'après 1526. En ce qui concerne la décoration l'attention du visiteur est retenue par la statuette "Ecce Homo" (début du XVème siècle) placée dans l'ancienne salle du Conseil, le cadran de l'horloge, de 1865, dû au talent de Josef Manes, et les mosaïques exécutées d'après les cartons du peintre Mikolas Ales, en 1904. La spécificité de l'Hôtel de Ville de la Vieille-Ville est l'horloge construite par Nicolas de Kadan en 1410 et perfectionnée par Maître Hanus en 1490. Au cours de l'Insurrection de mai 1945 l'Hôtel de Ville, en majeure partie ses dépendances de l'époque plus récente, fut incendié par les fascistes allemands. Sa partie historique a été rénovée entre 1945 et 1956.
22Horloge astronomiqueL'aspect actuel de l'Hôtel de Ville est né de l'achat successif de maisons bourgeoises, de la construction de nouveaux bâtiments et grâce aux nombreuses reconstructions. Parmi les parties les plus importantes au point de vue architecture, il faut compter le sous-sol roman de la maison U kohouta (Au coq), du début du XIIIème siècle, la tour gothique renfermant la Chapelle des Archers de la deuxième moitié du XIVème siècle, l'ancienne salle du Conseil au plafond d'époque de la deuxième moitié du XVème siècle et la fenêtre Renaissance de la deuxième maison datant d'après 1526. En ce qui concerne la décoration l'attention du visiteur est retenue par la statuette "Ecce Homo" (début du XVème siècle) placée dans l'ancienne salle du Conseil, le cadran de l'horloge, de 1865, dû au talent de Josef Manes, et les mosaïques exécutées d'après les cartons du peintre Mikolas Ales, en 1904. La spécificité de l'Hôtel de Ville de la Vieille-Ville est l'horloge construite par Nicolas de Kadan en 1410 et perfectionnée par Maître Hanus en 1490. Au cours de l'Insurrection de mai 1945 l'Hôtel de Ville, en majeure partie ses dépendances de l'époque plus récente, fut incendié par les fascistes allemands. Sa partie historique a été rénovée entre 1945 et 1956.
33Place StaromestskéLa place est née au 12e siècle et a été témoin de nombreux événements historiques. A côté de l'Hôtel de Ville de la Vieille Ville et l'église Notre-Dame-du-Tyn, la place est dominée de l'église baroque Saint-Nicolas (K. I. Dienzenhofer, 1732 - 1735), du palais rococo Kinsky dans lequel est placée aujourd'hui la collection de l'art graphique de la Galerie Nationale, la maison A la Cloche en Pierre - un palais urbain gothique du 14e siècle, aujourd'hui des salles de concert et d'exposition de la Galerie de la capitale de Prague, le monument Maître Jean Hus de Ladislav Saloun (1915). Dans le pavage, l'endroit de l'exécution de 27 seigneurs tchèques (21 juin 1621) et le méridien pragois sont marqués.
35église Saint-NicolasL'église se trouve au centre naturel de Malá Strana, ou depuis 1283 se trouvait l'église paroissiale Saint Nicolas, qui fut remplacée au Moyen-âge par une petite église romane entourée d'un marché. La construction baroque du complexe des Jésuites, y compris la cure et l'école paroissiale, dura de 1673 a 1752. Les travaux furent entamés par maître P. Bos, rapidement remplacé par Giovanni Domenico Orsi. La phase essentielle de la construction commença apres 1702 selon de nouveaux plans, qui sont attribués a Kryštof Dientzenhofer. Apres sa mort, l'ouvre fut terminée par son fils Kilián Ignác Dientzenhofer. Des messes furent célébrées dans un partie de l'église des 1711, mais le complexe ne fut completement terminé qu'en 1771. Cette meme année furent terminés la tour et le clocher (Anselmo Lurago).
36église Saint-Nicolas
37église Saint-NicolasLa voûte est décorée de fresques sur la vie de Saint Nicolas, oeuvre de Jan Lukáš Kracker, vers 1760.
38église Saint-Nicolas
46Ancienne Mairie
47église Notre-Dame du TynLa construction gothique sacrée la plus imposante de Prague, édifiée depuis la moitié du 14e siècle jusqu'au début du 16e siècle ; à la fin du 17e siècle l'intérieur a été transformé en style baroque. L'église est intéressante entre autre par les peintures d'autel de Karel Skréta et le tombeau de l'astronome Tycho de Brahe.
50église Saint-Jacques
53Maison municipaleConstruction "art nouveau" des années 1905 - 1911 (A. Balsanek, O. Polívka) à la place de l'ancienne cour du Roi, le siège des rois tchèques de la fin du 14e siècle jusqu'à l'année de 1483. La riche décoration "art nouveau" intérieure et extérieure est œuvre d'A. Mucha, M. Svabinsky, J. V. Myslbek et d'autres. Au centre de l'édifice se trouve la monumentale salle Smetana - le lieu du festival musical Le Printemps de Prague, de toute une série d'autres concerts et d'actions sociales importantes.

Prague : quartier Secession (44 photos)
1Angle Kaprova/Maiselova
3Rue Maiselova
4Angle Platnérská/Valentinská
7Rue Kaprova
9Angle Valentinská/Kaprova
10Rue Valentinská
11Rue Valentinská
135 rue Kaprova
14Angle Kaprova/Valentinská
157 rue Kaprova
16Angle Zatecká/Kaprova
19Angle Maiselova/Síroká
206 rue Vezenská
21Rue Vezenská
2320 rue Dlouhá
2421 rue Dlouhá
2515 rue Dlouhá
2636 rue Dlouhá
27Angle Vezenská/Vkolkovne
28Rue Síroká
29Rue Síroká
32Rue Brehová
33Rue Brehová
34Rue Brehová
38Rue Parízká
39Rue Parízká
40Angle Parízká/Síroká
41Rue Parízká
42Rue Parízká
43Rue Parízká
4410 rue Síroká
3Crystal, 1885
4Vase Anna Boudova, 1885
5Maria Kirshenerova, 1903
6Josef Eiselt, 1924
7Les trois femmes, Josef Drahonovsky, 1936
8Portrait Caroline-Auguste Bomperatri, Abraham Constantin
9Ivoire, Europe centrale, vers 1850
10Statuette, 1920
11Vizner, 1904
12Paysage, 1928, Vaclav Spaha
13Grotte dans la forêt, 1865, Courbet
14Paysage aux arbes, 1928, Derain
15Route au village, 1912, Vlaminck
20Parc Letenské
27Église Saint-François vue du parc Letenské
28Havanský Pavillon
29Grotte dédiée à Julius ZEYER(Prague, 1841 — Prague, 1901). D'origine juive alsacienne, grand voyageur, de vaste culture et d'extrême sensibilité, il est un des représentants majeurs de la génération des poètes « cosmopolites » regroupés autour de la revue Lumír (1877-1898). Outre des cycles épiques nourris de mythes tchèques, français ou celtes, il a laissé des pièces et des récits historiques, deux romans psychologiques, fortement autobiographiques.
30Pavillon royal de plaisance - BelvédèreLe belvédère fut offert par le roi Ferdinand I à son épouse, la reine Anne. Erigé entre 1535 et 15632 par des architectes italiens (Paolo della Stella), c'est un monument important de la Renaissance. Il abrite aujourd'hui des expositions d'art. Dans le jardin, la Fontaine chantante a été coulée par Tomas Jaros entre 1564 et 1568. Elle doit son nom au bruit produit par les gouttes d'eau tombant dans la vasque.

Prague : les synagogues (28 photos)
1Ancienne mairie de quartier
3Synagogue KlausExposition permanente : Traditions et coutumes juives.
6Synagogue MaiselExposition permanente : Histoire des Juifs en Bohème et en Moravie du 10e au 18e siècle.
7Couronne de Maximilien II, 1576
8Hall de cérémonie
9Synagogue espagnole
13Synagogue espagnoleExposition permanente : Histoire des Juifs en Bohème et en Moravie depuis l'émancipation jusqu'à nos jours.
17Vieux cimetière juifIl a été créé dans la moitié du 15e siècle et servait de lieu d'enterrement jusqu'en 1787. Parmi 12.000 pierres tombales gothiques, Renaissance et baroques, se trouvent également les tombeaux du rabbin Jehuda Loew (1609) et de Mordechaj Maisel (1601).

Prague : Nord de la Vlatava (28 photos)

 Prague : Pont Charles (40 photos)
1Le Pont Charles est le plus ancien pont de Prague. Sa construction, entamée en 1357, fut dirigée par Petr Parler. La plupart des statues baroques datent du 18ème siècle, les plus célèbres sont l'oeuvre de F.M. Brokoff et Matyas Braun. Le pont repose sur 16 piles et mesure 520 mètres de long et 10 mètres de largeur.
2Le Pont Charles est le plus ancien pont de Prague. Sa construction, entamée en 1357, fut dirigée par Petr Parler. La plupart des statues baroques datent du 18ème siècle, les plus célèbres sont l'oeuvre de F.M. Brokoff et Matyas Braun. Le pont repose sur 16 piles et mesure 520 mètres de long et 10 mètres de largeur.

 Prague : Malá Strana (40 photos)
1Rue MosteckáCette tour, construite par Petr Parler, donne accès au pont Charles. Sa décoration sculptée avec les statues de Charles IV et de Venceslas (copies) et les armoiries des contrées sur lesquelles régnait Charles IV en font une des plus belles tours médiévales en Europe.
3Église Saint Nicolas
4Place Malostranské
512 rue Nerudova
7Palais Thun-Hohenstein, ambassade d'Italie20 rue Nerudova
827 rue Nerudova, À la clé d'or
13Rue Uvoz
16Le château
17Palais Martinic, sgraffites
18Palais toscan, Place Hradcanské
19Angle du Palais toscan
21Notre-Dame de LoretteAncien lieu de pèlerinage (la "Santa Casa" de Lorette fut construite entre 1626 et 1631). L'église de la Nativité de Jésus-Christ édifiée entre 1734 et 1735. La façade donnant sur la place est œuvre de K. I. Dientzenhofer (qui reprit les travaux commencés par son père). Le clocher abrite un carillon de 30 clochettes qui font retentir un cantique. Trésor de Notre-Dame-de-Lorette: objets liturgiques dont l'ostensoir "Soleil de Prague" serti de plus de 6 000 diamants et pesant 12 kg.
25Santa CasaAncien lieu de pèlerinage (la "Santa Casa" de Lorette fut construite entre 1626 et 1631). L'église de la Nativité de Jésus-Christ édifiée entre 1734 et 1735. La façade donnant sur la place est œuvre de K. I. Dientzenhofer (qui reprit les travaux commencés par son père). Le clocher abrite un carillon de 30 clochettes qui font retentir un cantique. Trésor de Notre-Dame-de-Lorette: objets liturgiques dont l'ostensoir "Soleil de Prague" serti de plus de 6 000 diamants et pesant 12 kg.
26Santa Liberata crucifiée
27Abbaye de StrahovFondé en 1140 par le prince Vladislav II pour l'ordre des Prémontrés. Église de l'Assomption de la Vierge (plan roman d'origine est encore perceptible), bâtiments du Musée commémoratif de la littérature nationale, bibliothèque historique: Salle théologique (baroque, 1671-1679) et Salle philosophique (Empire, 1785 à 1794) avec fresque du plafond de F. A. Maulbertsch.
28Fondé en 1140 par le prince Vladislav II pour l'ordre des Prémontrés. Église de l'Assomption de la Vierge (plan roman d'origine est encore perceptible), bâtiments du Musée commémoratif de la littérature nationale, bibliothèque historique: Salle théologique (baroque, 1671-1679) et Salle philosophique (Empire, 1785 à 1794) avec fresque du plafond de F. A. Maulbertsch.
32Église Saint Nicolas
33Place Pohorelec
37Belvédère de la Colline de Petrín
39Karel Macha, poète
41Rue Rícní
45Ambassade de France
46Mur John Lennon
48Rue Cihelná
50Place Wallenstein
52Notre-Dame de la VictoireLa construction de premier baroque date de 1611 (architecte G. M. Filippi), reconstruite entre 1634 - 1669 par l'ordre des carmélites. L'église est célèbre grâce à la statuette de cire d'origine espagnole du Petit Jésus de Prague offerte par Polyxena de Lobkovic (1628).
53Rue Zelezné Lávky
54Vu sur la vieille ville depuis Malastrana

 Prague : Château de Prague (60 photos)
3Midi : relève de la garde
7Salle Vladislav (1497-1500)
9Salle de garde des registres
13Basilique Saint-Georges
19Crucifix de Valkerica, 1728
20Jupiter, Palais Clam-Gallas, 1715, Matthias Bernhard Braun
21Saint-Jean Népomucène, 1721
22Vue du Palais royal
25Cathédrale Saint-Guy
33Nef gothique
39Verrière d'Alfons Mucha
49Ruelle d'or
53Jeu de Paume, décoré de sgraffites