Liste des images (noms, commentaires) | ||
Région : Europe | ||
Carnaval de Venise 2002 (52 photos) | ||
32 | Carnaval 2000 | |
33 | Confettis | |
34 | Palais des Doges | |
35 | Le Rialto | construit entre 1588 et 1591 sur les plans de l'architecte Antonio da Ponte. |
36 | Palazzo Dolfin-Manin | aujourd'hui, Banca d'Italia, demeure de Ludovico Manin, 120ème et dernier doge de Venise (il abdique après l'occupation par les armées napoléoniennes). Façade de Jacopo Sansovino (1536-75). La galerie est accessible au public, ce qui était une innovation pour cette époque. |
37 | Vue du Rialto vers le Nord | |
38 | Palazzo Loredan | aujourd'hui, mairie de Venise, ancien entrepôt du XIIè-XIIIè siècle, relié à droite au Palazzo Farseti-Dandolo, également entrepôt contemporain. |
39 | Palazzo Dolfin-Manin sous la pluie ? | |
40 | Palazzo Dolfin-Manin déformé | |
41 | Campo San Anzolo, Palazzo Duodo | du XVè siècle. Le compositeur Cimarosa y vécut et mourut en 1801 |
42 | Campo San Anzolo, Palazzo Gritti | du XVè siècle |
43 | Palazzo Bembo face à Ca' Loredan | de style gothique tardif, construit au XVè pour le poète Bembo. |
44 | Hôtel Bauer Grünwald | façade de Sardi, néogothique, fin du XIXè siècle |
45 | Canal | |
46 | Marché | |
47 | Marché | |
48 | Scuola Carmini, escalier | Association de bienfaisance fondée en 1594. Elle comptait en 75.000 membres en 1675, soit la moitié de la population vénitienne |
49 | Scuola Carmini, stucs de l'escalier | |
50 | Scuola Carmini : Plafond | Madonna del Carmelo peint par Giambattista Tiepolo entre 1739 et 1744. Celui-là est une copie, l'original étant tombé accidentellement et maintenant exposé verticalement. |
51 | San Francesco della Vigna, cloître | |
Carnaval de Binche 2004![]() | ||
1 | Binche est une ville moyenâgeuse, fortifiée, qui connut un siège du temps de François Ier et acquit prospérité sous Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint et mère de Philippe II d'Espagne. C'est elle qui organisa des fêtes fastueuses, du 22 au 31 août 1549, en l'honneur de son frère Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne. On dit que la légende des défilés de Gilles, pour le carnaval remonte à cette époque. Le Gille évoquerait l'indien d'Amérique, que les explorations outre atlantique de cette époque ont permis aux Européens de découvrir. | |
2 | Binche est une ville moyenâgeuse, fortifiée, qui connut un siège du temps de François Ier et acquit prospérité sous Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint et mère de Philippe II d'Espagne. C'est elle qui organisa des fêtes fastueuses, du 22 au 31 août 1549, en l'honneur de son frère Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne. On dit que la légende des défilés de Gilles, pour le carnaval remonte à cette époque. Le Gille évoquerait l'indien d'Amérique, que les explorations outre atlantique de cette époque ont permis aux Européens de découvrir. | |
3 | Binche est une ville moyenâgeuse, fortifiée, qui connut un siège du temps de François Ier et acquit prospérité sous Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint et mère de Philippe II d'Espagne. C'est elle qui organisa des fêtes fastueuses, du 22 au 31 août 1549, en l'honneur de son frère Charles Quint et de son fils Philippe II d'Espagne. On dit que la légende des défilés de Gilles, pour le carnaval remonte à cette époque. Le Gille évoquerait l'indien d'Amérique, que les explorations outre atlantique de cette époque ont permis aux Européens de découvrir. | |
7 | Les chats sont partout : sur le bord de fenêtre, au numéro ('6') et sur le rideau. | |
8 | Un chapeau emplumé suffit à la fête. | |
11 | Le Gille tient à la main le ramon Jadis véritable balai de rue, il était lancé à la tête de quiconque se rendait au Carnaval sans faux-nez ou sans masque. Le domestique du Gille allait le récupérer en faisant une pirouette au nez de la victime. Au fil des temps, la tête de balai s'est réduite en un ramon constitué de brindilles de saule soigneusement assemblées par trois ligaments de rotin. De nos jours, le Gille lance son ramon au passant qu'il désire saluer: il le récupère lui-même et embrasse la connaissance qui l'attend, le ramon en main. Le Gille est "armé" de son ramon uniquement le mardi gras au matin car l'après-midi, il porte le panier d'osier rempli d'oranges sanguines. | |
12 | Le Gille tient à la main le ramon Jadis véritable balai de rue, il était lancé à la tête de quiconque se rendait au Carnaval sans faux-nez ou sans masque. Le domestique du Gille allait le récupérer en faisant une pirouette au nez de la victime. Au fil des temps, la tête de balai s'est réduite en un ramon constitué de brindilles de saule soigneusement assemblées par trois ligaments de rotin. De nos jours, le Gille lance son ramon au passant qu'il désire saluer: il le récupère lui-même et embrasse la connaissance qui l'attend, le ramon en main. Le Gille est "armé" de son ramon uniquement le mardi gras au matin car l'après-midi, il porte le panier d'osier rempli d'oranges sanguines. | |
13 | Le Gille boit du champagne dès le bon matin, mais un verre de bière ne fait pas de mal. L'apertintaille, quant à lui, est composé d'une bande de toile de lin renfermant une bourre. A l'extérieur, la toile, large de 10 à 15 cm, est garnie de brins de laine rouge et jaune. A cette "ceinture" sont attachées de 6 à 9 sonnettes ou clochettes en bronze à fort alliage de cuivre. Les premiers apertintailles connus, au dix-neuvième siècle, comportaient des grelots ou, alternativement, une clochette et un grelot. Les clochettes sont de taille et de poids variables, les plus grosses se trouvant au centre de l'apertintaille et les plus petites aux extrémités. Elles produisent des sons plus ou moins graves. Le poids de l'apertintaille varie entre 2 et 3 kg. Source : www.carnavaldebinche.be | |
14 | Le costume du Gille est en toile de jute sur laquelle on a cousu différents motifs ainsi que des bandes de feutrine noire, rouge et jaune. Ces motifs représentent les lions couronnés de la Belgique, ceux sans couronne des armoiries du Hainaut, des étoiles, Au total, plus ou moins deux cents motifs dont certains demandent quatre applications successives. Les extrémités de la blouse et du pantalon sont constituées de plusieurs mètres de ruban qui ont été froncés à la manière de la collerette, sorte de pèlerine reposant sur les épaules du Gille. De 150 à 200 mètres de ruban plissé sont nécessaires pour leur confection. Ce ruban est plissé par une des rares machines qui puissent aider le louageur dans sa tâche difficile. Si le chapeau est de couleur, la collerette peut être légèrement teintée sur le bord du ruban. Le dos du costume varie également et cela encore de nos jours. Si vous vous promenez le Mardi-Gras à Binche, vous pourrez constater que les dos des costumes de Gille sont différents. Ceci est en fait pour permettre aux louageurs de reconnaître leurs costumes. Source : www.carnavaldebinche.be | |
15 | Le Gille tient à la main le ramon Jadis véritable balai de rue, il était lancé à la tête de quiconque se rendait au Carnaval sans faux-nez ou sans masque. Le domestique du Gille allait le récupérer en faisant une pirouette au nez de la victime. Au fil des temps, la tête de balai s'est réduite en un ramon constitué de brindilles de saule soigneusement assemblées par trois ligaments de rotin. De nos jours, le Gille lance son ramon au passant qu'il désire saluer: il le récupère lui-même et embrasse la connaissance qui l'attend, le ramon en main. Le Gille est "armé" de son ramon uniquement le mardi gras au matin car l'après-midi, il porte le panier d'osier rempli d'oranges sanguines. | |
16 | Le sabot est creusé soit dans du peuplier, choisi pour sa solidité et sa malléabilité soit dans le saule, pour sa légèreté et sa résistance. Sur la partie avant du sabot se colle ou se cloue le "renon" de rubans plissés. Jadis fabriqués par des sabotiers locaux, les sabots actuels sont fabriqués dans les Ardennes de façon principalement automatique. En effet, c'est une machine qui donne au sabot son aspect extérieur à partir d'un modèle prédéfini. Une seconde machine va creuser sommairement l'intérieur du sabot et déterminer l'emplacement du pied. Mais c'est le "creuseur" qui termine cette tâche minutieuse. La fabrication du sabot terminée. Il reste à lui donner sa couleur et son odeur caractéristique. Pour ce faire, il séjournera dans un fumoir pendant 7 à 8 heures. Ce sabot n'est pas tout à fait terminé. En effet, il faut encore lui ajouter des accessoires en cuir qui permettront de le maintenir: une talonnette en forme de demi-cercle et la bride, simple lanière glissée dans un morceau de cuir rectangulaire et dentelé. Source : www.carnavaldebinche.be | |
18 | Le Gille boit du champagne dès le bon matin. | |
25 | Le Gille boit du champagne dès le bon matin. | |
44 | Les fenêtres sont grillagées pour éviter la casse quand les Gilles lancent des oranges. Si une fenêtre est cassée, le riverain ne peut pas se plaindre. | |
45 | Les perruques sont l'attribut premier de la fête de carnaval. | |
46 | Avenue Charles Deliège | |
47 | Grand Place | à gauche : l'Hôtel de Ville, et au fond, la collégiale Saint-Ursmer. |
48 | Grand Place | avec la tour : l'Hôtel de Ville. |
52 | Le masque est de toile recouverte de cire, aux lunettes vertes et aux moustaches ainsi qu'une mouche à la Napoléon III. Jusqu'au début du XXème siècle, le Gille restait masqué pendant la plus grande partie de la journée. De nos jours, le masque est porté durant la matinée jusqu'à la réception à l'Hôtel de Ville. Le Gille est un grand prêtre qui célèbre le renouveau du printemps; il accomplit un rite mais n'agit pas en son nom personnel. Il convient donc qu'il ne soit pas reconnu. Binche a toujours eu le monopole d'utilisation de ce type de masque. En son temps, Charles Deliège, Bourgmestre de la Ville, passa une convention entre la firme César de Saumur et la Ville. Mais cette firme passa à la fabrication en série, avec des matières de base peu conformes à l'usage, comme le plastique. Il n'était plus possible de lui confier la fabrication de masques - seule, la cire est autorisée - alors que d'autre part, la réserve de la ville s'épuisait. Monsieur Jean-Luc Pourbaix, artisan binchois, se préoccupa du problème. Après bien des années de recherches, il trouva la solution. L'administration communale de Binche en a déposé le modèle, au mois d'octobre 1985, auprès du Bureau Bénélux des Marques à la Haye et en a l'exclusivité. Le modèle est maintenant protégé: il ne peut être copié, commercialisé et porté ailleurs qu'à Binche. Ce dépôt de marque est renouvelable tous les dix ans et indéfiniment. Le masque de Gille ne peut être vendu qu'aux Gilles de Binche qui le portent le Mardi-Gras matin. source : www.carnavaldebinche.be photo Allain le Quéré | |
53 | Le masque est de toile recouverte de cire, aux lunettes vertes et aux moustaches ainsi qu'une mouche à la Napoléon III. Jusqu'au début du XXème siècle, le Gille restait masqué pendant la plus grande partie de la journée. De nos jours, le masque est porté durant la matinée jusqu'à la réception à l'Hôtel de Ville. Le Gille est un grand prêtre qui célèbre le renouveau du printemps; il accomplit un rite mais n'agit pas en son nom personnel. Il convient donc qu'il ne soit pas reconnu. Binche a toujours eu le monopole d'utilisation de ce type de masque. En son temps, Charles Deliège, Bourgmestre de la Ville, passa une convention entre la firme César de Saumur et la Ville. Mais cette firme passa à la fabrication en série, avec des matières de base peu conformes à l'usage, comme le plastique. Il n'était plus possible de lui confier la fabrication de masques - seule, la cire est autorisée - alors que d'autre part, la réserve de la ville s'épuisait. Monsieur Jean-Luc Pourbaix, artisan binchois, se préoccupa du problème. Après bien des années de recherches, il trouva la solution. L'administration communale de Binche en a déposé le modèle, au mois d'octobre 1985, auprès du Bureau Bénélux des Marques à la Haye et en a l'exclusivité. Le modèle est maintenant protégé: il ne peut être copié, commercialisé et porté ailleurs qu'à Binche. Ce dépôt de marque est renouvelable tous les dix ans et indéfiniment. Le masque de Gille ne peut être vendu qu'aux Gilles de Binche qui le portent le Mardi-Gras matin. source : www.carnavaldebinche.be photo Allain le Quéré | |
54 | La plume - d'une hauteur totale de 1m50 - est constituée avec 3 plumes d'autruche de 50 cm. A celle-ci vient s'ajouter une douzaine de petites plumes qui étofferont tout l'ensemble. Le chapeau se constitue de 8 à 12 grandes plumes réalisées à l'aide de 240 à 290 petites. Le frisage à la main de chaque grande plume au moyen d'un petit couteau donne le panache et la majesté caractéristiques du chapeau du Gille. Le poids du chapeau est d'approximativement 3 kg. Le tout est monté sur l'armature métallique recouverte de biais blanc sortant de la "buse" ou "forme" confectionnée en carton enveloppé de toile collée à la colle forte pour donner la rigueur nécessaire à ce support. Autrefois, cette forme était fabriquée à partir d'un simple chapeau "buse" d'où son nom. Le chapeau est maintenu par une jugulaire en cuir blanc et posé sur la barrette, elle-même serrée par un mouchoir de cou passant sous le menton. Source : http://www.carnavaldebinche.be/page.phtml?rub=contenu&div=8&id=34 | |
55 | La plume - d'une hauteur totale de 1m50 - est constituée avec 3 plumes d'autruche de 50 cm. A celle-ci vient s'ajouter une douzaine de petites plumes qui étofferont tout l'ensemble. Le chapeau se constitue de 8 à 12 grandes plumes réalisées à l'aide de 240 à 290 petites. Le frisage à la main de chaque grande plume au moyen d'un petit couteau donne le panache et la majesté caractéristiques du chapeau du Gille. Le poids du chapeau est d'approximativement 3 kg. Le tout est monté sur l'armature métallique recouverte de biais blanc sortant de la "buse" ou "forme" confectionnée en carton enveloppé de toile collée à la colle forte pour donner la rigueur nécessaire à ce support. Autrefois, cette forme était fabriquée à partir d'un simple chapeau "buse" d'où son nom. Le chapeau est maintenu par une jugulaire en cuir blanc et posé sur la barrette, elle-même serrée par un mouchoir de cou passant sous le menton. Source : http://www.carnavaldebinche.be/page.phtml?rub=contenu&div=8&id=34 | |
57 | Le Gille tient à la main un panier. Le panier qui contient les oranges est en osier tressé. Sa forme très particulière a remplacé vers 1880 le vieux panier à salade en fil métallique que le gille garnissait des produits de son jardin. | |
58 | Le Gille tient à la main un panier. Le panier qui contient les oranges est en osier tressé. Sa forme très particulière a remplacé vers 1880 le vieux panier à salade en fil métallique que le gille garnissait des produits de son jardin. | |
60 | Les Arlequins | L'arlequin est un personnage de la commedia dell'arte et il est représenté par les enfants de l'école de l'Athénée Royale de Binche. Son habit est constitué d'un justaucorps et d'un pantalon fait de pièces et de tissus bariolés. Le feutre est orné d'une queue de renard. Il tient dans sa main une spatule de bois pour mélanger la polenta. Il porte un demi-masque noir aux traits félins et démoniaques. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
61 | Les Arlequins | L'arlequin est un personnage de la commedia dell'arte et il est représenté par les enfants de l'école de l'Athénée Royale de Binche. Son habit est constitué d'un justaucorps et d'un pantalon fait de pièces et de tissus bariolés. Le feutre est orné d'une queue de renard. Il tient dans sa main une spatule de bois pour mélanger la polenta. Il porte un demi-masque noir aux traits félins et démoniaques. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
62 | Les Paysans | Les deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
63 | Les Pierrots | Le costume actuel du pierrot est constitué d'un pantalon et d'une ample blouse aux couleurs pastel (bleu, rose, jaune, vert). Il est agrémenté d'une collerette blanche de dentelle. Le chapeau conique du personnage est terminé par des rubans blancs. Mirliton et loup constituent les attributs du Pierrot. Le premier est brandi le mardi gras au matin et le second est posé sur le visage au moment où la société est reçue à l'hôtel de ville. C'est en 1937 que fut formée la société des Pierrots au sein de l'Institut St Jean-Baptiste de la Salle, tenu par les Frères des Ecoles Chrétiennes. Source : http://www.carnavaldebinche.be photo Allain le Quéré |
64 | Les Pierrots | Le costume actuel du pierrot est constitué d'un pantalon et d'une ample blouse aux couleurs pastel (bleu, rose, jaune, vert). Il est agrémenté d'une collerette blanche de dentelle. Le chapeau conique du personnage est terminé par des rubans blancs. Mirliton et loup constituent les attributs du Pierrot. Le premier est brandi le mardi gras au matin et le second est posé sur le visage au moment où la société est reçue à l'hôtel de ville. C'est en 1937 que fut formée la société des Pierrots au sein de l'Institut St Jean-Baptiste de la Salle, tenu par les Frères des Ecoles Chrétiennes. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
65 | Les Pierrots | Le costume actuel du pierrot est constitué d'un pantalon et d'une ample blouse aux couleurs pastel (bleu, rose, jaune, vert). Il est agrémenté d'une collerette blanche de dentelle. Le chapeau conique du personnage est terminé par des rubans blancs. Mirliton et loup constituent les attributs du Pierrot. Le premier est brandi le mardi gras au matin et le second est posé sur le visage au moment où la société est reçue à l'hôtel de ville. C'est en 1937 que fut formée la société des Pierrots au sein de l'Institut St Jean-Baptiste de la Salle, tenu par les Frères des Ecoles Chrétiennes. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
69 | Des oranges sanguines sont lancées dans la foule qui s'efforce de les attrapper. On dit qu'il faut la percer d'un clou de girofle et la laisser sécher, pour répandre une odeur agréable dans le placard à vêtements. | |
70 | Des oranges sanguines sont lancées dans la foule qui s'efforce de les attrapper. On dit qu'il faut la percer d'un clou de girofle et la laisser sécher, pour répandre une odeur agréable dans le placard à vêtements. | |
71 | Des oranges sanguines sont lancées dans la foule qui s'efforce de les attrapper. On dit qu'il faut la percer d'un clou de girofle et la laisser sécher, pour répandre une odeur agréable dans le placard à vêtements. | |
82 | Les Paysans | Les deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
83 | Les Paysans | Les deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
84 | Les Paysans | Les deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
85 | Les Paysans | Les deux plumes d'autruche blanches des chapeaux frisent, vaporeuses. Des dizaines de fleurs aux pétales immaculés parsèment la coiffe. Sur le devant brillent trois étoiles d'or et des épis d'avoine balancent leurs clochettes. Cette opulence contraste avec le sarrau de toile bleu foncé aux hautes manchettes et le pantalon blanc en coton. Un "renom" en ruban plissé orne les souliers vernis noirs. Les manchettes blanches sont placées au-dessus des poignets du sarrau. Le paysan a pour accessoire une gibecière remplie d'oranges, qui pend du côté gauche, et un ramon d'osier blanc (saule pelé) enrubanné. Son masque se distingue aujourd'huide celui du Gille par l'absence de moustache. Source : http://www.carnavaldebinche.be |
87 | Le costume du Gille est en toile de jute sur laquelle on a cousu différents motifs ainsi que des bandes de feutrine noire, rouge et jaune. Ces motifs représentent les lions couronnés de la Belgique, ceux sans couronne des armoiries du Hainaut, des étoiles, Au total, plus ou moins deux cents motifs dont certains demandent quatre applications successives. Les extrémités de la blouse et du pantalon sont constituées de plusieurs mètres de ruban qui ont été froncés à la manière de la collerette, sorte de pèlerine reposant sur les épaules du Gille. De 150 à 200 mètres de ruban plissé sont nécessaires pour leur confection. Ce ruban est plissé par une des rares machines qui puissent aider le louageur dans sa tâche difficile. Si le chapeau est de couleur, la collerette peut être légèrement teintée sur le bord du ruban. Le dos du costume varie également et cela encore de nos jours. Si vous vous promenez le Mardi-Gras à Binche, vous pourrez constater que les dos des costumes de Gille sont différents. Ceci est en fait pour permettre aux louageurs de reconnaître leurs costumes. Source : www.carnavaldebinche.be | |
88 | Le costume du Gille est en toile de jute sur laquelle on a cousu différents motifs ainsi que des bandes de feutrine noire, rouge et jaune. Ces motifs représentent les lions couronnés de la Belgique, ceux sans couronne des armoiries du Hainaut, des étoiles, Au total, plus ou moins deux cents motifs dont certains demandent quatre applications successives. Les extrémités de la blouse et du pantalon sont constituées de plusieurs mètres de ruban qui ont été froncés à la manière de la collerette, sorte de pèlerine reposant sur les épaules du Gille. De 150 à 200 mètres de ruban plissé sont nécessaires pour leur confection. Ce ruban est plissé par une des rares machines qui puissent aider le louageur dans sa tâche difficile. Si le chapeau est de couleur, la collerette peut être légèrement teintée sur le bord du ruban. Le dos du costume varie également et cela encore de nos jours. Si vous vous promenez le Mardi-Gras à Binche, vous pourrez constater que les dos des costumes de Gille sont différents. Ceci est en fait pour permettre aux louageurs de reconnaître leurs costumes. Source : www.carnavaldebinche.be | |
89 | La plume - d'une hauteur totale de 1m50 - est constituée avec 3 plumes d'autruche de 50 cm. A celle-ci vient s'ajouter une douzaine de petites plumes qui étofferont tout l'ensemble. Le chapeau se constitue de 8 à 12 grandes plumes réalisées à l'aide de 240 à 290 petites. Le frisage à la main de chaque grande plume au moyen d'un petit couteau donne le panache et la majesté caractéristiques du chapeau du Gille. Le poids du chapeau est d'approximativement 3 kg. Le tout est monté sur l'armature métallique recouverte de biais blanc sortant de la "buse" ou "forme" confectionnée en carton enveloppé de toile collée à la colle forte pour donner la rigueur nécessaire à ce support. Autrefois, cette forme était fabriquée à partir d'un simple chapeau "buse" d'où son nom. Le chapeau est maintenu par une jugulaire en cuir blanc et posé sur la barrette, elle-même serrée par un mouchoir de cou passant sous le menton. Source : http://www.carnavaldebinche.be/page.phtml?rub=contenu&div=8&id=34 | |
93 | Le costume comprend le grelot, au cou, et la ceinture ou apertintaille, composée d'une bande de toile de lin renfermant une bourre. A cette "ceinture" sont attachées de 6 à 9 sonnettes ou clochettes en bronze à fort alliage de cuivre. Le Gille tient le panier d'osier renversé pour indiquer qu'il n'a plus d'orange à lancer dans la foule. | |
95 | Le costume comprend le grelot, au cou, et la ceinture ou apertintaille, composée d'une bande de toile de lin renfermant une bourre. A cette "ceinture" sont attachées de 6 à 9 sonnettes ou clochettes en bronze à fort alliage de cuivre. Le Gille tient le panier d'osier renversé pour indiquer qu'il n'a plus d'orange à lancer dans la foule. | |
106 | photo Allain le Quéré | |
Split, Croatie (15 photos) ![]() | ||
1 | Vue de Trogir | 27 km au nord de Split |
3 | Croatian airlines | |
4 | Aéroport de Split | |
5 | Sous le rempart de Split | |
6 | Cathédrale de Split | |
10 | Mausolée de Dioclétien | |
Île de Brač, Milna, Croatie
(44 photos) ![]() | ||
1 | "goélette" | |
2 | La captain | |
3 | Dîner à bord | |
4 | Split | La traversée dure à peine 2 h jusqu'à Milna. |
6 | Île de Bracč | L'île de Bracč (prononcer "bratch") est la troisième île dalmate en superficie. Elle mesure 45 km sur 12. En dialecte local son nom signifie "la Grosse". Les routes serpentent à travers les forêts de pins et de cyprès mêlés ou à travers la garrigue. Les maisons, en pierre blanche marmoréenne, étincellent. Une pierre qui fit, notamment, le palais de Dioclétien et la Maison Blanche. |
7 | Milna | Au fond d'une baie protégée des vents, Milna est un ancien port de pécheurs, doté d'une église baroque. On peut lire dans " Situation des droits de l'homme dans le territoire de l'ex-Yougoslavie " : D'après une déclaration du Comité croate d'Helsinki publiée le 3 octobre 1996, un groupe de soldats de l'armée croate accompagnés de membres de l'Association croate des anciens combattants a occupé illégalement, après y avoir pénétré par effraction, plus d'une centaine de maisons de Milna, sur l'île de Bracč, entre le 15 août 1996 et la fin du mois de septembre. Les auteurs de ces actes identifiaient souvent les maisons où ils allaient s'installer illégalement en les marquant par des signes. |
27 | Pittosporum | Étymologie : du grec pitta, "résine" et sporos, "semence", allusion à la substance résineuse qui enrobe les graines. "Tobira" est le nom japonais. Origine : Le Pittosporum tobira est originaire de Chine, Corée du sud, Japon. D'autres espèces sont originaires de Nouvelle Zélande (Pittosporum crassifolium et Pittosporum eugenioides qui est un arbre pouvant atteindre 13 m de hauteur). Habitat : soleil, mi-ombre, mais craint les grands froids, sols riches. Bien adapté au climat méditerranéen. Il résiste aux embruns, aux fortes températures, à la sécheresse. Taille : 2 à 7 m. Port : en dôme. Troncs : multiples. Écorce : lisse, grise. Feuilles : persistantes, obovales, acuminées, vert-foncé, luisantes. De 5 à 7 cm de long. Elle sont presque sessiles (sans pétiole). La nervure centrale est très marquée. Elles sont groupées en verticille. Fleurs : blanches ou jaunes citron, à pétales, de 5 mm de diamètre. Elles sont parfumées et s'épanouissent de mai à juin. Leur odeur entêtante évoque celle de l'oranger. D'autres espèces ont des fleurs rouges ou pourpre (Pittosporum crassifolium) Fruits : capsules globuleuses, grises . |
29 | Pittosporum | Étymologie : du grec pitta, "résine" et sporos, "semence", allusion à la substance résineuse qui enrobe les graines. "Tobira" est le nom japonais. Origine : Le Pittosporum tobira est originaire de Chine, Corée du sud, Japon. D'autres espèces sont originaires de Nouvelle Zélande (Pittosporum crassifolium et Pittosporum eugenioides qui est un arbre pouvant atteindre 13 m de hauteur). Habitat : soleil, mi-ombre, mais craint les grands froids, sols riches. Bien adapté au climat méditerranéen. Il résiste aux embruns, aux fortes températures, à la sécheresse. Taille : 2 à 7 m. Port : en dôme. Troncs : multiples. Écorce : lisse, grise. Feuilles : persistantes, obovales, acuminées, vert-foncé, luisantes. De 5 à 7 cm de long. Elle sont presque sessiles (sans pétiole). La nervure centrale est très marquée. Elles sont groupées en verticille. Fleurs : blanches ou jaunes citron, à pétales, de 5 mm de diamètre. Elles sont parfumées et s'épanouissent de mai à juin. Leur odeur entêtante évoque celle de l'oranger. D'autres espèces ont des fleurs rouges ou pourpre (Pittosporum crassifolium) Fruits : capsules globuleuses, grises . |
30 | Pittosporum | Étymologie : du grec pitta, "résine" et sporos, "semence", allusion à la substance résineuse qui enrobe les graines. "Tobira" est le nom japonais. Origine : Le Pittosporum tobira est originaire de Chine, Corée du sud, Japon. D'autres espèces sont originaires de Nouvelle Zélande (Pittosporum crassifolium et Pittosporum eugenioides qui est un arbre pouvant atteindre 13 m de hauteur). Habitat : soleil, mi-ombre, mais craint les grands froids, sols riches. Bien adapté au climat méditerranéen. Il résiste aux embruns, aux fortes températures, à la sécheresse. Taille : 2 à 7 m. Port : en dôme. Troncs : multiples. Écorce : lisse, grise. Feuilles : persistantes, obovales, acuminées, vert-foncé, luisantes. De 5 à 7 cm de long. Elle sont presque sessiles (sans pétiole). La nervure centrale est très marquée. Elles sont groupées en verticille. Fleurs : blanches ou jaunes citron, à pétales, de 5 mm de diamètre. Elles sont parfumées et s'épanouissent de mai à juin. Leur odeur entêtante évoque celle de l'oranger. D'autres espèces ont des fleurs rouges ou pourpre (Pittosporum crassifolium) Fruits : capsules globuleuses, grises . |
Île de Brač, Bol, Croatie (27 photos) | ||
1 | 2h 10 de naviagtion de Milna à Bol | "L'Île de Bracč est bordée de baies enchanteresses et parsemées de cyprès et de pâturages où paissent les chèvres et où les vignobles sont plantés sur les coteaux. Cette Île est connue pour ses carrières à ciel ouvert qui offrent une pierre de qualité qui perpétue la tradition millénaire des tailleurs. L'Ile possède également de magnifiques plages de galets fins. Jadis village de pêcheurs et de vignerons, Bol, où vous ferez escale est située au sud de l'Île. Elle est devenue un centre balnéaire cosmopolitain où la jeunesse aime se retrouver pour pratiquer les sports de glisse car les vents y sont propices." (ainsi s'exprime le dépliant touristique !) |
6 | Zlatni Rat | Au pied du mont Vidova (778 m), Bol est une cité renommée pour sa plage de sable fin qui s'avance dans la mer sur 600 m, Zlatni Rat ou "Corne d'or" et qui se déforme au gré des courants et des vents. |
14 | Monastère Dominicain, Bol | Dans le couvent, une Vierge parmi les saints fut offerte par le peintre vénitien Tintoret, en 1563, pour remercier les moines de leur hospitalité. |
16 | Monastère Dominicain, Bol | Dans le couvent, une Vierge parmi les saints fut offerte par le peintre vénitien Tintoret, en 1563, pour remercier les moines de leur hospitalité. |
18 | Monastère Dominicain, Bol | Dans le couvent, une Vierge parmi les saints fut offerte par le peintre vénitien Tintoret, en 1563, pour remercier les moines de leur hospitalité. |
25 | Chapelle Sainte-Anne | |
Île de Hvar, Hvar, Croatie (58 photos) | ||
2 | L'Île de HVAR (prononcer "khvar") est surnommée la Madère Croate car elle détient le record d'ensoleillement du pays. Cette Île collectionne les criques solitaires, ports et collines sauvages. Sa campagne est parfumée d'herbes du maquis et de lavande et couverte de pin. Le bourg médiéval de Hvar est située sur la côte sud-ouest de l´île au fond d'une baie magnifique protégée par les Îles Infernales. Elle est fière de ses deux forteresses - celle de la République de Venise et celle de Napoléon -, de sa cathédrale, sa grand-place et de son délicieux petit théâtre de 1612. On y donne des représentations, devant un public réduit, car sa structure fragile a grand besoin d'être restaurée. Le charme des rues médiévales et Renaissance opère. Pour s'y retrouver, on vous dira de repérer les fenêtres ogivales XVe, les maisons à blason XVIe et les ornements baroques XVIIe. Sans parler de l'admirable cavalcade de toits tuilés et de maisons en pierre, non jointoyées pour les plus anciennes. | |
3 | L'Île de HVAR (prononcer "khvar") est surnommée la Madère Croate car elle détient le record d'ensoleillement du pays. Cette Île collectionne les criques solitaires, ports et collines sauvages. Sa campagne est parfumée d'herbes du maquis et de lavande et couverte de pin. Le bourg médiéval de Hvar est située sur la côte sud-ouest de l´île au fond d'une baie magnifique protégée par les Îles Infernales. Elle est fière de ses deux forteresses - celle de la République de Venise et celle de Napoléon -, de sa cathédrale, sa grand-place et de son délicieux petit théâtre de 1612. On y donne des représentations, devant un public réduit, car sa structure fragile a grand besoin d'être restaurée. Le charme des rues médiévales et Renaissance opère. Pour s'y retrouver, on vous dira de repérer les fenêtres ogivales XVe, les maisons à blason XVIe et les ornements baroques XVIIe. Sans parler de l'admirable cavalcade de toits tuilés et de maisons en pierre, non jointoyées pour les plus anciennes. | |
4 | Cathédrale Saint-Etienne | |
5 | Cathédrale Saint-Etienne | |
8 | Clocher de la cathédrale Saint-Etienne | |
9 | Un des premiers hôtels croates | |
10 | L'Arsenal | |
13 | Palais gothique inachevé | |
17 | Cathédrale Saint-Etienne | |
18 | Clocher de la cathédrale Saint-Etienne | |
21 | Ruelles étroites | |
30 | Porte Est | |
32 | Citadelle | |
36 | Citadelle | |
38 | Vue sur la ville | |
44 | L'Arsenal | |
49 | Monastère franciscain | dans l'anse Kriza |
50 | Monastère franciscain | |
51 | Monastère franciscain | |
52 | Monastère franciscain | |
53 | Cathédrale Saint-Etienne | |
Korčula (101 photos)![]() | ||
1 | Nouveau départ | Direction l'île de Korcčula, et une première escale à Vela Lluka ; 2h20 de mer. |
3 | Arrivée à Vela Luka | |
11 | Vela Luka | Direction la ville de Korcčula ; 3h de mer. |
13 | Arrivée à Korcčula | |
19 | Rempart de Korcčula | |
23 | Rempart du 14è siècle | |
24 | Tour Kanuvelic | |
27 | Porte de terre (Kopnena Vrata) et tour Revelin (1493-1496) | |
28 | Tour Revelin, côté ville | L'arc de triomphe a été construit en 1650, au dos de la Tour Revelin, qui, elle, date du 14è siècle. |
34 | Maison de la famille Polo | C'est la maison où Marco Polo serait né en 1254... Ce qui est certain, c'est qu'il y fut capturé, le 7 septembre 1298. |
35 | Maison de la famille Polo | C'est la maison où Marco Polo serait né en 1254... Ce qui est certain, c'est qu'il y fut capturé, le 7 septembre 1298. |
37 | Cathédrale Saint-Marc | Elle est dédiée principalement à Saint-Marc, mais aussi à Saint-Jacques et à Saint-Roch (en 1525 après la peste, fête 16/8). Elle fut construite en un siècle, le XVe. L'architecte Marko Andrijic la dota d'une coupole octogonale avec loggia coiffant le campanile, d'un ciborium et d'une rosace en façade. |
40 | Le lion de Saint-Marc et Eve (!) | |
41 | Le ciborium | Un tableau du Tintoret de 1557 est en dessous. |
44 | Le campanile | |
48 | Autel de la chapelle Saint-Michel | |
50 | Musée du trésor abbatial | Il occupe l'ancien évêché, construit au XVIIè siècle. On y voit une Madonne de 1438, chef-d'oeuvre de Blaz Trogiranin, des dessins de Raphaël, Léonard de Vinci, Tiepolo. La ville fut érigée en diocèse en 1300 et le resta jusqu'en 1828. |
55 | Chapelle Saint-Pierre | Elle est à gauche de la cathédrale. Elle date du XIVè siècle. Sur la façade, un bas relief de Saint Pierre a été réalisé par Bonino de Milan. |
56 | Saint-Roch | Il montre son genou atteint par la peste. À la fin de sa vie, touché par la peste et par la faim, il fut nourri dans une forêt près de Plaisance par un bon chien qui lui apportait chaque jour un pain dérobé à la table de son maître. Ce-dernier, intrigué par le manège de l'animal, le suivit en forêt et découvrit notre saint blessé qu'il put ainsi secourir. Voilà pourquoi, pour parler de deux personnes inséparables, le proverbe dit : "c'est saint Roch et son chien". Le sculpteur est Franz Cučik, de Korčula (1575). |
65 | Le lion de Saint-Marc | |
77 | Au chevet de la cathédrale | |
79 | Hôtel de Ville | Il est situé place Trg Antuna i Stjepana Radica, à côté de la Tour Revelin et de la Porte de terre. Les arcades datent de 1525 tandis que l'étage a été rajouté en 1866. En face, un pilier a été érigé en 1569. |
81 | Palais Gabrielis | Il a été construit en style renaissance (fenêtres à meneaux) au XVIè siècle. Il abrite le Musée municipal. |
84 | Tour Zakerjan | |
99 | Les couleurs de la Croatie | |
Parc de Mljet, Croatie (36 photos) | ||
1 | Nouveau départ | Direction Miljet (prononcer 'Millet') ; 2h20 de mer. |
2 | Le port de Mljet | |
4 | Monastère bénédictin Sainte-Marie-au-Milieu-du-Grand-Lac | Transformé en hôtel sous l'ère communiste, il revient à sa vocation première et attend l'arrivée de deux nouveaux moines. |
14 | Monastère bénédictin Sainte-Marie-au-Milieu-du-Grand-Lac | |
15 | Décor baroque | |
18 | Décor baroque | |
19 | Coupole | L'église est de style roman et date du 12è siècle. Transformé en hôtel sous l'ère communiste, il revient à sa vocation première et attend l'arrivée de deux nouveaux moines. |
20 | Le cloître | |
Île de ipan (124 photos) | ||
1 | Nouveau départ | Destination : Sipan, 3 h de route. |
28 | Sipan | Le village de Sipanska Luka est situé au fond d'une baie, à une extrémité de l'île, tout comme l'autre village, de Sudjurad, lui aussi au fond d'une baie, à l'aitre extrémité de l'île. Quelques hameaux parsèment la plaine intérieure fertile. Comme Kolocep et Lopud, l'île servit de lieu de séjour estival à l'aristocratie de Raguse qui y fit construire de nombreuses palais en bord de mer, par exemple celui de la famille Sorkocevic à Sipanska Luka ou le Palais Ducal de style gothique. |
60 | Platane d'Orient millénaire | |
66 | Feuille de Platane d'Orient | |
86 | Fleurs d'olivier | |
89 | Caroubier | >>>> pour en savoir plus : http://www.lesarbres.fr/caroubier.html |
98 | Sudjurad | |
99 | Sudjurad | |
100 | Sudjurad | |
101 | Sudjurad | |
102 | Sudjurad | |
103 | Château de Sudjurad | Sudjurad est édifiés au fond d'une baie comme Sipanska Luka, à l'extrémité de l'île. |
119 | Coucher de soleil sur Sipanska Luka | |
Lopud (24 photos) | ||
1 | Départ | Nous quittons l'île de ipan. Direction : l'île de Lopud. |
6 | Vue sur Sudjurad | |
7 | Lopud | Lopud fait partie de l'archipel des Élaphites, située entre Kolocep et ipan, longue de 4,5 km de long et large de 2 km. L'île est couverte d'oliveraies, de vignobles et de champs d'agrumes. Le seul village de l'île, Lopud, est situé le long d'une grande baie ouverte vers le nord-ouest. Autrefois connu sous nom grec "Delaphodia", l'île attira de nombreux aristocrates et bourgeois de Dubrovnik qui édifièrent de luxueuses palais et demeures et que l'on peut encore voir de nos jours (particulièrement ceux de la famille Dordic). La baie de Lopud, dominée par deux forteresses, possède de nombreuses édifices religieux. L'église de la Sainte Trinité (16-17ème siècle) et non loin le monastère Franciscain avec son cloître de 1483 abandonné en 1808 forment un bel ensemble sur le flanc sud de la baie. Au-dessus se distinguent les ruines gothiques du Palais des Ducs. Un petit chemin à travers la végétation luxuriante vous emmène de l'autre côté de l'île à la plage de Sunj, l'une des plus belles plages de sable de l'Adriatique. |
8 | Lopud | Lopud fait partie de l'archipel des Élaphites, située entre Kolocep et ipan, longue de 4,5 km de long et large de 2 km. L'île est couverte d'oliveraies, de vignobles et de champs d'agrumes. Le seul village de l'île, Lopud, est situé le long d'une grande baie ouverte vers le nord-ouest. Autrefois connu sous nom grec "Delaphodia", l'île attira de nombreux aristocrates et bourgeois de Dubrovnik qui édifièrent de luxueuses palais et demeures et que l'on peut encore voir de nos jours (particulièrement ceux de la famille Dordic). La baie de Lopud, dominée par deux forteresses, possède de nombreuses édifices religieux. L'église de la Sainte Trinité (16-17ème siècle) et non loin le monastère Franciscain avec son cloître de 1483 abandonné en 1808 forment un bel ensemble sur le flanc sud de la baie. Au-dessus se distinguent les ruines gothiques du Palais des Ducs. Un petit chemin à travers la végétation luxuriante vous emmène de l'autre côté de l'île à la plage de Sunj, l'une des plus belles plages de sable de l'Adriatique. |
9 | Lopud | Lopud fait partie de l'archipel des Élaphites, située entre Kolocep et ipan, longue de 4,5 km de long et large de 2 km. L'île est couverte d'oliveraies, de vignobles et de champs d'agrumes. Le seul village de l'île, Lopud, est situé le long d'une grande baie ouverte vers le nord-ouest. Autrefois connu sous nom grec "Delaphodia", l'île attira de nombreux aristocrates et bourgeois de Dubrovnik qui édifièrent de luxueuses palais et demeures et que l'on peut encore voir de nos jours (particulièrement ceux de la famille Dordic). La baie de Lopud, dominée par deux forteresses, possède de nombreuses édifices religieux. L'église de la Sainte Trinité (16-17ème siècle) et non loin le monastère Franciscain avec son cloître de 1483 abandonné en 1808 forment un bel ensemble sur le flanc sud de la baie. Au-dessus se distinguent les ruines gothiques du Palais des Ducs. Un petit chemin à travers la végétation luxuriante vous emmène de l'autre côté de l'île à la plage de Sunj, l'une des plus belles plages de sable de l'Adriatique. |
15 | Dracena | |
16 | Latanier | Origine : îles Mascareignes (île de la Réunion) Habitat : sol très drainé, frais, fertile ou riche, acide ; exposition ensoleillée. Taille maximale : 10 m. Port : érigé, stipe unique Tronc droit. Feuillage persistant, grandes feuilles gris-vert, palmées en éventail, profondément lobées aux pétioles teintés de rouge. Fleurs : longs panicules en été. Fruits en grappes. |
17 | Oranger | >>> pour en savoir plus : oranger |
18 | Néflier du Japon | >>> pour en savoir plus : neflierjapon |
23 | Chapelle Sainte-Croix | Elle a été offerte par Miho Pracat (Michaeli Prazzato), riche armateur et mécène de Dubrovnik. |
24 | Église de la Sainte-Trinité | L'église date du XVI-XVIIème siècle, le monastère Franciscain de 1483. Il a été abandonné en 1808. |
Dubrovnik, Croatie (175 photos) ![]() | ||
1 | Arrivée à Dubrovnik | |
6 | À droite : le fort Lovrijenac | Juché à 36 mètres de haut sur son piton rocheux à l'ouest de la ville, près de la porte Pile, le fort Lovrijenac surveillait la mer mais aussi la route de l'ouest, bouclant la ceinture de protection de la cité fortifiée. Construit en quelques mois, la forteresse possède surtout aujourd'hui une scène réputée, régulièrement utilisée pour des représentations du Hamiet de Shakespeare. |
9 | Fort Minčeta | Cette forteresse incrustée dans les remparts est située à l'extrême nord de la vieille ville. C'est de loin la tour la plus massive de Dubrovnik, d'où vous pourrez admirer l'étendue de la cité médiévale, les couleurs de la ville avec l'Adriatique en toile de fond. C'est historiquement le point central de protection de la ville entre les deux portes Pile et Ploce. Commencée en 1455 par Michelozzo Michelozzi, sa construction fut finalement achevée par l'architecte Juraj Dalmatinac en 1464. |
10 | Les remparts de la cité | Construits entre le VIIIe et le XVIesiècle, les murs d'enceinte ont protégé la ville pendant des centaines d'année, même si celle-ci a toujours privilégié la solution diplomatique au conflit armé avec ses rivaux. Remparts parmi les plus aboutis en Europe, ils ceinturent la totalité de la vieille ville avec leurs 1 940 mètres de long. L'ouvrage est impressionnant : les murs, incroyablement conservés, peuvent atteindre 25 mètres de haut et jusqu'à six mètres d'épaisseur. Les murs de ta ville sont composés d'une partie intérieure et d'une partie extérieure, la partie extérieure sous la forme d'une enceinte plus petite et de dix bastions semi-circulaires construits par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi. La partie extérieure possède cinq bastions, trois tours circulaires et douze tours carrées ou rectangulaires, ainsi qu'une énorme forteresse, le Fort Sveti Ivan (Saint-Jean) sur le port. La ville est en outre défendue par deux grandes forteresses extérieures, l'une à Revelin du côté est, l'autre à Lovrijenac du côte sud-ouest. Du haut des remparts, vous aurez une vue imprenable sur la vieille ville, ses ruelles, le Stradun, les différentes églises et monastères, le port, les petits jardins privatifs, les toits de la ville, les collines, la côte, la mer. Une balade très marquante à faire absolument. Compter entre deux et trois heures pour faire le tour complet de la cité, à votre rythme, en prenant le temps de contempler ce qui mérite de l'être. Trois accès : depuis la porte Pile à l'église du Saint Sauveur, depuis le fort Saint-Jean (Sv. Ivan) et depuis le palais du Recteur. |
11 | La porte Pile et le fort Bokar | A l'extrémité ouest de la ville sur les remparts, la tour Bokar protégeait surtout l'accès à la porte Pile et son pont. Surplombant la mer, cette forteresse ronde a été construite par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi entre 1461 et 1570. Des canons d'époque y sont conservés. |
13 | La porte Pile | |
15 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà |
16 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà |
17 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà |
18 | Fontaine Onofrio : | Elle porte le nom de son architecte. L'eau est acheminée par un aqueduc de 12 km de long, datant du XVe siècle. |
19 | Église Saint-Sauveur et monastère franciscain | |
20 | Le Stradun | Principale artère de la vieille cité médiévale de Dubrovnik. Appelé aussi Plaça, cette rue part de la Porte Pile et aboutit à la Porte Ploce, s'étirant sur près de 300 mètres de long. Le Stradun a été construit au XIIe siècle sur le petit ruisseau et le terrain boueux qui séparaient les deux anciennes colonies, la slave Dubrava et la romaine Ragusa. La rue fut ensuite pavée en 1468, et reconstruite après le grand tremblement de terre de 1667. Vous admirerez le pavé poli par les âges et les deux rangées de maison, qui, si elles datent quasiment toutes du XVIIe siècle, respectent le plan urbain tel qu'il avait été conçu précédemment. Une grande unité se dégage de cet axe historique. Tous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre. |
21 | Le Stradun | Principale artère de la vieille cité médiévale de Dubrovnik. Appelé aussi Plaça, cette rue part de la Porte Pile et aboutit à la Porte Ploce, s'étirant sur près de 300 mètres de long. Le Stradun a été construit au XIIe siècle sur le petit ruisseau et le terrain boueux qui séparaient les deux anciennes colonies, la slave Dubrava et la romaine Ragusa. La rue fut ensuite pavée en 1468, et reconstruite après le grand tremblement de terre de 1667. Vous admirerez le pavé poli par les âges et les deux rangées de maison, qui, si elles datent quasiment toutes du XVIIe siècle, respectent le plan urbain tel qu'il avait été conçu précédemment. Une grande unité se dégage de cet axe historique. Tous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre. |
22 | Palais du Recteur à droite | |
29 | Place du marché, Gunduliceva poijana | |
30 | Cathédrale (Velika Gospa) | Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron. |
31 | Cathédrale (Velika Gospa) | Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron. |
32 | Cathédrale (Velika Gospa) | Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron. |
33 | Cathédrale (Velika Gospa) | |
34 | Cathédrale (Velika Gospa) | |
36 | Cathédrale (Velika Gospa) | Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron. |
37 | Cathédrale (Velika Gospa) | Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron. |
38 | Cathédrale (Velika Gospa) | Au centre de la place Poijana Marina Drzica, au sud du palais du recteur, se trouve la cathédrale de l'Assomption. Comme la quasi-totalité des monuments de la ville, le bâtiment a été détruit à plusieurs reprises. A l'origine, la cathédrale fut construite dans un style roman entre les XIIe et le XIV siècles, à la suite du naufrage de Richard Cœur de Lion en 1192 sur l'île de Lokrum au sud-est de Dubrovnik, à son retour de la IIIème croisade. Reconnaissant, celui-ci finança la réalisation du premier édifice. Détruite par le séisme de 1667, la cathédrale fut reconstruite en 1671 par les architectes Buffaloni, Andreotli et Napoli, et fut achevée en 1713 sous la direction de Katicic. L'édifice actuel, baroque, est construit en forme de croix, et contient non seulement un trésor mais aussi de nombreuses toiles de maîtres, parmi lesquelles un superbe polyptyque de Titien représentant l'Assomption. Le trésor de la cathédrale, conservé dans une chapelle baroque de Gropelli, contient 138 reliquaires. Sur l'autel sont situés les trois somptueux reliquaires de saint Blaise en argent, or et émail : le crâne, un bras et une jambe du saint patron. |
42 | Palais du Recteur | Les deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville. |
43 | Palais du Recteur | Les deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville. |
44 | Palais du Recteur | Les deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville. |
45 | Palais du Recteur | Les deux premières versions du palace ayant été détruites en 1435 puis 1463 par différentes explosions, le palais actuel est l'œuvre d'Onofrio di Giordana délia Cava, mais aussi de Micnelozzo Michelozzi et Juraj Dalmatinac, les principaux bâtisseurs de Dubrovnik, ainsi que d'une demi-douzaine d'architectes locaux. On retrouve au final dans cet édifice, achevé en 1739, un mélange étonnant de styles gothique et Renaissance, vestiges des différentes histoires du palais et de ses différents maîtres d'ouvrage. Vous découvrirez d'abord les colonnes gothiques de la façade ouest, et les chapiteaux du XV siècle, dont deux originaux d'Onofrio encadrent l'entrée principale : l'un représente la justice et un couple de lions, l'autre le recteur faisant justice devant les citoyens de la ville. |
46 | Buste de Miho Pracat | Le buste de Miho Pracat (Michaeli Prazzato) a été réalisé par le maître Pietro Giacometti da Recanati en 1638, en l'honneur du riche citoyen et mécène. C'est le seul monument à la gloire d'un simple citoyen qui ait jamais été toléré par la République de Dubrovnik, celui-ci ayant légué la totalité de sa fortune à la ville-Etat. |
47 | Palais du Recteur | A l'intérieur, l'atrium est l'un des chefs-d'œuvre d'Onofrio. Les arcades Renaissance présentes sur trois des quatre côtés donnent une certaine majesté à l'endroit, tandis que sur le quatrième côté un escalier mène à une superbe balustrade baroque. Sous les arches de l'escalier se trouve une fontaine gothique. |
48 | Palais du Recteur | Sur le quatrième côté un escalier mène à une superbe balustrade baroque. |
49 | Rampe d'escalier | Sur le quatrième côté un escalier mène à une superbe balustrade baroque. |
50 | Palais du Recteur | Au premier étage du palais se trouvent les appartements et les bureaux du recteur. Celui-ci, qui faisait systématiquement partie d'une famille noble de la ville, était élu pour seulement un mois et restait confiné dans le palais pendant toute la durée de sa mandature, pour ne pas être distrait de sa tâche. Le musée d'Histoire de la ville, Historijski muzej, possède aujourd'hui l'essentiel de ces appartements, et présente une pinacothèque contenant des tableaux des XV et du XVIe siècles, notamment du peintre Blaz Jurjev Trogiranin, artiste éminent de Dubrovnik. Vous y trouverez aussi de nombreux costumes et meubles d'époque, ainsi qu'une importante collection de pièces de monnaie. |
51 | Palais du Recteur | Au premier étage du palais se trouvent les appartements et les bureaux du recteur. Celui-ci, qui faisait systématiquement partie d'une famille noble de la ville, était élu pour seulement un mois et restait confiné dans le palais pendant toute la durée de sa mandature, pour ne pas être distrait de sa tâche. Le musée d'Histoire de la ville, Historijski muzej, possède aujourd'hui l'essentiel de ces appartements, et présente une pinacothèque contenant des tableaux des XV et du XVIe siècles, notamment du peintre Blaz Jurjev Trogiranin, artiste éminent de Dubrovnik. Vous y trouverez aussi de nombreux costumes et meubles d'époque, ainsi qu'une importante collection de pièces de monnaie. |
52 | Palais du Recteur | Au premier étage du palais se trouvent les appartements et les bureaux du recteur. Celui-ci, qui faisait systématiquement partie d'une famille noble de la ville, était élu pour seulement un mois et restait confiné dans le palais pendant toute la durée de sa mandature, pour ne pas être distrait de sa tâche. Le musée d'Histoire de la ville, Historijski muzej, possède aujourd'hui l'essentiel de ces appartements, et présente une pinacothèque contenant des tableaux des XV et du XVIe siècles, notamment du peintre Blaz Jurjev Trogiranin, artiste éminent de Dubrovnik. Vous y trouverez aussi de nombreux costumes et meubles d'époque, ainsi qu'une importante collection de pièces de monnaie. |
53 | Palais Sponza (Palaca Sponza) | Situé sur la place Luza, place centrale de la cité au bout du Stradun, le palais Sponza a été construit entre 1516 et 1522. Originellement dessiné par l'architecte Paskoje Milicevic, il fut en fait réalisé par Petrovic, Radivojevié, et les frères Andrijicl. Son premier rôle historique fut d'être le siège des douanes de Dubrovnik. Mais son usage a varié au fil des siècles, le palais devenant rapidement un gigantesque entrepôt, ou abritant aussi l'hôtel des monnaies. Le palais n'a plus d'utilité commerciale ou administrative depuis la fin du XIXè siècle, et est aujourd'hui le siège d'un musée des bateaux mais surtout la scène de nombreux concerts et le théâtre du célèbre festival Libertas de Dubrovnik. Sur le plan architectural, le palais est typique de l'époque gothique Renaissance, style visible non seulement dans les arcades, mais aussi dans les fenêtres. Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades. C'est au palais Sponza que l'on trouve non seulement le mécanisme originel de la tour de l'horloge, mais aussi les statues de bronze de celle-ci, les statues qui ornent la tour n'étant que des copies. |
54 | Palais Sponza (Palaca Sponza) | Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades. |
55 | Palais Sponza (Palaca Sponza) | Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades. |
57 | Petite Fontaine d'0nofrio | Elle a été construite en 1441 par le Milanais Pietro di Martina, contemporain d'Onofrio. De forme octogonale, elle présente sur chaque face un panneau sculpté, et est ornée d'une colonne de style baroque. |
58 | Petite Fontaine d'0nofrio | Elle a été construite en 1441 par le Milanais Pietro di Martina, contemporain d'Onofrio. De forme octogonale, elle présente sur chaque face un panneau sculpté, et est ornée d'une colonne de style baroque. |
60 | Statue du poète Ivan Gundulic | Elle est située place du marché, Gunduliceva poijana, et date de 1893. |
61 | Magasin sur Stradun | Tous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre. |
62 | Tous les magasins adoptent le style "na koljeno" : une arche surplombe la vitrine et la porte dans un même cadre. | |
64 | Place du marché, Gunduliceva poijana | |
65 | Place du marché, Gunduliceva poijana | |
66 | Place du marché, Gunduliceva poijana | |
67 | Immeuble de la mosquée | |
69 | Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies. | |
70 | Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies. | |
71 | Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies. | |
72 | Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies. | |
73 | Si vous avancez sur le Stradun en direction du port, vous découvrirez à votre gauche de nombreuses ruelles perpendiculaires au Stradun et très escarpées, qui grimpent vers les enceintes au nord de la ville. Ces ruelles constituent l'une des principales beautés de la ville. La découverte de ce quartier animé et très dense vaut sans nul doute une petite marche un peu fatigante. Les jeux de lumière vous offriront d'ailleurs l'occasion de faire d'excellentes photographies. | |
79 | Église dominicaine | Originellement édifiée en 1315, de l'autre côté du port près de la porte Ploce, l'église dominicaine fut reconstruite après le tremblement de terre. Son style roman initial a été partiellement conservé, et l'on retrouve, comme dans la plupart des principaux monuments, ce mélange gothique et Renaissance caractéristique de Dubrovnik. Composée d'une nef principale et de deux chapelles sur les côtés (vestiges du premier édifice), ce sanctuaire recèle de nombreuses œuvres d'art du XVe siècle, de Paolo Veneziano et Lorenzo di Marino Dobricevic. |
80 | Monastère dominicain (Bijeli fratri) | Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée. |
81 | Monastère dominicain (Bijeli fratri) | Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée. |
82 | Monastère dominicain (Bijeli fratri) | Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée. |
83 | Monastère dominicain (Bijeli fratri) | Situé dans l'aile est du monastère, le musée expose essentiellement l'art des XVe et XVIe siècles : des tableaux de Bozidarevic, Hamzic et Dobricevic, des sculptures, de l'orfèvrerie ou encore de nombreux manuscrits recueillis par les dominicains à travers les siècles. |
84 | Monastère dominicain (Bijeli fratri) | Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée. |
85 | Monastère dominicain (Bijeli fratri) | Le magnifique cloître néo-gothique du XV siècle est largement inspiré du Maso di Bartolomeo de Florence, et agréablement orné d'orangers, arbre fétiche de la ville. La bibliothèque dominicaine, datant du XII» siècle, contient de nombreux ouvrages, notamment un tractate de saint Thomas d'Aquin, du XIVe siècle. Entre les XVe et XVIIe siècles, elle fut l'une des plus grandes bibliothèques d'Europe. L'essentiel des richesses du monastère est accessible grâce au musée. |
87 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
88 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
89 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
90 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
91 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
92 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
93 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
94 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
95 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
96 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
97 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
98 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
99 | Monastère franciscain | Le monastère fut construit à partir de 1337 dans un style très traditionnel romano-gothique. Le grand tremblement de terre de 1667 a ici aussi détruit la quasi-totalité de l'édifice initial. Ne reste de l'époque que le portail principal donnant sur le Stradun, sur le fronton duquel se trouve une Pietà. Le cloître du couvent, édifié lui aussi en 1317, est à juste titre considéré comme l'un des chefs-d'œuvre de la ville, dans la plus ancienne partie du monastère. Ses quatre galeries à arcades romanes entourent un jardin splendide composé de nombreuses essences, notamment des palmiers. |
100 | Ancienne pharmacie | Située à l'intérieur du couvent franciscain, elle ouvrit dès 1317. Elle est la troisième plus ancienne pharmacie d'Europe, et la seule qui fonctionne toujours aujourd'hui. De très nombreux ustensiles d'époque sont conservés au musée du monastère. |
101 | Monastère franciscain | |
102 | Ce tableau représente la ville avant le tremblement de terre, rare vestige de cette période, qui permit d'ailleurs de reconstruire la cité en respectant au mieux les anciens plans. | |
104 | Monastère franciscain | |
107 | En face, le fort Saint-Jean | Il abrite le Musée maritime. |
110 | Le fort Saint-Jean | Il abrite le Musée maritime. |
111 | Musée maritime | Situé aux premier et second étages du fort, le Musée maritime présente les reliquats de la forte activité maritime de Dubrovnik, durant l'antiquité et le Moyen Age, jusqu'à l'apogée de la ville au XVIe siècle. |
124 | Forteresse Minčeta | Cette forteresse incrustée dans les remparts est située à l'extrême nord de la vieille ville. C'est de loin la tour la plus massive de Dubrovnik, d'où vous pourrez admirer l'étendue de la cité médiévale, les couleurs de la ville avec l'Adriatique en toile de fond. C'est historiquement le point central de protection de la ville entre les deux portes Pile et Ploce. Commencée en 1455 par Michelozzo Michelozzi, sa construction fut finalement achevée par |
127 | Monastère dominicain (Bijeli fratri) | |
128 | Monastère franciscain | |
140 | Dôme de la cathédrale et clocher du monastère dominicain | |
148 | Monastère franciscain | |
160 | Fort Bokar | A l'extrémité ouest de la ville sur les remparts, le fort Bokar protégeait surtout l'accès à la porte Pile et son pont. Surplombant la mer, cette forteresse ronde a été construite par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi entre 1461 et 1570. Des canons d'époque y sont conservés. |
162 | Fort Bokar | A l'extrémité ouest de la ville sur les remparts, le fort Bokar protégeait surtout l'accès à la porte Pile et son pont. Surplombant la mer, cette forteresse ronde a été construite par le célèbre architecte florentin Michelozzo Michelozzi entre 1461 et 1570. Des canons d'époque y sont conservés. |
165 | Clocher du monastère franciscain | |
169 | Palais Sponza (Palaca Sponza) | Situé sur la place Luza, place centrale de la cité au bout du Stradun, le palais Sponza a été construit entre 1516 et 1522. Originellement dessiné par l'architecte Paskoje Milicevic, il fut en fait réalisé par Petrovic, Radivojevié, et les frères Andrijicl. Son premier rôle historique fut d'être le siège des douanes de Dubrovnik. Mais son usage a varié au fil des siècles, le palais devenant rapidement un gigantesque entrepôt, ou abritant aussi l'hôtel des monnaies. Le palais n'a plus d'utilité commerciale ou administrative depuis la fin du XIXè siècle, et est aujourd'hui le siège d'un musée des bateaux mais surtout la scène de nombreux concerts et le théâtre du célèbre festival Libertas de Dubrovnik. Sur le plan architectural, le palais est typique de l'époque gothique Renaissance, style visible non seulement dans les arcades, mais aussi dans les fenêtres. Il présente un vaste atrium, comparable à deux cloîtres superposés encerclés de leurs deux étages d'arcades. C'est au palais Sponza que l'on trouve non seulement le mécanisme originel de la tour de l'horloge, mais aussi les statues de bronze de celle-ci, les statues qui ornent la tour n'étant que des copies. |
170 | Cathédrale au fond et Palais du Recteur à gauche | |
171 | Église Saint-Blaise à gauche et Palais Sponza | |
172 | Chapelle Saint Joseph | |
Pau, Jaca (13 photos) | ||
1 | Grand Prix de Pau | à notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ... |
2 | Grand Prix de Pau | à notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ... |
3 | Porsche 356 SC (1964) | à notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ... |
4 | Grand Prix de Pau | à notre arrivée à la gare, se déroulait le Grand Prix de Pau ..., sous la pluie ... |
5 | Jaca, forteresse | La forteresse est une construction pentagonale, munie d'un épais rempart. Le roi Felipe II ordonna sa construction dans un faubourg de Jaca parce qu'il craignait une invasion des hérétiques français. Sa construction commença en 1595, sur le plan réalisé par Tiburcio Spanoqui et se termina au XVIIIème siècle. On accède à l'intérieur par une porte de style maniériste sur laquelle apparaît l'écu des autrichiens. Elle est occupée par l'armée, qui est très présente à Jaca. Des cerfs et biches ont été acclimatés dans les fossés. >>> situation de Jaca |
6 | Jaca, forteresse | La forteresse est une construction pentagonale, munie d'un épais rempart. Le roi Felipe II ordonna sa construction dans un faubourg de Jaca parce qu'il craignait une invasion des hérétiques français. Sa construction commença en 1595, sur le plan réalisé par Tiburcio Spanoqui et se termina au XVIIIème siècle. On accède à l'intérieur par une porte de style maniériste sur laquelle apparaît l'écu des autrichiens. Elle est occupée par l'armée, qui est très présente à Jaca. Des cerfs et biches ont été acclimatés dans les fossés. >>> situation de Jaca |
7 | Jaca | Cet hôtel fait "montagnard". En hiver, la neige est abondante et les pistes proches. Les ruelles de la ville ancienne sont étroites pour s'abriter du soleil et du vent. >>> situation de Jaca |
8 | Jaca, Cathédrale | Ses origines remontent au XIème siècle, sous le règne de Sancho Ramirez, phase durant laquelle se définit son plan rectangulaire avec trois absides alignés et trois nefs. Avec l'arrivée du trône d'Alfonse I "El batallador" commence une seconde étape de construction qui se termine au milieu du XIIème siècle. La troisième étape se situe au milieu du XVème siècle, et concerne la construction de nouvelles chapelles et des stalles du chœur, et la réparation du toit. Au XVIème siècle, dans un contexte d'expansion commerciale et d'essor de la bourgeoisie locale, la cathédral de Jaca acquiert une nouvelle splendeur dans laquelle la vieille cathédrale romane se transforme en un magnifique espace dans lequel triomphe l'ornement de la renaissance. Cette période termine au XVIIème siècle, avec l'agrandissement qui occupe l'ancien cimetière capitulaire. |
9 | Jaca, Cathédrale | Ses origines remontent au XIème siècle, sous le règne de Sancho Ramirez, phase durant laquelle se définit son plan rectangulaire avec trois absides alignés et trois nefs. Avec l'arrivée du trône d'Alfonse I "El batallador" commence une seconde étape de construction qui se termine au milieu du XIIème siècle. La troisième étape se situe au milieu du XVème siècle, et concerne la construction de nouvelles chapelles et des stalles du chœur, et la réparation du toit. Au XVIème siècle, dans un contexte d'expansion commerciale et d'essor de la bourgeoisie locale, la cathédral de Jaca acquiert une nouvelle splendeur dans laquelle la vieille cathédrale romane se transforme en un magnifique espace dans lequel triomphe l'ornement de la renaissance. Cette période termine au XVIIème siècle, avec l'agrandissement qui occupe l'ancien cimetière capitulaire. |
10 | Mise au tombeau | Jaca, musée diocésain Origine : église Saint Vincent, Larues, XVème siècle |
11 | Vierge et enfant | Jaca, musée diocésain |
12 | Christ | Jaca, musée diocésain Origine : Arista. |
13 | Saint-André | Jaca, musée diocésain |
Yebra de Basa (47 photos) | ||
1 | Yebra de Basa (884m) | Les toits anciens sont de lauze (détrônée par la tuile) et l'on remarque les pittoresques cheminées surmontées de leur pierre destinée à chasser sorcières et mauvais esprits, les "espantabrujas". Randonnée au départ de Yebra par les chemins en belvédère, par les ermitages de Serrablo et Santa Orosia. Temps de marche : 4 à 5 heures. Dénivelé : 700 m. >>> situation. |
2 | Yebra de Basa (884m) | Randonnée au départ de Yebra par les chemins en belvédère, par les ermitages de Serrablo et Santa Orosia. Temps de marche : 4 à 5 heures. Dénivelé : 700 m. >>> situation. |
3 | Coquelicots | |
4 | Hepatica nobilis | Famille : Ranunculaceae Taille : 10-20 cm. Tige : courte, fibreuse, nue, velue. Feuilles coriaces, persistantes, en coeur à la base, à 3 lobes entiers, égaux, divergents, souvent rougeâtres en dessous. Fleurs bleues, roses ou blanches, solitaires, d'avril à juin ; involucre à 3 folioles ovales, entières, sessiles, rapprochées de la fleur et simulant un calice ; sépales 6-9, glabres Fruits : akènes. Habitat : bois, broussailles, lieux herbeux et rocheux. Altitude maxi : 2200 m. |
5 | Ravine | La terre est ravinée, sans plante pour la retenir. La couleur grise est celle de l'argile. Ce type de paysage rappelle les Bardenas (vers Tudela, en Navarre) où des films de western sont tournés. |
7 | Genêt très épineux | Echinospartum horridum (Vahl.) Rothm, Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl. Genêt très épineux ou Hérisson Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm). Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées. Feuilles opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses. Fleurs en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm). Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm. Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers. Sol : calcaire. |
8 | Genêt très épineux | Echinospartum horridum (Vahl.) Rothm, Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl. Genêt très épineux ou Hérisson Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm). Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées. Feuilles opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses. Fleurs en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm). Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm. Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers. Sol : calcaire. |
9 | Santolina chamaecyparissus | Santoline petit-cyprès ou Lavande coton Famille : Asteraceae Feuilles blanchâtres, pennatifides, lobes courts subcylindriques disposés sur 4 rangs. L'odeur de son feuillage ressemble à celle de la lavande d'où son nom. Fleur jaune, en boule. Fruit : akène anguleux. Elle a longtemps été utilisée par les Grecs comme vermifuge et pour éloigner les mites. |
10 | Ravine | La terre est ravinée, sans plante pour la retenir. La couleur grise est celle de l'argile. Ce type de paysage rappelle les Bardenas (vers Tudela, en Navarre) où des films de western sont tournés. |
11 | Ravine | La terre est ravinée, sans plante pour la retenir. La couleur grise est celle de l'argile. Ce type de paysage rappelle les Bardenas (vers Tudela, en Navarre) où des films de western sont tournés. |
12 | Halte du chemin de croix | Légende de Santa Orosia : Santa Orosia était une princesse de la Bohême, fille de Mojslav, née en 855, qui arriva en Aragon pour se marier avec un prince de ces montagnes, Fortún Garcés. En chemin, elle fut enlevée par un chef maure qui voulut l'épouser. Le prince et l'évêque qui accompagnaient la princesse furent assassinés. Après avoir refusé, elle se réfugia dans les montagnes de Yebra, se cachant dans les cavernes. Mais le chef maure la retrouva et la fit exécuter : elle eut les mains et les pieds coupés, puis la tête tranchée. Un berger à l'inspiration divine a retrouvé le corps, le 25 juin 1072. La tête fut enterrée à Yebra et le reste à Jaca. Santa Orosia est patronne de Jaca et de Yebra et sa fête, le 25 juin, donne lieu à des processions. |
13 | Primevère | |
16 | Myosotis | Nom scientifique : Myosotis sylvatica Famille : Borraginacées Borraginaceae Floraison : Mais-septembre Hauteur : 5-25 cm |
17 | Poudingue | amas de pierre roulées, cimentées entre elles. |
18 | Genêt très épineux | Echinospartum horridum (Vahl.) Rothm, Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl. Genêt très épineux ou Hérisson Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm). Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées. Feuilles opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses. Fleurs en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm). Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm. Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers. Sol : calcaire. |
19 | Gymnadenia conopsea | Orchis moucheron Famille : Orchidacées Classe : Monocotylédones Taille : 20 à 50 cm. Tige : cylindrique, assez fine, glabre, parfois rougeâtre au sommet. Feuilles : linéaires, lancéolées, groupées par 4 à 8, de couleur vert uni, de plus en plus petites en remontant la tige. Fleurs : Longue inflorescence (environ 50 fleurs), couleur rose. Sépales latéraux horizontaux, le médian formant un casque avec les pétales. Habitat : côteaux secs, prés, broussailles, marécages, alpages, Sols calcaires. Altitude maxi : 2 700 m. |
21 | Torrent | Les torrents dévalent en direction de la rivière Basa. |
22 | Torrent | Les torrents dévalent en direction de la rivière Basa. |
23 | Église de la grotte | 7 ermitages jalonnent le chemin jusqu'au Port (col) de Santa Orosia. |
24 | Église de la grotte | Légende de Santa Orosia : Santa Orosia était une princesse de la Bohême, fille de Mojslav, née en 855, qui arriva en Aragon pour se marier avec un prince de ces montagnes, Fortún Garcés. En chemin, elle fut enlevée par un chef maure qui voulut l'épouser. Le prince et l'évêque qui accompagnaient la princesse furent assassinés. Après avoir refusé, elle se réfugia dans les montagnes de Yebra, se cachant dans les cavernes. Mais le chef maure la retrouva et la fit exécuter : elle eut les mains et les pieds coupés, puis la tête tranchée. Un berger à l'inspiration divine a retrouvé le corps, le 25 juin 1072. La tête fut enterrée à Yebra et le reste à Jaca. Santa Orosia est patronne de Jaca et de Yebra et sa fête, le 25 juin, donne lieu à des processions. |
25 | Église de la grotte | >>> situation. |
26 | Église de la grotte | |
27 | Église de la grotte | |
28 | Saxifrages | Nom latin : Saxifragia longifolia. |
29 | Cascade | |
30 | Saxifrages | Nom latin : Saxifragia longifolia. |
31 | Ermitage | un des 7 ermitages du chemin de croix. Légende de Santa Orosia : Santa Orosia était une princesse de la Bohême, fille de Mojslav, née en 855, qui arriva en Aragon pour se marier avec un prince de ces montagnes, Fortún Garcés. En chemin, elle fut enlevée par un chef maure qui voulut l'épouser. Le prince et l'évêque qui accompagnaient la princesse furent assassinés. Après avoir refusé, elle se réfugia dans les montagnes de Yebra, se cachant dans les cavernes. Mais le chef maure la retrouva et la fit exécuter : elle eut les mains et les pieds coupés, puis la tête tranchée. Un berger à l'inspiration divine a retrouvé le corps, le 25 juin 1072. La tête fut enterrée à Yebra et le reste à Jaca. Santa Orosia est patronne de Jaca et de Yebra et sa fête, le 25 juin, donne lieu à des processions. |
32 | Spirées | La croix marque le point culminant de la falaise. |
33 | Ermita d'o Zoque | |
35 | Église Santa Orosia | Altitude : 1575 m. Le plateau est dominé par le Mont Oturia, 1921 m. |
36 | Église Santa Orosia | À côté du sanctuaire, une source jaillit de la bouche de trois têtes taillées dans le roc. |
37 | Sabiñánigo | La descente se fait par une zone découverte, vertigineuse, au pied de la falaise, pour atteindre le village abandonné (ou presque) de San Roman. Au loin, Sabiñánigo et le Belvédère de la Peña Oroel. >>> situation. |
39 | La forêt comprend des chênes à petites feuilles coriaces, Quercus faginea, des genévriers, du houx, des bouleaux dans les parties basses. | |
40 | Village abandonné de San Roman | |
41 | Village abandonné de San Roman | |
44 | Un petit air de Colorado | |
45 | Champs de blé | de retour à notre hotel, à 10 km à l'ouest de Jaca. |
Belvédère de la Peña Oroel (39 photos) | ||
1 | Belvédère de la Peña Oroel | Randonnée 2 : Belvédère de la Peña Oroel et ermitage de la Virgen de la Cueva. Temps de marche : 4 à 5 heures. Dénivelé à la montée de 500 m., dénivelé à la descente de 500 m. Il va falloir monter tout là haut ! >>> situation de Jaca |
2 | Les Pyrénées | le pic à gauche est le Pico de la Garganta |
3 | Forêt de pins | Le chemin attaque un fort dénivelé en direction sud, à travers un bois de pins. |
5 | Primevère | |
7 | Vers le Nord | 40 mn de marche : le bois de pins laisse place à un bois de sapins qui surveillent alors le sentier. |
8 | Halte | |
9 | 1h25 : le col qui donne accés au dos de la Peña. 1.727m. Une fois atteint cette zone, connue comme les Neveras, nous suivons la marche par la crête jusqu'au sommet occidental. | |
10 | Arrivée | 1h45 : aprés avoir dépassé les douces pentes finales on atteint la croix de Oroel, 1.769m. Devant nos yeux apparaissent d'importants sommets pyrénéens, Peña Forca, Bisaurín, Aspe, Collarada, Telera, Tendenera...et la ville de Jaca au pied de ces montagnes, alors qu'au sud nous pouvons découvrir des chaînes comme celle de San Juan de la Peña, Oturia et Guara. |
11 | Gentiane | Nom scientifique : Gentiana lutea L. Origine du nom :le premier usage de la plante reviendrait à Gentius, roi d'Illyrie, au IIe siècle av J.-C. Tige unique, robuste, entièrement glabre. Taille : 1 m et plus. Feuilles : en rosette à la base, puis opposées et embrassantes, longues de 30 cm, larges de 15 cm. Fleurs de 5 à 6 pétales jaune d'or, étalés en étoile, groupées par 5 à 10 à l'aisselle des feuilles formant cuvette. La plante ne fleurit pour la première fois qu'après 10 ans de végétation, de juin à août. Elle vit plus de 50 ans. Fruits : graines de 1 milligramme disséminées par le vent. Habitat : au-dessus de 800 m et jusqu'à 1800 m dans les prés maigres, les pâturages. Utilisation : en médecine ("teinture de gentiane" : faire macérer 15 j, 30 à 50 g de racines, dans un litre d'alcool à 45¡, filtrer). En cas d'indigestion prendre 10 gouttes sur un morceau de sucre. Vin de gentiane : Mettre à macérer 10 jours 30 g de racine sèche de gentiane dans un litre de vin blanc. Reconstituant, lorsqu'on a eu la grippe, ou en cas d'anémie, prendre un verre avant les repas car il augmente les défenses. Contre la goutte, prendre un verre avant les repas. |
12 | Vers le Sud | 2h00 : commence la déviation de l'ermitage. Suivre le petit sentier qui descend par le versant sud de la Peña. L'itinéraire passe par des prairies et on s'introduit dans une pinéde dense. |
13 | Église de l'ermite | |
14 | Chemin de l'ermitage | altitude : 1460 m. |
24 | Rose sauvage | |
27 | Entretien de la forêt | |
29 | Parvino de Ordoles | |
30 | Parvino de Ordoles | |
31 | Parvino de Ordoles | |
32 | Parvino de Ordoles | |
33 | Parvino de Ordoles | |
34 | Parvino de Ordoles | |
35 | Parvino de Ordoles | |
36 | Parvino de Ordoles | |
37 | Parvino de Ordoles | |
38 | Parvino de Ordoles | |
39 | Fin de randonnée | La chaîne vue du Sud (versant Sud). La dénivelée au retour est de 760 m. |
Monasterio de San Juan de la Peña (34 photos) | ||
1 | Monasterio Nuevo de San Juan de la Peña | En 1675, un incendie ravage le monastère d'en bas : l'hôtellerie, le réfectoire et les riches archives du monastère brûlèrent. On reconstruit le monastère sur le plateau : c'est le "nouveau" monastère (1693-1705), qui adopte le style en vogue, le baroque. En 1835, la séparation de l'église et de l'État appauvrit le monastère qui se vide de ses moines. |
2 | Le monastère Nuevo est sur ce plateau. La randonnée nous conduit vers l'ancien monastère, à flanc de falaise. | |
3 | Monastère de San Juan de la Peña | Au début de l'invasion musulmane, un groupe d'ermites se réfugient dans les Sierras, contreforts des Pyrénées. En l'an 920, le comte d'Aragón Galindo Aznarez II conquiert les terres du Sud du fleuve Aragón, arrivant depuis la Sierra de San Juan de la Peña. Il fonde un premier monastère, dédié aux saints Julian et Basilisa. La légende raconte qu'un chevalier, égaré, trouve par hasard la grotte où vécut un ermite. À cet emplacement, il décide d'élever l'église, la plus ancienne, en partie dans la grotte, de style roman "mosarabe" (chrétien en teritoire musulman, dénotant une influence arabe). En 1084, les reliques de San Indalecio, premier évêque d'Alméria,sont translatées. En 1101, Sancho Ramírez, second roi d'Aragón, reconstruit le monastère au-dessus de l'ancien et en fait le panthéon des rois d'Aragón. Il le dote d'immenses domaines territoriaux et commence la construction de la seconde église, de style roman pur (voûte en berceau plein cintre). Les nobles enterrés font des dons au monastère. Au XIIème siècle, le monastère perd la parrainage papal et des rois aragonais qui déplacent leur capitale à Huesca. Mais en 1157, menacé par la ruine, le monastère est sauvé grâce à l'intervention du Pape Adriano VI et du comte Ramón Berenger IV, prince d'Aragón. En 1245, l'abbé Iñigo conclut un accord qui permet au monastère d'inaugurer une autre période de paix et de devenir un des principaux centres bénédictins d'Aragón. >>> lire cette page |
4 | Monastère de San Juan de la Peña | chapelle romane de l'église haute. |
5 | Chapiteau : annonciation | |
6 | Chapiteau : Adam et Ève | |
7 | Chapiteau : Caïn tue Abel | il utilise un marteau pour son forfait. |
9 | Chapiteau : Marthe demande la résurrection de Lazare | |
10 | Chapiteau : Jésus choisit ses apôtres | |
11 | Chapiteau : la cène | |
12 | Plaque tombale | |
13 | Cloître | Le cloître date du XIIème siècle. Il est sous la roche. Cette situation est peu commode pour les moines, à cause des éboulements de roches, de l'excès d'humidité et de l'absence de lumière du soleil. |
14 | Saxifrage | Nom latin : Saxifragia longifolia. |
15 | Saxifrage | Nom latin : Saxifragia longifolia. |
16 | Genêt très épineux et saxifrage | Genêt très épineux Echinospartum horridum (Vahl.) Rothm., Cytisanthus horridus (Vahl.) Gams, Genista horrida (Vahl.) DC., Spartium horridum Vahl. Sous-arbrisseau vivace formant des coussins hémisphériques très denses et très épineux (20-50 cm). Tige très ramifiée ; rameaux opposés, d'un vert blanchâtre, arrondis et striés, portant des épines vertes, robustes, dressées. Feuilles : opposées, brièvement pétiolées, trifoliolées à folioles linéaires-oblongues et pubescentes-soyeuses. Fleurs : en juin-août, solitaires ou par 2 à l'extrémité des rameaux, portées par des pédoncules plus courts que le tube du calice ; calice velu, tubuleux, à 2 lèvres parallèles, la supérieure à 2 dents effilées, l'inférieure tridentée ; corolle jaune vif à étendard pubescent extérieurement, échancré au sommet et à peine retroussé au-dessus des ailes, égal à la carène (12-16 mm). Fruit : légume dressé, ovale-oblong, acuminé, velu-soyeux, de 9-14 mm de long sur 4-5 mm. Habitat : pelouses arides, rocailles, rochers. Sol : calcaire. |
18 | Santa Cruz de la Serós | "de la Serós" vient de "de los sorores", allusion aux sœurs bénédictines du monastère. Le village est sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle. |
19 | Santa Cruz de las Seros | |
20 | Église Santa Maria de Santa Cruz de las Seros | Ramiro Ier fonda un monastère pour femmes, et notamment pour sa cadette, Urraca. Doña Sancha, veuve du Comte Ermengol III de Urgel la rejoint en 1070. Elles habitaient dans une tour accolée à l'église. Cette tour est décorée de fenêtres géminées. Une chambre est construite au-dessus de la nef, d'où l'allure inhabituelle de l'église vue de l'extérieur. |
21 | Église Santa Maria | Ramiro Ier fonda un monastère pour femmes, et notamment pour sa cadette, Urraca. Doña Sancha, veuve du Comte Ermengol III de Urgel la rejoint en 1070. Elles habitaient dans une tour accolée à l'église. Cette tour est décorée de fenêtres géminées. Une chambre est construite au-dessus de la nef, d'où l'allure inhabituelle de l'église vue de l'extérieur. |
26 | Portail de l'église | C'est une réplique de celui de la Cathédrale de Jaca. Deux lions encadrent le monogramme du Christ pour interdire l'accès aux impurs. Le Chrisme ou Chrismon est le monogramme du Christ. Il est formé par l'association des deux premières lettres du mot "XPIS", ou "Christ" en grec : X (khi) et P (rhô). Il est inscrit dans un cercle, symbole de Dieu et de l'éternité, ou dans une couronne, symbole de la victoire obtenue par la résurrection du Christ. Le chrisme est accompagné de l'Alpha et de l'Oméga, première et dernière lettre de l'alphabet grec. Signification : Le Christ est le Commencement et le terme de toute la création. Il apparaît au début du IVème siècle avec l'empereur Constantin qui le fait figurer sur son étendard. Le terme "pax" est aussi doté de signification symbolique : le "P" fait allusion au "padre", "A" au fils et "X" à l'Esprit saint. Le nombre de lettres, 3, est aussi le nombre de la trinité. |
27 | Le plan de l'église est en croix latine. La nef est couverte en voûte plein cintre. | |
28 | Fenêtre géminée | Dans la chambre haute, au-dessus de la nef. |
29 | Retable Santo Entierro | |
30 | Vitrail | La lumière est tamisée par le vitrail en pierre translucide. |
32 | Cheminée typique | Ces cheminées sont dites sarrasines. |
34 | Toit de lauze | |
Villalongua à Agüero (86 photos) | ||
1 | Lac articiel de la Peña | >>> situation de Jaca |
10 | Retenue de la Peña | |
11 | Retenue de la Peña | |
12 | Champ d'avoine | |
13 | Champ d'avoine | |
14 | Champ d'avoine | |
15 | Champ de blé | |
18 | Magasin de campagne | |
21 | Coquelicots | |
22 | Coquelicots | |
23 | Coquelicots | |
24 | Coquelicots | |
25 | Coquelicots | |
26 | Coquelicots | |
27 | Coquelicots | |
28 | Coquelicots | |
29 | Coquelicots | |
30 | Coquelicots | |
31 | Villalongua | |
32 | Randonnée de Villalongua à Agüero | |
33 | Randonnée de Villalongua à Agüero | Durée : 6 h. On part de 700 m, gravit doucement le versant nord de pour atteindre un col à 1100m. Entre temps, on a atteint le village abandonné de Salinas Vieja - les anciennes salines. Il ne reste que des murs de grés rouges, que l'on découvre tels des des donjons en ruine. La montée s'effectue sur des terres boisées et ombragées. Le passage du col débouche sur une plaine aride, en pente douce. La route est encore longue vers Agüero, mais des fontaines que notre guide sait trouver vont nous apporter la joie d'une eau fraîche. Je prends la tête et m'arrête une demi-heure attendre le groupe, à l'abri des seuls arbres, des pins. Bien m'en a pris, car notre chemin bifurque là et je n'avais pas rien remarqué. Si j'avais continué sur ma lancée, sur le chemin principal, je serais arrivé à une dizaine de kilomètres de notre destination, sans éléphone où appeler, sans connaître écisément notre rendez-vous, ni même l'hôtel pour le soir ! >>>> |
34 | Villalongua | Le village a été construit en remplacement de Salinas Vieja, qui était trop isolée et inaccessible en voiture. |
41 | Doigts de fées | Le chemin passe au pied de doigts de fées qui se dressent fièrement, telles des sentinelles, qui n'admettent de converser qu'avec les vautours. Un moment je reconnais une forme, que je prends pour une personne, tout en haut. J'en déduis que le sommet est accessible. Avec les jumelles, je réalise qu'il s'agit d'un grand oiseau, un vautour sans doute. |
42 | Le chemin passe au pied de doigts de fées qui se dressent fièrement, telles des sentinelles, qui n'admettent de converser qu'avec les vautours. Un moment je reconnais une forme, que je prends pour une personne, tout en haut. J'en déduis que le sommet est accessible. Avec les jumelles, je réalise qu'il s'agit d'un grand oiseau, un vautour sans doute. | |
47 | Salinas Vieja en ruine | Voilà ce qui reste d'un antique village dédié à la collecte du sel : des murs muets, aussi fiers que des ruines de quelques donjons. |
48 | Salinas Vieja en ruine | Voilà ce qui reste d'un antique village dédié à la collecte du sel : des murs muets, aussi fiers que des ruines de quelques donjons. Le chemin passe en contre-bas. |
49 | Vous voyez le "W" formé par la falaise : le col est là. | |
51 | Vue depuis le col, à 1100 m | vue vers le Nord |
53 | le col et son W est en haut. | |
54 | Le passage du col a débouché sur une plaine aride, en pente douce. | |
55 | Assoiffés, des arbres sont morts. | |
56 | Papillon butinant une Centaurée jacée | Le nom d'espèce "Centaurée" proviendrait du grec ladzô en liaison avec la couleur violette de la fleur. Dans la forêt de Pélion, Héraklès extermina les centaures sauvages, mais il blessa le sage Chiron qui dut se guérir avec l'herbe appelée aujourd'hui Centaurée. |
57 | Papillon | |
58 | Papillon | |
59 | Papillon | |
60 | Papillon | |
62 | Les Mallos d'Agüero | Les mallos sont des formations constituées de galets noyés dans une sorte de ciment naturel. |
72 | Agüero et ses Mallos | Le village se blottit autour de son église romane Santiago du XIIe siècle. |
73 | Agüero et ses Mallos | Le village se blottit autour de son église romane Santiago du XIIe siècle. |
80 | Verger d'amandiers | |
81 | Verger d'amandiers | |
83 | Murillo de Gállego | Il a fait très chaud toute la journée et vers 19h, l'orage a éclaté. Des trombes d'eau se sont abattues sur la chaussée et les champs desséchés. Laissant mes bagages à l'hôtel où nous venions d'arriver, j'ai couru "couvrir" l'événement, escaladant des murets et des pentes pour profiter du spectacle malgré la pluie qui m'a trempé complètement. |
84 | Mallos de Riglos | vu de Murillo de Gállego. |
85 | Murillo de Gállego et Mallos de Riglos | |
86 | Murillo de Gállego et Mallos de Riglos | |
Mallos de Riglos (25 photos) | ||
1 | Mallos de Riglos | vu de Murillo de Gállego. Ce jour, il n'a pas plu. Le soleil couchant libère les couleurs ocres les plus chaudes de la paroi. |
2 | Mallos de Riglos | vu de Murillo de Gállego. Ce jour, il n'a pas plu. Le soleil couchant libère les couleurs ocres les plus chaudes de la paroi. |
3 | Murillo de Gállego et Mallos de Riglos | l'église |
4 | Entre Murillo de Gállego et Mallos de Riglos | |
5 | Entre Murillo de Gállego et Mallos de Riglos | |
6 | Mallos de Riglos | Altitude : 678 m. Situation : à 56 km de Jaca, 42 km de Huesca, 129 km de Pamplona, 89 km du col du Somport, 108 km du col du Portalet et 122 Km de Saragosse. Au pied des falaises de pudding est blotti le petit village de Riglos avec ses maisons blanches. >>>> |
7 | église Nuestra Señora del Mallo | Mallos de Riglos Altitude : 678 m. Situation : à 56 km de Jaca, 42 km de Huesca, 129 km de Pamplona, 89 km du col du Somport, 108 km du col du Portalet et 122 Km de Saragosse. >>>> situation |
8 | Mallos de Riglos | Altitude : 678 m. Situation : à 56 km de Jaca, 42 km de Huesca, 129 km de Pamplona, 89 km du col du Somport, 108 km du col du Portalet et 122 Km de Saragosse. Monuments naturels formés par l'érosion, ces doigts de pudding ocres sont constitués de galets noyés dans une sorte de ciment naturel. Au pied de ces falaises est blotti le petit village de Riglos avec ses maisons blanches. Une des parois abrite une des plus importantes colonies de vautours fauves d'Europe. >>>> situation |
9 | Mallos de Riglos | |
10 | Mallos de Riglos | |
11 | Mallos de Riglos | |
12 | Mallos de Riglos | |
13 | Mallos de Riglos | |
14 | Sierra de Loarre | |
15 | Mallos de Riglos | Monuments naturels formés par l'érosion, ces doigts de pudding ocres sont constitués de galets noyés dans une sorte de ciment naturel. |
16 | Mallos de Riglos | Monuments naturels formés par l'érosion, les parois de pudding ocres sont constitués de galets noyés dans une sorte de ciment naturel. Une des parois abrite une des plus importantes colonies de vautours fauves d'Europe. Elles attirent les varapeurs chevronnés. |
17 | Mallos de Riglos | Au pied des falaises de pudding est blotti le petit village de Riglos avec ses maisons blanches. |
18 | Mallos de Riglos | |
19 | Mallos de Riglos | |
21 | au loin Mallos de Riglos. à droite, le rio Gállego, étymologiquement "celui qui vient des Gaules", est le paradis des rafteurs. L'eau est abondante à la fonte des neiges, et encore en début d'été. J'ai pu me baigner, en prenant garde au fort courant. | |
22 | Berger | |
23 | Verger d'amandiers | |
24 | au loin, Mallos de Riglos | |
25 | Verger d'amandiers | au loin, Mallos de Riglos |
Palma, Espagne, Majorque (24 photos) | ||
1 | Rue Monti-Sion | |
2 | Cloître Saint-François | Commencé en 1286, il a été terminé au 14è siècle. Les arcades sont découpées en plusieurs lobes et reposent sur de fragiles colonnettes. |
3 | Basilique Saint-François | Elle date du 13è-14è siècle et elle est de style gotrhique. |
4 | Can Vivot | cour intérieure d'un hôtel particulier. |
5 | Plaza Mayor | |
6 | Art nouveau | Rue Constitucio, à côté du Passeig des Born. |
7 | Art nouveau | Place Pescateria |
8 | Olivier centenaire | place Cort, face à la Mairie. |
9 | Olivier centenaire | |
10 | Petit commerce | |
11 | Marché central | La capitale Palma a une population de 360.000 habitants sur les 720.000 habitants que compte Majorque |
12 | Marché central | |
13 | Marché central | |
14 | Vu de l'Almudaina | L'Almudaina est ancien palais des princes maures Walis qui a été remanié par les rois de Majorque au 14è et 15è siècle. |
15 | Cathédrale | Construite sur des murailles plus anciennes, la Cathédrale se reflétait dans les eaux de la baie, jusqu'à la construction d'une voie rapide. Le principe du bassin a été préservé. |
16 | Cathédrale | "La Seu" (14è-16è siècle). Sa construction débuta sous le règle de Jaime II sur une superficie de 7 000 m2. Elle comprend trois nefs. De magnifique vitraux polychrome et une rosace de 12,5 m de diamètre illuminent l'intérieur de la Cathédrale. La tour de la Campana, contient 9 cloches. La plus grande, nommée "N'Eloi", mesure 2 mètres de diamètre et pèse 4 tonnes et demi. |
17 | Cathédrale | "La Seu" (14è-16è siècle). Sa construction débuta sous le règle de Jaime II sur une superficie de 7 000 m2. Elle comprend trois nefs. De magnifique vitraux polychrome et une rosace de 12,5 m de diamètre illuminent l'intérieur de la Cathédrale. La tour de la Campana, contient 9 cloches. La plus grande, nommée "N'Eloi", mesure 2 mètres de diamètre et pèse 4 tonnes et demi. |
18 | Cathédrale | Construite sur des murailles plus anciennes, la Cathédrale se reflétait dans les eaux de la baie, jusqu'à la construction d'une voie rapide. Le principe du bassin a été préservé. |
20 | régate internationale de vieux gréments | |
21 | régate internationale de vieux gréments | |
Pollença, Espagne, Majorque (6 photos) | ||
1 | Pollença | Une vedette vous emmène jusqu'aux plages de Formentor. |
2 | chemin de Pollença à Cala San Vincente (1h15 de marche) | |
3 | Cala San Vincente | Ses eaux turqoises et limpides sont riches en poissons colorés. |
4 | Vallée de Bóquer | À gauche, l'arête calcaire de Cavall Bernat culmine à 360 m. La végéattion comprend des palmiers nains, les garballos, typiques de Majorque. |
5 | Cala de Bóquer | Cette crique est accessible par mer ou par un chemin pédestre (1h30 de Pollença). La plage est en graviers et entourée de rochers. |
6 | Peu d'herbe pour cette chèvre qui cherche de l'ombre, par 35° C. | |
Sóller, Espagne, Majorque (19 photos) | ||
1 | Sóller | Vue depuis la halte du train touristique. Ce train part de Palma et franchit la Serra Tramuntane pour atteindre Sóller en 1h30. Sóller est au fond d'un vallon, entouré de hautes montagnes, à 3 km de la côte et du port de Sóller. La ville s'est enrichie à la fin du 19è siècle de constructions d'Art nouveau, construites par des habitants ayant émigré en France. La façade de la cathédrale fut reconstruite à cette époque. |
2 | Biniaraix | |
3 | Biniaraix | Le village est niché parmi les vergers d'orangers (oranges légèrement amères). |
4 | Oliviers en terrasse | |
5 | Pin, caroubier (vert foncé) et olivier | |
6 | Cactus au jardin botanique | |
7 | Oranger | |
8 | Olivier, pin et oranger | |
11 | Banque de Sóller | grille de fenêtre en fer forgé La Banque de Sóller a été fondée en 1889 avec les dépôts des émigrants enrichis en France. L'immeuble moderniste a été construit par Joan Rubió en 1912. |
13 | Oliviers en terrasse | |
14 | Puerto de Sóller | On atteint Puerto de Sóller avec un petit tram électrique, racheté à la société des Tram de Bilbao. |
15 | Puerto de Sóller | pointus de la Méditerranée |
16 | Puerto de Sóller | |
17 | Puerto de Sóller | |
18 | Puerto de Sóller | |
19 | Orage en mer | |
Héraklion (38 photos) ![]() | ||
1 | Palais de Cnossos | |
Hania [Rania] - La Canée, Crète (36 photos) ![]() | ||
4 | Mosquée des Janissaires | |
22 | Saint-Nicolas | |
23 | Cathédrale orthodoxe | |
Gorge Haghia Irini (Sainte-Irène), Crète
(19 photos) ![]() | ||
2 | Oliviers | |
6 | Oliviers | |
10 | Pins (Pinus brutia) | |
19 | Sougia [Souia] | |
Plateau d'Omalos, Crète (22 photos) | ||
1 | Le plateau est situé à 1130 m d'altitude, entouré de montages. C'est le point de départ des excursions et randonnées vers la gorge Sainet-Irène (vers le Sud-ouest), vers le Mont Giglios (au Sud) et les Gorges de Samaria, au Sud-ouest. | |
7 | Aubépines | |
15 | Aubépines | |
Mont Giglios, Crète (47 photos) ![]() | ||
1 | Xiloskalo : départ des randonnées (1200 m) | |
2 | Cyprès (Cypressus sempervirens) | |
4 | Cyprès (Cypressus sempervirens) | |
5 | Cyprès (Cypressus sempervirens) | |
39 | Chêne vert (Quercus coccifera) | |
40 | Érable persistant (Acer sempervirens) | |
Gorges de Samaria, Crète (68 photos) ![]() | ||
1 | Le Mont Giglios | Celui que nous avons gravi la veille. |
5 | Pins (Pinus brutia) | |
6 | La descente vers la gorge de Samaria | 600 m de dénivellée, tout en escaliers de pierre. |
13 | Agrimi (chèvre sauvage) | |
14 | Chapelle Saint-Jean | |
16 | Halte à la fontaine | Inutile de se charger d'eau : les fontaines d'eau de source sont tous les 2 km. Ce monsieur, ici, terminera à dos de mulet, ayant sans doute surestimé sa capacité de marcheur. |
21 | Grenadier | |
22 | Troncs enlacés de figuier | |
23 | Tronc de vieil olivier | |
27 | Village abandonné de Samaria | |
49 | Partie la plus étroite | Elle fait 3 m de largeur. |
54 | Village abandonné, à la sortie de la gorge | |
63 | Ancien fort vénitien | |
68 | Aghia Roumeli | |
de Haghia Roumeli à Marmara et Loutro, Crète (60 photos) | ||
1 | Aghia Roumeli | |
14 | Église Saint-Paul | Construite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin. |
15 | Église Saint-Paul | Construite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin. |
16 | Église Saint-Paul | Construite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin. |
17 | Église Saint-Paul | Construite au Xè siècle par des rescapés d'un navire de Santorin. |
27 | Marmara | |
28 | Gorge de Marmara | |
34 | Caroubier | |
36 | Tamaris | |
39 | Ancien fort vénitien Pikilassos | |
44 | Loutro | |
45 | Loutro | |
46 | Loutro | |
47 | Loutro | |
48 | Loutro | |
53 | Loutro | |
59 | Retour sur Héraklion | |
Moulins de Kinderdijk (35 photos) ![]() | ||
1 | Moulin de Nederwaard | Ils ont été construits en 1738. Ils sont circulaires en pierre. |
9 | Moulin n°2 | |
10 | Moulin n°2 | |
11 | Moulin n°2 | |
15 | Moulin de l'Overwaard | Ils ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume. |
16 | Moulin n°2 | |
19 | Moulin n°2 | |
20 | Moulin n°2 | |
31 | Moulin de l'Overwaard | Ils ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume. |
32 | Moulin de l'Overwaard | Ils ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume. |
33 | Moulin de l'Overwaard | Ils ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume. |
34 | Moulin de l'Overwaard | Ils ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume. |
35 | Moulin de l'Overwaard | Ils ont été construits en 1738. Ils sont octogonaux et en bois, avec des toits de chaume. |
Jardin de Keukenhof (83 photos) ![]() | ||
1 | Entre Alphen et Lisse | |
9 | Fancy frills (rose, frangée) | |
16 | White emperor (blanc), Sparkling fire (rouge) | |
18 | Hearts Delight | |
24 | Double Hâtive | Fleurs doubles, légèrement frangées jaune vif. Elle ressemble à une pivoine. Variété obtenue en 1955 Hauteur : 30 cm |
37 | Tulipa Desert Sun | |
38 | Tulipa Desert Sun | |
40 | Tulipe Abba | C'est une tulipe à fleur double (beaucoup de pétales), de couleur rouge et jaune au centre. |
41 | Tulipe Abba | C'est une tulipe à fleur double (beaucoup de pétales), de couleur rouge et jaune au centre. |
50 | Tulipe 'Pieter De Leur' | |
51 | Muscari armeniacum 'Blue spike' | Famille : Liliacées Origine : Arménie. "Muscari" signifie "bulbe" en turc. Habitat : sol assez fertile, bien drainé, en sous-bois ou au soleil. Taille : 20 cm. Feuilles : d'août à mai (donc en hiver). Les feuilles résistent à -18°C. Elles se dessèchent en été. Il faut les couper à ce moment-là.. Fleurs : en avril, mai ; bleues odorantes en forme de grappe. Pour obtenir un bel effet dès la première année, les muscaris doivent être plantés en groupes. L'association avec d'autres bulbes, comme des tulipes jaunes ou rouges, est idéale pour mettre en valeur le bleu intense de leurs fleurs. Reproduction : bulbe, semis. Se plante à l'automne. Divisez les touffes devenues trop denses tous les trois ans après le jaunissement des feuilles en été. |
75 | Noordwijk aan Zee | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. |
76 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
77 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
78 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
79 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
80 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
81 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
82 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
83 | Bloemencorso Bollenstreek (corso fleuri), de Noordwijk à Haarlem, les 24 et 25 avril 2004. Partie de Noordwijk le samedi 24 avril, à 9h30, la grande parade des chars fleuris emprunte un itinéraire d'une quarantaine de kilomètres en passant par Voorhout, Sassenheim, Lisse, Hillegom, Bennebroek et Heemstede pour gagner la ville de Haarlem vers 20h30. La parade elle-même fait 3,5 kilomètres de longueur. Le corso fleuri de la région des fleurs attire tous les ans environ 1 million de visiteurs. Le lendemain, le chemin inverse est parcouru et c'est à Noorwijk que l'on peut voir les véhicules fleuris. | |
Budapest (100 photos) | ||
1 | Hôtel Gellert | Le bâtiment est de style Art Nouveau. Les bains furent ouverts en 1918. |
2 | Bains Gellert | Le bâtiment est de style Art Nouveau. Les bains furent ouverts en 1918. |
3 | Bains Gellert | Le bâtiment est de style Art Nouveau. Les bains furent ouverts en 1918. |
4 | Bains Gellert | |
5 | Bains Gellert | |
6 | Bains Gellert | |
7 | Bains Gellert | |
8 | Bains Gellert | |
9 | Bains Gellert | |
10 | Bains Gellert | |
11 | Bains Gellert | |
12 | Bains Gellert | |
13 | Bains Gellert | |
14 | Hôtel Gellert | |
15 | Hôtel Gellert | |
16 | Hôtel Gellert | |
17 | Au pied du Mont Gellért | |
18 | Pont Élisabeth | |
19 | Le Parlement et le Pont de Chaînes | |
20 | Le Pont de Chaînes | |
21 | Place Saint Georges (Szent György tér) | |
22 | Place Saint Georges (Szent György tér) | |
23 | Vu du Palais Royal | |
24 | Vu du Palais Royal | |
25 | Vu du Palais Royal | |
26 | Le Parlement | |
27 | Palais Royal | La bâtisse du Moyen Age vit le jour sous le règne des princes angevins, puis fut agrandi successivement par les rois Louis Le Blanc, Sigismond de Luxembourg qui donna au château sa renommée européenne. Puis Mathias Corvin en modifia l'aspect en ajoutant une aile mais les Turcs détruisirent totalement l'édifice. Le nouvel édifice fut terminé à la fin du XVIIIe siècle dans un style néo-baroque. L'intérieur de ses ailes renferment la galerie Nationale hongroise, le musée d'Art Contemporain et le musée d'Histoire de Budapest. |
28 | Palais Royal | La bâtisse du Moyen Age vit le jour sous le règne des princes angevins, puis fut agrandi successivement par les rois Louis Le Blanc, Sigismond de Luxembourg qui donna au château sa renommée européenne. Puis Mathias Corvin en modifia l'aspect en ajoutant une aile mais les Turcs détruisirent totalement l'édifice. Le nouvel édifice fut terminé à la fin du XVIIIe siècle dans un style néo-baroque. L'intérieur de ses ailes renferment la galerie Nationale hongroise, le musée d'Art Contemporain et le musée d'Histoire de Budapest. |
34 | Église Mátyás et la colonne de la peste | |
37 | Bastion des pêcheurs | |
38 | Façades baroques | |
41 | Palais Gresham | Construit en 1907, dans un style Art nouveau en rupture avec le style art nouveau classique, le Palais Gresham a intégré dans sa façade des motifs et des formes diverses. Il a été transformé en hôtel de luxe. |
42 | Le Pont de Chaînes | |
43 | Le Pont de Chaînes | |
44 | Palais Royal | |
45 | Palais Gresham | Construit en 1907, dans un style Art nouveau en rupture avec le style art nouveau classique, le Palais Gresham a intégré dans sa façade des motifs et des formes diverses. Il a été transformé en hôtel de luxe. |
46 | Le Pont de Chaînes | |
47 | Le Parlement | |
50 | Hôtel Gellert | |
52 | Hôtel Gellert | |
53 | Les Halles centrales | Situé place Vámház, les Halles Centrales ont été construites par le bureau Eiffel. |
60 | En face des Halles | Façades baroques jaunes, vert pistaches, ... |
64 | Alagút (tunnel face au Pont de Chaînes) | Il mesure 350 mètres de long. Le kilomètre 0 de Budapest se trouve à gauche de l'Alagút (le tunnel) face au Pont de Chaînes (Lánchíd ou Széchenyi Lánchíd du nom de son concepteur) et de la place Clark Ádám. Le tunnel a été construit en 1856. |
65 | Galerie Nationale hongroise | |
66 | Église Sainte-Élisabeth (Erzsébet) | |
69 | Place Ferenciek tere | Elle tire son nom de l'empereur François II. |
70 | Place Ferenciek tere | Elle tire son nom de l'empereur François II. |
71 | Deák F. ter | Les trois lignes de métro s'y croisent. Au sud de place Deák, « l'Evangélikus templom », construit dans un style classique ne reçoit de visiteur que lors des offices religieux. La plus grande Synagogue d'Europe est au coin de l'ancien ghetto juif dans Dohány utca. |
72 | Deák F. ter | Les trois lignes de métro s'y croisent. Au sud de place Deák, « l'Evangélikus templom », construit dans un style classique ne reçoit de visiteur que lors des offices religieux. La plus grande Synagogue d'Europe est au coin de l'ancien ghetto juif dans Dohány utca. |
73 | Place Élisabeth (Erzsébet ter) | Belváros est le cœur, le centre nerveux de la ville. Le quartier de « la ville intérieure » forme un arc de cercle allant du Lánchíd (pont de Chaînes ou pont Széchenyi) au Szabadság híd (pont de la Liberté). Les murs d'enceintes qui s'élevaient au XVe siècle longeaient Deák Ferenc utca au nord, Károly et Múzeum körút à l'est et Vámház körút au sud. Cette frontière fut rasée au XVIIIe siècle pour permettre l'expansion de la ville. |
74 | Basilique Saint-Étienne (Szent István) | L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques. |
75 | Basilique Saint-Étienne (Szent István) | L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques. |
76 | Basilique Saint-Étienne (Szent István) | L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques. |
77 | Basilique Saint-Étienne (Szent István) | L'architecte est Ybl Miklós. On lui doit aussi l'Opéra de Budapest, une partie du Palais Royal et l'Université des sciences économiques. |
78 | Église rue Váci | Belváros est le cœur, le centre nerveux de la ville. Le quartier de « la ville intérieure » forme un arc de cercle allant du Lánchíd (pont de Chaînes ou pont Széchenyi) au Szabadság híd (pont de la Liberté). Les murs d'enceintes qui s'élevaient au XVe siècle longeaient Deák Ferenc utca au nord, Károly et Múzeum körút à l'est et Vámház körút au sud. Cette frontière fut rasée au XVIIIe siècle pour permettre l'expansion de la ville. |
80 | Rue Varosn. (Belvaros) | Belváros est le cœur, le centre nerveux de la ville. Le quartier de « la ville intérieure » forme un arc de cercle allant du Lánchíd (pont de Chaînes ou pont Széchenyi) au Szabadság híd (pont de la Liberté). Les murs d'enceintes qui s'élevaient au XVe siècle longeaient Deák Ferenc utca au nord, Károly et Múzeum körút à l'est et Vámház körút au sud. Cette frontière fut rasée au XVIIIe siècle pour permettre l'expansion de la ville. |
81 | Rue Eötvös, entre avenue Andrássy et la gare de l'Ouest | |
82 | Rue Eötvös | |
83 | Gare de l'Ouest, Place Nyugati | Ce fut la première gare de Pest et les plans furent réalisés par un architecte de l'entreprise de Gustave Eiffel. La Place Nyugati fut appelée Place Karl Marx pendant la période soviétique. |
85 | 60, avenue Andrássy | Cet immeuble abrita les services secrets hongrois, pendant la période communiste. Rénové en 2001, il a été ransformé en musée de la terreur « Terror háza ». |
87 | Place des Héros | |
88 | Place des Héros | |
89 | Place des Héros | |
90 | Place des Héros | |
92 | Musée des Beaux-Arts | |
93 | Musée des Beaux-Arts | |
94 | Musée des Beaux-Arts | |
95 | Musée des Beaux-Arts | |
97 | Rue Király | |
98 | Bois-de-Ville (Városliget) | |
99 | Mûrier | |
100 | Cèdre, de Csontvary Kosztka | |
Slovénie : Ljubjlana (56 photos) | ||
1 | Angle Dalmatinova et Miklosičeva | |
2 | Angle Dalmatinova et Miklosičeva | |
3 | Angle Dalmatinova et Miklosičeva | |
4 | Angle Dalmatinova et Miklosičeva | |
5 | 1, rue Cigaletova | |
6 | Angle Tavcarjeva et Miklosičeva | |
7 | Angle Dalmatinova et Miklosičeva | |
9 | Rue Miklosičeva | |
12 | Place Presernov | |
13 | Magasin Centromerkur (1902-03 ) | |
14 | Magasin Centromerkur | |
15 | Magasin Centromerkur | |
16 | Église Franciscaine de l'Annonciation (1646-1660 ) | |
17 | Place Presernov | |
18 | Rue Wolfova | |
19 | Rue Tomsičeva | |
20 | Parlement | |
22 | 16 rue Slovenska | |
23 | Bibliothèque nationale et universitaire | Narodna in Univerzitetna Knijnica (1936-40)
Elle est considéré comme étant le chef d'oeuvre de Jozé Plecnik [ Joé Plečnik ], le plus grand architecte slovène. |
24 | Bibliothèque nationale et universitaire | Narodna in Univerzitetna Knijnica (1936-40)
Elle est considéré comme étant le chef d'oeuvre de Jozé Plecnik [ Joé Plečnik ], le plus grand architecte slovène. |
25 | Srednja sola (université) | |
26 | Slovene National Theatre, 1 Erjavceva | |
29 | Le pont des Cordonniers | Le pont enjambe la Ljubljanica. |
30 | Le Triple Pont ou Tromostovje de Jozé Plečnik et l'église Franciscaine de l'Annonciation | |
31 | Cathédrale Saint Nicolas | |
32 | Hôtel de ville | Construit en 1484 |
34 | Slovene National Theatre, 1 Erjavceva | |
36 | Slovene National Opera and Ballet Theatre, 11 Cankarjeva | |
37 | Le pont du dragon | Le pont du dragon a été construit en 1901 et c'est un des premiers en béton armé en Europe. |
39 | Église Franciscaine de l'Annonciation (1646-1660 ) | |
Slovénie, Sud : Chevaux Lipizzan, Piran, grotte de Skocjanske (72 photos) | ||
2 | Chevaux Lipizzan | voir ce lien |
3 | Chevaux Lipizzan | voir ce lien |
13 | Koper | |
14 | Piran | |
15 | Église Saint-Georges | L'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637. La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise. |
17 | Église Saint-Georges | L'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637. La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise. |
26 | à droite, la maison Beneske Hisa | La maison rouge (Beneske Hisa) date du XVème siècle. Elle a été construite par un riche marchand vénétien pour une jeune fille de la localité dont il était tombé amoureux. |
30 | Église Saint-Georges | |
32 | Mairie | |
37 | Église Saint-Georges | L'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637. La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise. |
39 | Église Saint-Georges | L'église a été fondée en 1344 et reconstruite en 1637. La tour est détachée de l'église proprement dite et ressemble au campanile de la place Saint Marc à Venise. |
54 | Grotte de Skocjanske | |
55 | Grotte de Skocjanske | |
Slovénie, Nord : Bled (32 photos) | ||
Prague : Vieille ville (60 photos) | ||
1 | Saint François Séraphin | L'église appartenait au monastère des Croisés à l'Étoile rouge, seul ordre de chevalerie en Bohême à l'époque des croisades. |
2 | Sainte-Madeleine | |
3 | Église Saint Sauveur | Elle appartient au collège jésuite Clementinum. |
13 | Clementinum | Le collège jésuite fut fondé en 1556. Les Jésuites ont été envoyés pour ramener le pays dans le giron catholique après la réforme de Jan Hus. |
14 | Bibliothèque | |
16 | Mairie | |
21 | Hôtel de ville de la vieille ville | L'aspect actuel de l'Hôtel de Ville est né de l'achat successif de maisons bourgeoises, de la construction de nouveaux bâtiments et grâce aux nombreuses reconstructions. Parmi les parties les plus importantes au point de vue architecture, il faut compter le sous-sol roman de la maison U kohouta (Au coq), du début du XIIIème siècle, la tour gothique renfermant la Chapelle des Archers de la deuxième moitié du XIVème siècle, l'ancienne salle du Conseil au plafond d'époque de la deuxième moitié du XVème siècle et la fenêtre Renaissance de la deuxième maison datant d'après 1526. En ce qui concerne la décoration l'attention du visiteur est retenue par la statuette "Ecce Homo" (début du XVème siècle) placée dans l'ancienne salle du Conseil, le cadran de l'horloge, de 1865, dû au talent de Josef Manes, et les mosaïques exécutées d'après les cartons du peintre Mikolas Ales, en 1904. La spécificité de l'Hôtel de Ville de la Vieille-Ville est l'horloge construite par Nicolas de Kadan en 1410 et perfectionnée par Maître Hanus en 1490. Au cours de l'Insurrection de mai 1945 l'Hôtel de Ville, en majeure partie ses dépendances de l'époque plus récente, fut incendié par les fascistes allemands. Sa partie historique a été rénovée entre 1945 et 1956. |
22 | Horloge astronomique | L'aspect actuel de l'Hôtel de Ville est né de l'achat successif de maisons bourgeoises, de la construction de nouveaux bâtiments et grâce aux nombreuses reconstructions. Parmi les parties les plus importantes au point de vue architecture, il faut compter le sous-sol roman de la maison U kohouta (Au coq), du début du XIIIème siècle, la tour gothique renfermant la Chapelle des Archers de la deuxième moitié du XIVème siècle, l'ancienne salle du Conseil au plafond d'époque de la deuxième moitié du XVème siècle et la fenêtre Renaissance de la deuxième maison datant d'après 1526. En ce qui concerne la décoration l'attention du visiteur est retenue par la statuette "Ecce Homo" (début du XVème siècle) placée dans l'ancienne salle du Conseil, le cadran de l'horloge, de 1865, dû au talent de Josef Manes, et les mosaïques exécutées d'après les cartons du peintre Mikolas Ales, en 1904. La spécificité de l'Hôtel de Ville de la Vieille-Ville est l'horloge construite par Nicolas de Kadan en 1410 et perfectionnée par Maître Hanus en 1490. Au cours de l'Insurrection de mai 1945 l'Hôtel de Ville, en majeure partie ses dépendances de l'époque plus récente, fut incendié par les fascistes allemands. Sa partie historique a été rénovée entre 1945 et 1956. |
33 | Place Staromestské | La place est née au 12e siècle et a été témoin de nombreux événements historiques. A côté de l'Hôtel de Ville de la Vieille Ville et l'église Notre-Dame-du-Tyn, la place est dominée de l'église baroque Saint-Nicolas (K. I. Dienzenhofer, 1732 - 1735), du palais rococo Kinsky dans lequel est placée aujourd'hui la collection de l'art graphique de la Galerie Nationale, la maison A la Cloche en Pierre - un palais urbain gothique du 14e siècle, aujourd'hui des salles de concert et d'exposition de la Galerie de la capitale de Prague, le monument Maître Jean Hus de Ladislav Saloun (1915). Dans le pavage, l'endroit de l'exécution de 27 seigneurs tchèques (21 juin 1621) et le méridien pragois sont marqués. |
35 | église Saint-Nicolas | L'église se trouve au centre naturel de Malá Strana, ou depuis 1283 se trouvait l'église paroissiale Saint Nicolas, qui fut remplacée au Moyen-âge par une petite église romane entourée d'un marché. La construction baroque du complexe des Jésuites, y compris la cure et l'école paroissiale, dura de 1673 a 1752. Les travaux furent entamés par maître P. Bos, rapidement remplacé par Giovanni Domenico Orsi. La phase essentielle de la construction commença apres 1702 selon de nouveaux plans, qui sont attribués a Krytof Dientzenhofer. Apres sa mort, l'ouvre fut terminée par son fils Kilián Ignác Dientzenhofer. Des messes furent célébrées dans un partie de l'église des 1711, mais le complexe ne fut completement terminé qu'en 1771. Cette meme année furent terminés la tour et le clocher (Anselmo Lurago). |
36 | église Saint-Nicolas | |
37 | église Saint-Nicolas | La voûte est décorée de fresques sur la vie de Saint Nicolas, oeuvre de Jan Luká Kracker, vers 1760. |
38 | église Saint-Nicolas | |
46 | Ancienne Mairie | |
47 | église Notre-Dame du Tyn | La construction gothique sacrée la plus imposante de Prague, édifiée depuis la moitié du 14e siècle jusqu'au début du 16e siècle ; à la fin du 17e siècle l'intérieur a été transformé en style baroque. L'église est intéressante entre autre par les peintures d'autel de Karel Skréta et le tombeau de l'astronome Tycho de Brahe. |
50 | église Saint-Jacques | |
53 | Maison municipale | Construction "art nouveau" des années 1905 - 1911 (A. Balsanek, O. Polívka) à la place de l'ancienne cour du Roi, le siège des rois tchèques de la fin du 14e siècle jusqu'à l'année de 1483. La riche décoration "art nouveau" intérieure et extérieure est œuvre d'A. Mucha, M. Svabinsky, J. V. Myslbek et d'autres. Au centre de l'édifice se trouve la monumentale salle Smetana - le lieu du festival musical Le Printemps de Prague, de toute une série d'autres concerts et d'actions sociales importantes. |
Prague : quartier Secession (44 photos) | ||
1 | Angle Kaprova/Maiselova | |
3 | Rue Maiselova | |
4 | Angle Platnérská/Valentinská | |
7 | Rue Kaprova | |
9 | Angle Valentinská/Kaprova | |
10 | Rue Valentinská | |
11 | Rue Valentinská | |
13 | 5 rue Kaprova | |
14 | Angle Kaprova/Valentinská | |
15 | 7 rue Kaprova | |
16 | Angle Zatecká/Kaprova | |
19 | Angle Maiselova/Síroká | |
20 | 6 rue Vezenská | |
21 | Rue Vezenská | |
23 | 20 rue Dlouhá | |
24 | 21 rue Dlouhá | |
25 | 15 rue Dlouhá | |
26 | 36 rue Dlouhá | |
27 | Angle Vezenská/Vkolkovne | |
28 | Rue Síroká | |
29 | Rue Síroká | |
32 | Rue Brehová | |
33 | Rue Brehová | |
34 | Rue Brehová | |
38 | Rue Parízká | |
39 | Rue Parízká | |
40 | Angle Parízká/Síroká | |
41 | Rue Parízká | |
42 | Rue Parízká | |
43 | Rue Parízká | |
44 | 10 rue Síroká | |
3 | Crystal, 1885 | |
4 | Vase Anna Boudova, 1885 | |
5 | Maria Kirshenerova, 1903 | |
6 | Josef Eiselt, 1924 | |
7 | Les trois femmes, Josef Drahonovsky, 1936 | |
8 | Portrait Caroline-Auguste Bomperatri, Abraham Constantin | |
9 | Ivoire, Europe centrale, vers 1850 | |
10 | Statuette, 1920 | |
11 | Vizner, 1904 | |
12 | Paysage, 1928, Vaclav Spaha | |
13 | Grotte dans la forêt, 1865, Courbet | |
14 | Paysage aux arbes, 1928, Derain | |
15 | Route au village, 1912, Vlaminck | |
20 | Parc Letenské | |
27 | Église Saint-François vue du parc Letenské | |
28 | Havanský Pavillon | |
29 | Grotte dédiée à Julius ZEYER | (Prague, 1841 Prague, 1901). D'origine juive alsacienne, grand voyageur, de vaste culture et d'extrême sensibilité, il est un des représentants majeurs de la génération des poètes « cosmopolites » regroupés autour de la revue Lumír (1877-1898). Outre des cycles épiques nourris de mythes tchèques, français ou celtes, il a laissé des pièces et des récits historiques, deux romans psychologiques, fortement autobiographiques. |
30 | Pavillon royal de plaisance - Belvédère | Le belvédère fut offert par le roi Ferdinand I à son épouse, la reine Anne. Erigé entre 1535 et 15632 par des architectes italiens (Paolo della Stella), c'est un monument important de la Renaissance. Il abrite aujourd'hui des expositions d'art. Dans le jardin, la Fontaine chantante a été coulée par Tomas Jaros entre 1564 et 1568. Elle doit son nom au bruit produit par les gouttes d'eau tombant dans la vasque. |
Prague : les synagogues (28 photos) | ||
1 | Ancienne mairie de quartier | |
3 | Synagogue Klaus | Exposition permanente : Traditions et coutumes juives. |
6 | Synagogue Maisel | Exposition permanente : Histoire des Juifs en Bohème et en Moravie du 10e au 18e siècle. |
7 | Couronne de Maximilien II, 1576 | |
8 | Hall de cérémonie | |
9 | Synagogue espagnole | |
13 | Synagogue espagnole | Exposition permanente : Histoire des Juifs en Bohème et en Moravie depuis l'émancipation jusqu'à nos jours. |
17 | Vieux cimetière juif | Il a été créé dans la moitié du 15e siècle et servait de lieu d'enterrement jusqu'en 1787. Parmi 12.000 pierres tombales gothiques, Renaissance et baroques, se trouvent également les tombeaux du rabbin Jehuda Loew (1609) et de Mordechaj Maisel (1601). |
Prague : Nord de la Vlatava (28 photos) | ||
Prague : Pont Charles (40 photos) | ||
1 | Le Pont Charles est le plus ancien pont de Prague. Sa construction, entamée en 1357, fut dirigée par Petr Parler. La plupart des statues baroques datent du 18ème siècle, les plus célèbres sont l'oeuvre de F.M. Brokoff et Matyas Braun. Le pont repose sur 16 piles et mesure 520 mètres de long et 10 mètres de largeur. | |
2 | Le Pont Charles est le plus ancien pont de Prague. Sa construction, entamée en 1357, fut dirigée par Petr Parler. La plupart des statues baroques datent du 18ème siècle, les plus célèbres sont l'oeuvre de F.M. Brokoff et Matyas Braun. Le pont repose sur 16 piles et mesure 520 mètres de long et 10 mètres de largeur. | |
Prague : Malá Strana (40 photos) | ||
1 | Rue Mostecká | Cette tour, construite par Petr Parler, donne accès au pont Charles. Sa décoration sculptée avec les statues de Charles IV et de Venceslas (copies) et les armoiries des contrées sur lesquelles régnait Charles IV en font une des plus belles tours médiévales en Europe. |
3 | Église Saint Nicolas | |
4 | Place Malostranské | |
5 | 12 rue Nerudova | |
7 | Palais Thun-Hohenstein, ambassade d'Italie | 20 rue Nerudova |
8 | 27 rue Nerudova, À la clé d'or | |
13 | Rue Uvoz | |
16 | Le château | |
17 | Palais Martinic, sgraffites | |
18 | Palais toscan, Place Hradcanské | |
19 | Angle du Palais toscan | |
21 | Notre-Dame de Lorette | Ancien lieu de pèlerinage (la "Santa Casa" de Lorette fut construite entre 1626 et 1631). L'église de la Nativité de Jésus-Christ édifiée entre 1734 et 1735. La façade donnant sur la place est œuvre de K. I. Dientzenhofer (qui reprit les travaux commencés par son père). Le clocher abrite un carillon de 30 clochettes qui font retentir un cantique. Trésor de Notre-Dame-de-Lorette: objets liturgiques dont l'ostensoir "Soleil de Prague" serti de plus de 6 000 diamants et pesant 12 kg. |
25 | Santa Casa | Ancien lieu de pèlerinage (la "Santa Casa" de Lorette fut construite entre 1626 et 1631). L'église de la Nativité de Jésus-Christ édifiée entre 1734 et 1735. La façade donnant sur la place est œuvre de K. I. Dientzenhofer (qui reprit les travaux commencés par son père). Le clocher abrite un carillon de 30 clochettes qui font retentir un cantique. Trésor de Notre-Dame-de-Lorette: objets liturgiques dont l'ostensoir "Soleil de Prague" serti de plus de 6 000 diamants et pesant 12 kg. |
26 | Santa Liberata crucifiée | |
27 | Abbaye de Strahov | Fondé en 1140 par le prince Vladislav II pour l'ordre des Prémontrés. Église de l'Assomption de la Vierge (plan roman d'origine est encore perceptible), bâtiments du Musée commémoratif de la littérature nationale, bibliothèque historique: Salle théologique (baroque, 1671-1679) et Salle philosophique (Empire, 1785 à 1794) avec fresque du plafond de F. A. Maulbertsch. |
28 | Fondé en 1140 par le prince Vladislav II pour l'ordre des Prémontrés. Église de l'Assomption de la Vierge (plan roman d'origine est encore perceptible), bâtiments du Musée commémoratif de la littérature nationale, bibliothèque historique: Salle théologique (baroque, 1671-1679) et Salle philosophique (Empire, 1785 à 1794) avec fresque du plafond de F. A. Maulbertsch. | |
32 | Église Saint Nicolas | |
33 | Place Pohorelec | |
37 | Belvédère de la Colline de Petrín | |
39 | Karel Macha, poète | |
41 | Rue Rícní | |
45 | Ambassade de France | |
46 | Mur John Lennon | |
48 | Rue Cihelná | |
50 | Place Wallenstein | |
52 | Notre-Dame de la Victoire | La construction de premier baroque date de 1611 (architecte G. M. Filippi), reconstruite entre 1634 - 1669 par l'ordre des carmélites. L'église est célèbre grâce à la statuette de cire d'origine espagnole du Petit Jésus de Prague offerte par Polyxena de Lobkovic (1628). |
53 | Rue Zelezné Lávky | |
54 | Vu sur la vieille ville depuis Malastrana | |
Prague : Château de Prague (60 photos) | ||
3 | Midi : relève de la garde | |
7 | Salle Vladislav (1497-1500) | |
9 | Salle de garde des registres | |
13 | Basilique Saint-Georges | |
19 | Crucifix de Valkerica, 1728 | |
20 | Jupiter, Palais Clam-Gallas, 1715, Matthias Bernhard Braun | |
21 | Saint-Jean Népomucène, 1721 | |
22 | Vue du Palais royal | |
25 | Cathédrale Saint-Guy | |
33 | Nef gothique | |
39 | Verrière d'Alfons Mucha | |
49 | Ruelle d'or | |
53 | Jeu de Paume, décoré de sgraffites |