Avis sur Canon, reflex EOS
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j'ai écrit à Canon dès le début de cette affaire pour obtenir un minimum de considération, de respect et de respect de la Loi . Force est de constater qu'au delà de la condamnation du commerçant, la société Canon n'a jamais rien fait pour satisfaire le client et sans craindre la traque judiciaire haineuse des juges qui protègent les délinquants, je n'hésite pas à affirmer que CANON m'a arnaqué et arnaque les particuliers qui achètent le même type d'apparei boîtier reflex grand public EOS comme l'EOS 100D. sauf si Canon a trouvé une solution ou communique sur l'incompatibilité des objectifs avec les boîtiers reflex grand public. Je n'ai jamais eu de réponse à ce sujet. En tant que lanceur d'alerte, je déconseille d'acheter des reflex Canon, sauf à vérifier scrupuleusement si les objectifs seront effectivement compatibles avec les boîtiers et ne feront pas de photos floues. A en croire les réactions de Canon, c'est normal et il se foutent pas mal que les particuliers fassent des photos floues : or, je n'apprécie pas le flou. Question de religion peut être ? Alors que les autres appareils d'autres marques peuvent faire des photos nettes; le flou Canon (qu'ils devraient breveter) n'est pas une fatalité : c'est une abération. Quand on ne sait pas faire des appareils grand public de qualité satisfaisante, on arrête. Olympus fait des hybrides, moins lourds, plus efficaces que les reflex, sans le front-focus de Canon. IBM a arrêté les PC grand public qui fonctionnaient mal. Je le sais car j'en ai eu un, un vrai catastrophe, inadapté au système d'exploitation vendu avec (j'ai réussi à en titrer quelque chose en changeant le système d'exploitation). J'ajoute, fin juin 2015, que deux personnes qui faisaient un voyage avec moi, avec des appareils Canon ont eu de gros soucis : un compact Canon qui ne marche plus et cette personne a été privée de photos. Là, contrairement à ce qui m'est arrivé avec un bridge Canon défectueux mal conçu ou mal construit, Canon annonçait pouvoir remplacer l'appareil mais c'est quand même très pénalisant de ne pas pouvoir faire de photo (un voyage au Japon, très coûteux). Une autre personne a eu son objectif qui ne faisait plus la mise au point sauf avec un artifice en l'inclinant. Pour moi, Canon est de la camelote et jamais je n'achèterai d'appareil de cette marque, qui n'a pas le moindre respect pour ses clients. La preuve : Lettre envoyée en RAR (j'ai la preuve) et restée sans réponse. QUI NE DIT MOT CONSENT : CANON ne nie pas l'ARNAQUE due au boîtier reflex Canon. Que penser du boîtier reflex Canon EOS qui j'ai acheté ? c'est une tromperie pour la quelle seul le commerçant a été condamné. Il aurait dû reprendre ce boîtier reflex Canon qui ne pouvait pas fonctionner correctement, de par sa conception. Monsieur le Président de Canon France
Paris, le 4 mars 2015
objet : qualité de produit Canon, condamnation du tribunal
Votre référence : QUA941-KK/PA-12/11
Monsieur le Président, Je vous ai déjà alerté le 6 décembre 2011 au sujet de problèmes de qualité et fiabilité insuffisantes que j’ai rencontrés avec des produits que vous commercialisez. Il s’agissait notamment de produits défaillants, non satisfaisants, pour les quels je n’ai pas engagé de poursuites judiciaires mais que je détiens toujours comme preuves. En ce qui concerne le boîtier Canon 450D acquis en 2009, le tribunal a reconnu en décembre 2012 puis le 27 novembre 2014, par jugement d’appel dont copie jointe, que j'avais bel et bien été trompé, abusé. Cet abus semble inhérent à ce type de produit, à défaut d’information du client dans la notice et de solution totalement satisfaisante dans un délai raisonnable. D’ailleurs l’appareil Canon 450D utilisé par l’expert auprès des tribunaux avait un défaut similaire et même plus accentué et plus flagrant, comme cela apparaît sur la série de photos qu’il a faites. Même si votre société m’avait proposé en juin 2010, plus de dix mois après mon achat, un réglage unique avec un type d’objectif, j’ai considéré que cette réponse était bien trop tardive et non satisfaisante, comme cela a été repris dans le jugement en pièce jointe. De surcroît, j’avais acheté ce boîtier pour utiliser des objectifs mis à ma disposition par un Club Photo et je me suis rendu compte qu’il était impossible de faire des réglages en atelier à chaque changement d’objectif. J’avais prévenu le vendeur lors de mon achat. Rien n’indiquait dans la notice Canon que cela était impossible, c’est pourquoi le vendeur n’a pas pu me mettre en garde. Même si le vendeur a fait preuve d’une grande incompétence (il a écrit sans sa défense que j'avais inventé et dicté le défaut de front-focus), d’une grande mauvaise foi (il a refusé de faire un simple test à ma demande) et d’une grande malhonnêteté (l’appareil n’était pas neuf et revenait probablement d’un retour client), même s’il a été reconnu responsable par le tribunal en vertu du Code de la consommation, il n’en demeure pas moins que le produit litigieux est un produit Canon, commercialisé, d’après ce vendeur, via votre réseau (en pièce jointe, attestation remise au tribunal par le responsable de Vilma, société que vous agréez), et que Canon a donné l’impression de le soutenir en refusant de reconnaître devant les tribunaux le défaut que j’avais constaté, voire, aurait trouvé un intérêt à ce que la polémique publique sur le défaut de front-focus soit étouffée. Il m’a semblé comprendre votre société avait opposé aux photographes professionnels un déni de la réalité au début de la découverte du phénomène de front-focus (EOS 5 Mark III je crois). J’ignore si une solution a été trouvée pour les appareils non professionnels. Il me semble aussi que la société IBM, qui avait inventé les ordinateurs pour particuliers (PC), a cessé d’en commercialiser, à défaut de pouvoir satisfaire ses clients. J’ai eu moi-même un ordinateur IBM, inadapté aux usages classiques, et non satisfaisant, puis un ordinateur d’une autre marque également défectueux à l’achat, mais au lieu de m’insulter ou de m’accuser de mauvais usage, le commerçant, grande enseigne honnête et soucieuse de sa notoriété, l’a remplacé par un appareil qui a très bien fonctionné. Il me semble que la notoriété pour une grande enseigne est une clef de son succès commercial (alors qu’un petit commerçant de mauvaise notoriété peut fermer boutique et recommencer sous un autre nom à arnaquer ses clients). À cause de ce produit Canon défaillant, j’ai eu à subir une traque abjecte de 2009 à fin 2014. J’ai été poursuivi dans 3 procédures pour avoir raconté cette tragique mésaventure sur un forum, en toute légitimité puisque la Cour d‘appel m’a donné raison fin 2014. J’ai été mis en examen deux fois au pénal, comme un criminel, car la dénonciation de faits, pourtant réels dont j’ai été victime, était interprétée a priori comme une diffamation. J’ai dépensé plus de 12.000 € en frais divers pour me défendre après avoir acheté ce produit défaillant. L’histoire judiciaire connaît fréquemment ce type d’errements qui peut encourager les délinquants, puisqu’à titre d’exemple, un violeur allemand a d’abord pu faire condamner pour diffamation le père de la jeune fille qu’il a tuée, avant d’être lui-même condamné, au bout de dizaines d’années. Il est donc admis que j’ai subi un préjudice considérable, que je n’ai jamais eu à subir lorsque j’achète un appareil conforme et satisfaisant. Aussi, je vous saurai gré de participer à la réparation de mon préjudice. Toutefois, si vous considérez que la commercialisation de ce produit est conforme aux règles de la société Canon, bien que non conforme au Code de la consommation français (notice incomplète, information du client incomplète, absence de solution satisfaisante, certaine, dans un délai raisonnable), je me verrai dans l’obligation d’alerter les consommateurs français, en passant probablement par des associations de consommateurs. Je vous prie d’agréer, monsieur le Président, l’expression de mes sentiments distingués.
Je précise que j'ai aussi signalé à Canon 2 autres appareils défectueux que j'avais acheté auparavant : un flash qui n'éclairait pas correctement et un bridge qui au bout de peu d'années a eu un défaut de flou sur un côté. Avec une mauvaise foi lamentable, qui semble être la spécialité de la société Canon (il paraît que Canon s'est bien moqué des photographes professionnels qui ont découvert le front focus avec le Canon 5 Mark III), le réparateur agréé a prétendu que j'avais faussé l'objectif. C'est absurde malhonnête et insultant car si tel avait été le cas, ça se verrait et de surcroît le flou serait à gauche et à droite de l'image pas d'un seul côté. Les marques honnêtes (pas Canon donc) ont reconnu un défaut de collage de capteur qui se décolle d'un côté et provoque le flou. Ces marques honnêtes ont remplacé les appareils défectueux pas Canon qui s'est foutu de moi (et maintenant je me rend compte que c'est la seule stratégie que j'ai rencontrée avec cette société). Idem avec le flash que j'ai renvoyé en réparation : ils n'ont rien trouvé d'anormal. Cela me rappelle le gars de Vilma, Orfila si je me souviens bien, qui s'est foutu aussi de ma gueule avec le Canon 450 défectueux en me faisant croire en roulant les mécanique et en me prenant pour un con, que je ne savais pas faire de photo. Je me demande comment une marque qui fait de si mauvais produits et ne respecte pas le client, ni son réparateur agréé vilma, peut continuer de tromper les clients impunément comme j'ai été trompé. Même si je sais que les escroqueries sont la base du commerce, que la tromperie est banalisée, et tout cela est "tolérable" suivant les termes du juge Anne-Marie Sauteraud, je n'arrive pas à m'habituer à cette abjection banalisée. Moralité : je ne suis pas prêt d'acheter un appareil de marque Canon car je n'ai aucune confiance dans la qualité et moins encore dans la capacité à respecter le client, à satisfaire le client et à respecter la Loi française de la consommation. |
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